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Agnès Bareilles

Interview de l'humoriste française Agnès Bareilles par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:30 : Générique de l'Odyssée du Rire et introduction par Jean-Michel Probst.
00:00:30 - 00:01:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst demande à Agnès comment expliquer son absence de la scène dernièrement.
Agnès explique qu'elle a eu un enfant, et a donc mis sa carrière un peu entre parenthèse.

00:02:05 - 00:02:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de son personnage.
Agnès explique qu'elle a encore une petite fille à l'intérieur d'elle. Elle s'est rendu compte que le personnage de la petite fille était celui marchait le mieux au début de sa carrière. Le personnage s'est donc accroché à elle.
Elle aimerait faire autre chose maintenant, car elle a évolué. Elle aimerait s'orienter vers d'autres choses, le cinéma, le théâtre, et pouvoir évoluer.

00:04:05 - 00:05:20 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst l'interroge sur ses débuts.
Agnès explique qu'elle a eu beaucoup de chance. Elle a rencontré Claude Vanony, qui cherchait une présence féminine au moment où elle a débuté. Elle a pu apprendre le métier avec lui et Jean-Claude Poirot. Ensuite elle est partie à Paris pour faire des cabarets. Puis elle a gravit des échelons petit à petit.
Travailler avec Claude Vanony lui a appris le métier.

00:07:20 - 00:11:30 : [Extrait de sketch]

00:11:30 - 00:12:15 - : [Publicités]

Jean-Michel Probst lui parle de la télévision.
Agnès explique que c'est un domaine qu'elle aime, car elle fait toujours des émissions humoristiques, et il y a toujours une bonne ambiance. Elle pense aussi que la télévision permet de "se vendre", pour pouvoir se faire connaître.

00:13:05 - 00:16:05 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande si elle doit beaucoup forcer sa voix de petite fille.
Agnès explique que c'est une voix facile à faire, et qu'elle a aussi d'autres personnages, donc d'autres voix, notamment une vieille dame et une femme mondaine.

00.17:11 - 00:18:45 : [Extrait de sketch]

Agnès parle de Maria Pacôme et Jacqueline Maillan, qui lui ont donné le déclic de faire le métier.

00:19:25 - 00:23:30 : [Extrait de sketch, chanson]

00:24:00 - 00:28:20 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de monter sur scène.
Agnès explique qu'elle aimerait faire du théâtre. Elle parle de son projet avec Ménage à 4.

00:29:10 - 00:33:40 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de Ménage à 4, puis du disque solo d'Agnès.

00:34:25 - 00:37:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst demande à Agnès d'explique Ménage à 4.
Agnès explique que chacun garde ses sketches, mais en plus, Olivier Lejeune a inventé un sketch commun. Celui-ci permet d'amener aux différents sketches personnels, mais aussi de faire des sketches à 2 ou 3.

00:38:45 - 00:40:35 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de Roland Magdane.

00:40:50 - 00:44:10 : [Extrait de sketch]

00:44:15 - 00:48:20 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande comment elle a fait son retour, après 5 ans de carrière au ralenti.
Agnès explique qu'elle n'a jamais vraiment arrêté. En reprenant sa carrière, elle avait très peur.

00:49:25 - 00:52:15 : [Extrait de sketch]

Agnès salue les auditeurs.

00:52:30 - 00:53:40 : [Chanson]

Probst, Jean-Michel

Alain Chevallier

Interview du comédien et humoriste suisse Alain Chevallier par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:10 : Générique de l'Odyssée du Rire et introduction de Jean-Michel Probst
00:01:10 - 00:03:28 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle du sketch du chocolat Sbrinz.
Alain Chevallier parle du disque sur lequel le sketch est paru. Il explique avoir pris l'accent que les Français appellent l'accent suisse, qui est l'accent vaudois. Il parle de son accent genevois. Il explique qu'on l'a accusé de ne pas avoir le bon accent. Il se défend en disant qu'il faisait de l'humour sur la Suisse et pas de l'humour suisse, comme l'a fait par exemple Gilles.

00:05:15 - 00:05:45 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier explique qu'en Suisse on ne voulait pas de son spectacle. Alors il se produisait à la frontière, et les Suisses venaient. Puis ils ont loué une salle à Vevey, qui a été un grand succès.
Il parle de son spectacle qu'il a fait avec différents partenaires, partout en France.

00:08:15 - 00:11:55 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle du fait de faire un spectacle de ce genre en France.
Alain Chevallier raconte une anecdote d'un spectacle inauguré le jour de la fête nationale à Paris. Il explique avoir pris des sketches de Lova Golovtchiner. Le spectacle a été présenté comme politique. La première a été complète, puis le spectacle est devenu à la mode. Mais tout était surfait. Le spectacle avec les accents a duré 5 ans, c'est très long!

00:16:20 - 00:17:30 : [Extrait de spectacle]

00:17:30 - 00:19:00 : [Publicités]

00:19:15 - 00:20:30 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier explique qu'il a eu plusieurs types de spectacles. Il a débuté avec des choses très intellectuelles. Il a aussi fait des feuilletons. Il aime bien monter un spectacle tous les deux ans, qu'il l'écrive ou qu'il le commande. Il se fait un plaisir, en essayant de ne pas perdre d'argent. Il parle de son spectacle "San Antonio".

00:23:20 - 00:26:00 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier explique qu'il a récupéré tous les livres de San Antonio. Il a contacté Frédérique Dard, qui lui a transmis un livre des meilleurs moments. Le spectacle est basé la dessus. Le spectacle est basé sur le personnage de San Antonio qui est en fait Frédérique Dard.

00:27:35 - 00:29:00 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier parle de Bernard Haller, qui est dans le spectacle San Antonio. Ils sont amis. Bernard Haller a fait la mise en scène, et c'est lui qui a eu toutes les idées autours des mots. Alain Chevallier parle des qualités de Bernard Haller.

00:30:35 - 00:33:30 : [Extrait de spectacle]

00:33:45 - 00:34:40 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui demande si sur scène il est lui ou San Antonio.
Alain Chevallier explique que dans le spectacle tout est réglé et carré. Il trouve que c'est bien car cela permet d'avoir toujours une bonne prestation. Il explique qu'avec les Deux Suisses il y avait un peu d'improvisations, mais il n'aime pas trop cela. Il y a des soirs où c'est possible, mais c'est difficile de le faire tous les jours, il ne pourrait pas.

00:36:25 - 00:39:15 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier parle de Michel Galabru a qui il a fait une farce, et qui a réussi à rebondir encore mieux. Ils ont eu de grands moments d'improvisation. Il y a des pièces qui permettent plus d'improvisation que d'autres. Dans San Antonio il ne veut pas faire d'improvisation.

00:40:50 - 00:42:55 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier parle de ses amis comédiens. Jean-Luc Bideau, Jean-François Amstuz, Bernard Haller, etc.

00:44:30 - 00:48:20 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst souligne que les comiques suisses ont le vent en poupe.
Alain Chevallier explique qu'il y a depuis longtemps des comiques, une tradition. Il parle de Gille, de Dudan, de Zouk.

00:49:15 - 00:50:15 : [Extrait de spectacle]

Alain Chevallier parle de la tradition des humoristes suisses. Il parle de Grock, le clown et de Max.

00.51:15 - 00:53:05 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst parle des voyages d'Alain Chevallier.
Alain Chevallier parle d'un show qu'il a fait à la télévision américaine, lorsqu'il était à New York. Il a réussi à avoir une audition pour la télévision. Il explique qu'ils ont fait tellement n'importe quoi qu'ils ont été pris. C'était en 1971.
Il est content d'avoir bourlingué.

00:55:20 - 00:57:30 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst clôt l'émission et présente l'invité de la semaine suivant, Bruno Coppens.

Probst, Jean-Michel

Alex Métayer

Interview de l'humoriste français Alex Métayer par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:30 : Générique de l'Odyssée du Rire, et présentation d'Alex Métayer

Alex Métayer parle du fait qu'il a déjà une longue carrière. Mais il pense que chez les humoristes chacun a sa place, il n'y a pas de concurrence. Il explique que lui a plus un humour italien, car il croque beaucoup de différents personnages. L'humour français est plus sur le langage.

00:02:35 - 00:04:40 : [extrait de spectacle]

Alex Métayer explique que ce qui fait rire les gens, c'est la justesse d'observation dans ses sketches. Il déclenche du rire sur la justesse de ce que disent les gens que sur une invention verbale.

00:05:25 - 00:08:30 : [Extrait de spectacle]

Alex Métayer explique que dans ses sketches il n'invente presque pas, il transcrit. Les gens lui apportent des choses toutes faites, lui aussi est comme les autres, il se met en scène aussi.

00:09:15 - 00:12:45 : [Extrait de spectacle]

00:13:20 - 00:15:15 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle du fit de devoir être méchant pour être comique.
Alex Métayer parle de Bedos, qui pense qu'il faut être méchant tout le temps. Lui pense rendre compte de la vie, dans ce qu'elle a de gentil et de méchant. Il pense qu'il y a de tout dans la vie comme dans ses spectacles

00:16:40 - 00:19:40 : [Extrait de spectacle]

Alex Métayer explique qu'il y a souvent des médecins ou des thématiques de médecine dans ses spectacles car il a toujours rêvé d'être médecin. Ses spectacles reflètent ses envies.

00:20:25 - 00:23:10 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle du fait qu'il jouait du jazz, de la clarinette.
Alex Métayer explique qu'il a fait beaucoup de musique, mais il n'était pas un bon musicien. Il a travaillé beaucoup, il a été au conservatoire. Mais il n'était pas doué.
Son père jouait du piano et chantait de l'opéra de manière professionnelle. Il a grandi dans le milieu de la musique et du chant.
Alex Métayer chante mal, mais il a chanté plusieurs fois la Belle Hélène.

00:25:15 - 00:28:45 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle du fait qu'il a beaucoup voyagé et que cela se retrouve dans ses sketches.
Alex Métayer explique qu'il aime imiter les asiatiques. Il raconte une anecdote qui lui a inspiré un sketch.
Il parle de ses sketches qui sont épuisés.

00:30:40 - 00:34:40 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle d'un livre sorti avec ses textes.
Alex Métayer parle du livre "Délires en scène". Il trouve que c'est un livre très bien fait car ils ont réussi à bien transcrire le jeu de scène. On arrive à l'imaginer sur scène. Le livre marche bien, mieux que les disques.
Il pense que cela ne dévoile pas ce qu'il fait sur scène, ce n'est quand même pas pareil.

00.37:05 - 00:39:30 : [Extrait de spectacle]
00:39:30 - 00:40:30 : [Chanson]

Jean-Michel Probst parle de l'enfance d'Alex Métayer en Algérie. Il parle de son retour en France, et de ses premiers emplois, et de ses débuts.

00:41:25 - 00:45:30 : [Extrait de spectacle]
00:45:30 - 00:47:55 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui demande une définition de l'humour
Alex Métayer reprend une citation: le dernier geste du désespoir. Pour lui, l'humour, c'est la vérité, ou ce qui se rapproche le plus de la vérité. La vérité de la vie c'est rigolo. Dans les moments les plus tragiques, le comique surgit.
Il raconte une anecdote d'un accident de voiture. Rien n'est jamais tout tragique.

00:50:20 - 00:53:45 : [Extrait de spectacle]

Probst, Jean-Michel

Alex Métayer_2

Interview de l'humoriste français Alex Métayer par Jean-Michel Probst.
Enregistrée à l'occasion du festival Morges-sous-Rire, en 1993.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:55 : Générique de l'Odyssée du Rire et introduction par Jean-Michel Probst.

Alex Métayer vient présenter son nouveau spectacle.
Il explique que l'écriture du nouveau spectacle est la partie la plus excitante, car tout lui est permis. Une fois le spectacle terminé, les répétitions commencées, il se sent prisonnier. L'écriture est très importante pour lui, il compare avec l'écriture d'un scénario de cinéma.

00:02:20 - 00:04:40 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande s'il y a une différence entre le texte écrit et la prestation scénique.
Alex Métayer explique que quand il écrit, il trouve les choses un peu pales. Puis, le comédien qui est en lui s'empare du texte et surpasse l'auteur. Il rend les choses plus communes, plus proches de gens. Il pense que cette partie est très importante, il fait plus d'un an de répétition.

00:06:00 - 00:07:40 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst parle des deux angles différents qu'il prend pour écrire un spectacle.
Alex Métayer parle de la dualité, entre l'écriture et l'interprète. Il pense que dans le théâtre c'est pareil, il y a le théâtre lu et le théâtre joué.

00:08:50 - 00:13:20 : [Extrait de sketch]

Alex Métayer explique que tous ses spectacles avaient un titre, sauf ce dernier spectacle. Il se produisait à "L'Opéra-comique" à Paris, et il a estimé que ce nom suffisait, et s'appliquait bien au spectacle.

00:14:30 - 00:17:15 : [Extrait de sketch]

Alex Métayer explique qu'il interprète des personnages qui lui ressemblent. Il essaie de trouver des personnages proches de son tempérament. Il explique être un angoissé. Il aime que les choses aillent très vite, il n'aime pas perdre de temps et exigent des autres que les choses aillent très vite.

00:19:20 - 00:19:50 : [Extrait de sketch]

Alex Métayer explique que l'homme névrosé qu'il décrit dans le spectacle, c'est lui. Il pense être proche des gens et moderne car il transporte les tics de comportements des gens qui ont besoin que les choses aillent très vite.

00:20:30 - 00:24:55 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de la clarinette.
Alex Métayer explique qu'il n'aime pas utiliser la clarinette comme un élément tape à l'œil, mais il aime qu'elle soit intégrée dans une histoire drôle. Il n'aime pas utiliser un instrument comme un clown, mais comme un musicien. Il veut pouvoir jouer correctement. Il explique avoir fait du classique et du jazz, c'est une grande partie de sa vie qu'il aime intégrer dans le spectacle, comme d'autres choses de son passé.

00.26:50 - 00:27:35 : [Musique]

Probst, Jean-Michel

André Lamy

Interview de l'humoriste et imitateur belge André Lamy par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:02:30 : [Extrait de spectacle, musique]

Jean-Michel Probst lui parle de l'évolution de sa carrière.
André Lamy explique qu'il a beaucoup travaillé. Il vient de faire une pause pour se consacrer à sa vie de famille. Il parle de la chance de pouvoir travailler tant en France qu'en Belgique. Il va sortir un nouveau spectacle prochainement.

00:03:55 - 00:07:25 : [Extrait de spectacle, musique]

Jean-Michel Probst parle de son côté chansonnier.
André Lamy explique qu'il voulait faire un spectacle qui va au fond des choses, avec le spectacle sur Mitterrand. Il y a une part de critique.

Jean-Michel Probst souligne qu'il donnait ses techniques d'imitation.
André Lamy explique qu'en 5 ans de travail à Paris il a beaucoup évolué. Il se rend compte maintenant que ce qui prime c'est le texte.
Il pense que l'imitation ne surprend plus donc il faut aller plus loin dans le texte.

00:09:35 - 00:12:50 : [Extrait de spectacle]

André Lamy parle de la politique. Il préfère garder ses opinions pour lui. Il essaie de montrer les travers des hommes politiques dans leur travail. Il pense que si l'on attaque un peu plus profondément, cela peut faire réagir. Il pense que le travail d'un humoriste qui s'attaque à la politique, c'est justement de ne pas prendre parti, de s'attaquer à tout le monde.

00:14:25 - 00:16:50 : [Extrait de spectacle, musique]

André Lamy explique que son imitation préférée est De Funès. Il pense que c'est le plus grand comique. Il a mis 30 ans à construire son personnage.

00.17:25 - 00:22:30 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst lui parle de l'évolution de l'imitation.
André Lamy pense que c'est la télévision qui a fait évoluer l'imitation. Il n'y a plus de caractère original. On a souvent des imitateurs d'imitateurs, il n'y a plus de création. Il pense que le public veut que le spectacle soit complet et qu'il y ait un fond. Il pense qu'il faut se concentrer sur les hommes politiques.

00:23:55 - 00:28:15 : [Extrait de spectacle

Probst, Jean-Michel

André Lamy et Alain Bernard

Interview des humoristes André Lamy et Alain Bernard par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:45 : Générique de l'Odyssée du Rire sur la mélodie de Laurel et Hardy, et présentation de Laurel et Hardy.

Jean-Michel Probst présente aussi André Lamy, imitateur et collectionneur de Laurel et Hardy.

André Lamy parle de sa passion pour Laurel et Hardy.
Il pense qu'ils ont beaucoup apporté à la comédie. Il parle de leur style, populaire.

André Lamy explique qu'il a déjà fait une imitation de Laurel et Hardy. Il fait une imitation.
Il parle de l'absurde dans Laurel et Hardy.

00:04:50
Jean-Michel Probst parle de Marc Jolivet. Il propose des invitations pour son spectacle.

00:05:20 - 00:08:00 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst présente Alain Bernard. Il est l'accompagnateur de Smaïn, mais aussi comique, notamment spécialiste de parodies.

Alain Bernard parle de son goût pour la parodie, notamment de Michel Legrand. Il chante une parodie.
Il explique comment il a rencontré Smaïn.

00:10:15 - 00:14:50 : [Extrait de sketch]

Alain Bernard explique que dans les spectacles il ne veut pas être un simple pianiste mais il aime participer aux sketches.

Jean-Michel Probst lui demande s'il lui arrive d'improviser.
Alain Bernard explique qu'ils rigolent beaucoup.

00:15:50 - 00:16:25 : [Chanson]

Probst, Jean-Michel

André Valardy

Interview de l'humoriste belge André Valardy par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:40 : Générique de l'Odyssée du Rire, et présentation d'André Valardy

00:01:40 - 00:02:30 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de la Suisse.
André Valardy explique qu'il teste toujours ses spectacles sur le public suisse car il trouve que c'est un bon public.

Jean-Michel Probst parle de la salle des Faux-Nez.
André Valardy parle de la grande réputation des Faux-Nez.

00:03:30 - 00:07:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de sa passion du cinéma.
André Valardy explique qu'il est passionné de cinéma depuis son enfance. Il a un musée de cinéma à la maison puisqu'il collectionne les affiches.
Il parle de ses rencontres avec des gens du cinéma, notamment Arletty.

00:09:40 - 00:11:05 : [Musique et Extrait de sketch]

00:11:05 - 00:12:25 : [Publicités]

Jean-Michel Probst lui demande qui l'a inspiré.
André Valardy explique que les comiques américains l'ont beaucoup inspiré. Mais il aime aussi Jacques Tati et surtout Louis de Funès pour lequel il voue un véritable culte.

00:13:25 - 00:15:00 : [Extrait de sketch]

André Valardy parle des films dans lesquels il a joué, avec notamment Pierre Dac, Michel Serrault, Depardieu. Il parle aussi de son expérience au théâtre. Il a eu de la chance de rencontrer des gens. Il a tourné aussi avec Brel ou Ventura.

00:16:40 - 00:18:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande si l'humour l'a attiré depuis longtemps avant d'arriver au one-man show.
André Valardy explique qu'on ne sait jamais comment une carrière évolue. Sa passion c'est de jouer. Il a aussi joué des rôles dramatiques.

00:20:10 - 00:24:30 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle du nouveau spectacle d'André Valardy aux faux-Nez, et de ses sketches sur l'Europe.
André Valardy parle du fait qu'il faut faire de l'actualité. Il parle d'un sketch sur les toilettes et d'un autre sur les centrales nucléaires.

00:25:30 - 00:28:10 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de ses expressions sur scènes.
André Valardy n'aime pas le mot grimace, car les expressions doivent venir de l'intérieur et correspondre à un sentiment de l'intérieur. Si le public ne sent pas la sincérité, il ne rit pas.

Jean-Michel Probst parle de l'humour visuel, qui tend à s'imposer.
André Valardy parle de Charlie Chaplin, et de sa déception de la fin du cinéma muet, car cela cessait d'être international. Avec le retour aux sketches visuels, on peut faire rire le monde entier. Il aime beaucoup cela.

Jean-Michel Probst parle de Courtemanche.
André Valardy le trouve très talentueux.

00:31:05 - 00:34:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de la face caché des humoristes, de leur sensibilité.
André Valardy pense qu'il n'y a pas d'humour s'il n'y a pas de tendresse. Les grands comiques ont une grande poésie.

00:35:40 - 00:40:50 : [Extrait de sketch]

André Valardy aime beaucoup l'humour noir. Il parle de Coluche ou Desproges. Il pense que l'humour noir c'est bien car cela dérange. Cela permet de rappeler le monde dans lequel on vit.
Il faut pouvoir aborder des sujets graves en faisant rire.

00:42:40 - 00:44:30 : [Extrait de sketch]

00:44:45 - 00:47:00 : [Publicités]

Jean-Michel Probst parle de Pierre Dac, et de son rôle de divertissement à la radio pendant la guerre.

00:47:25 - 00:48:00 : [Chanson]

André Valardy parle de Pierre Dac. Il l'a rencontré sur un tournage.

00:48:45 - 00:50:20 : [Chanson]

André Valardy parle de Pierre Dac. Un homme très attachant.

00:51:00 - 00:53:15 : [Extrait de sketch]

André Valardy parle encore de Pierre Dac, maître de l'humour absurde. On s'en inspire encore beaucoup.

00:54:00 - 00:56:40 : [Extrait de sketch]
Annonce du programme
00:58:00 – 01:02 :15 : [Musique]

Probst, Jean-Michel

Benny Hill

Interview de l'humoriste et acteur britannique Benny Hill, par Steve Axentios. Présentation par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:45 : Générique de l'Odyssée du Rire et présentation de Benny Hill par Jean-Michel Probst.

Steve Axentios demande à Benny Hill pourquoi il parle aussi bien le français.
Benny Hill explique qu'il a appris le français à l'école, et a été soldat en France et en Belgique durant la guerre.

Steve Axentios lui demande s'il est pareil à la vie et à la télévision.
Benny Hill explique que lorsqu'il travaille, il n'est pas exactement pareil que dans sa vie normale.

00:02:50 - 00:07:35 : [Extrait de sketch]

Steve Axentios demande à Benny Hill s'il a fait tout ce qu'il voulait dans sa vie.
Benny Hill plaisante en disant qu'il y a encore des demoiselles qu'il ne connait pas. Mais il est content de sa vie. Il parle d'un spectacle qu'il était allé voir avec son grand-père. Il y avait un comédien principal, célèbre. Il pense qu'il est devenu comédien pour cela. Ses sketches ressemblent aux spectacles de cabaret qu'il voyait dans sa jeunesse.

00:09:55 - 00:13:45 : [Extrait de sketch]

Benny Hill explique qu'il ne changerait rien à sa carrière et à sa vie s'il le pouvait, mais il aimerait simplement continuer.

00:15:20 - 00:21:10 : [Extrait de sketch]

Steve Axentios demande à Benny Hill quand il arrêtera de faire de la télévision.
Benny Hill répond qu'il ne veut jamais arrêter, il aimerait mourir en le faisant.
Il parle de son personnage, il ne pense pas avoir été prisonnier de celui-ci. Il est connu dans le monde entier. La plupart du temps les gens lui font des commentaires positifs.

00:22:50 - 00:29:40 : [Extrait de sketch]

Probst, Jean-Michel

Bernard Haller

Interview de l'humoriste suisse Bernard Haller, par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:25 : Générique de l'Odyssée du Rire et introduction par Jean-Michel Probst.

00:01:25 - 00:03:20 : [Extrait de sketch]

Bernard Haller a commencé aux côtés de Raymond Devos aux Trois Baudets, en 1958. Devos était déjà tête d'affiche, mais lui était levé de rideau, c'est à dire qu'il faisait son spectacle pendant que les gens s'installaient. Il explique que dans le spectacle il y avait Brel, Ricet Barrier, Gainsbourg, Devos, etc.

00:04:30 - 00:06:10 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst souligne que l'interview a lieu à l'Alhambra de Genève, et parle des salles.
Bernard Haller parle de Jacques Canetti et des Trois Baudets. Il explique que c'était un très bon tremplin, car il s'agissait d'une vraie salle, avec une vraie équipe. La plupart débutaient dans des caveaux. Jacques Canetti a été très important pour la découverte d'auteurs et compositeurs.

00:08:15 - 00:11:15 : [Extrait de sketch]

00:11:25 - 00:12:40 : [Publicités]

00:12:45 - 00:16:40 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de "Festiv'Haller", une compilation de sketches.
Bernard Haller explique que plusieurs personnes voulaient pouvoir réécouter certains sketches. Il a donc fait une compilation de sketches qui vont ensemble. Il y a aussi beaucoup de ces textes qui ne sont pas connus des jeunes.
Il parle de la télévision, du fait que ce n'est pas flatteur ni facile à manier pour un humoriste.
Il parle de l'importance d'avoir un public jeune.

00:18:45 - 00:21:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande si l'interprétation de certains sketches évolue avec le temps.
Bernard Haller explique que certains sketches sont réécrits, évoluent, mais en gardant à l'esprit l'essence du sketch. Il prend l'exemple du sketch qui critique l'église. Il parle du fait que les humoristes dénoncent des choses.

00:23:25 - 00:24:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande ces prochains projets.
Bernard Haller explique qu'il a toujours des projets, et il aime avant tout s'amuser. Il fait donc du cinéma, du théâtre, du divertissement.
Il ne se consacre pas uniquement à faire des spectacles, car cela ne lui suffit pas.

00:26:00 - 00:30:05 : [Extrait de sketch]

Bernard Haller parle du cinéma. C'est une autre manière de s'exprimer. La manière d'utiliser le comédien est différente. Ce sont des métiers proches, qui se complètent, et qui ont chacun leur spécificité.
Il aime beaucoup être utilisé dans des contre-emplois au cinéma. Il aime être quelqu'un d'autre au cinéma, il a une passion folle d'être toujours quelqu'un d'autre, de se mettre dans la peau d'autres personnages.

00:32:24 - 00:35:40 : [Extrait de sketch]

00:36:00 - 00:37:35 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle des nombreux grands noms qu'il a côtoyés comme Devos, ou Marlene Dietrich.
Bernard Haller explique qu'il a travaillé avec elle à Johannesburg. Il en parle comme d'un personnage double et ambigu. C'était un personnage riche, et plein de paradoxes.

00:40:15 - 00:42:35 : [Extrait de sketch]

Bernard Haller parle d'Alain Chevalier et de la mise en scène de San Antonio de Frédéric Dard. Il parle de la difficulté de mettre en scène des romands que l'on lit dans un contexte de solitude. Ils voulaient éviter de rabaisser Dard.

00:44:50 - 00:47:45 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de son prochain spectacle, qui parlera de magie.
Bernard Haller parle de magie, de spectacles de magie montés par Christian Fechner. Il lui a demandé s'il voulait écrire une pièce sur Méliès et Robert-Houdin. Bernard Haller a imaginé le spectacle, qui sera truffé d'effets de magie de Fechner.

00:49:45 - 00:51:15 : [Extrait de sketch]

Bernard Haller explique que le projet est encore à l'état d'ébauche, mais il aimerait vraiment qu'il puisse avoir lieu, pour faire rêver le public.

00:51:55 - 00:54:35 : [Extrait de sketch]

Bernard Haller parle du spectacle comme une grande illusion, et de la vie comme une grande illusion.

Probst, Jean-Michel

Bob Barbey

Interview de l'humoriste genevois Bob Barbey par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:45 : Générique de l'Odyssée du Rire, et présentation de Bob Barbey.

Jean-Michel Probst lui parle de son nom et de ses débuts.
Bob Barbey explique qu'il s'appelle Robert et qu'il a toujours fait rire les gens.

00:01:20 - 00:02:55 : [Extrait de sketch]

Bob Barbey parle de ses débuts quand il imitait un speaker, Vico Rigassi. Il l'imite.

Jean-Michel Probst parle des nombreux personnages de Bob Barbey qui reflètent les accents de Suisse.
Bob Barbey explique qu'en France personne ne sait faire les accents suisses, il n’y a pas un accent suisse.

00:04:45 - 00:09:25 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle du fait qu'il essaie d'avoir un large public, on le voit partout.
Bob Barbey pense qu'il faut des comiques un peu partout, qu'il ne faut pas que ce soit hors de prix.

00:10:00 - 00:11:30 : [Extrait de sketch]

Bob Barbey parle du rire. Il pense que c'est ce qu'il y a de mieux au monde.
Il explique qu'il a toujours le trac avant de rentrer sur scène.

Jean-Michel Probst lui parle de Fernand Raynaud.
Bob Barbey explique que Fernand Raynaud aimait bien le vin suisse et la fondue. Il sortait souvent avec lui.
Il pense que c'est l'un des plus grands car son humour est simple. Il arrivait à faire rire tout le monde en même temps, il avait tous les publics.
Il raconte une anecdote, il l'a amené faire une séance d'autographes à Annemasse, avec une vieille voiture.
Fernand Raynaud aimait beaucoup la Suisse.
Bob Barbey lui donnait souvent des informations pour ses spectacles en Suisse.

00.16:35 - 00:19:05 : [Extrait de sketch]

Bob Barbey parle d'Alain Morisod qui a accompagné Fernand Reynaud et lui aussi.
Jean-Michel Probst parle d'un autre accompagnant, Nono Müller, l'accordéoniste.

00:20:05 - 00:20:25 : [Musique]

Bob Barbey parle de l'humour de Nono Müller. Il raconte quelques anecdotes.
Ils ont commencé à jouer ensemble suite à une revue à Servion.

00:21:50 - 00:23:55 : [Extrait de sketch et musique]

Jean-Michel Probst parle du côté chansonnier de Bob Barbey.
Il explique qu'il aime retrouver de vieilles chansons, des chansons qui font rire les gens.
Il chante.

00:25:10 - 00:28:25 : [Chanson]

Jean-Michel Probst parle d'un disque que Bob Barbey avait fait.
Bob Barbey explique qu'il s'était entouré de très bons musiciens.
Il n'a pas refait de disque car les gens préfèrent les histoires drôles. Mais sur scène il fait des chansons aussi. Il parle de respecter son père qui chantait.

00:30:15 - 00:31:10 : [Chanson]

Jean-Michel Probst lui parle du Grand Echiquier, où il a été invité par Frédéric Dard.
Bob Barbey explique comment il a connu Frédéric Dard, puis comment il l'a invité au Grand Echiquier.

Bob Barbey parle des accents romands, qu'il aime beaucoup faire. Il aime aussi faire l'accent du sud de la France. Il a un appartement là-bas. Il va y écouter les accents. Il aime les gens de cette région.
Il parle d'un de ces sketches avec l'accent du sud.

00:33:30 - 00:36:25 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui demande si Fernand Reynaud et Raymond Devos l'ont influencé
Bob Barbey explique qu'i les admire beaucoup, mais il essaie de ne pas trop les écouter pour ne pas se faire influencer.
Il parle de Raymond Devos. Il a des cassettes de ses chansons. Ils se sont rencontrés, et ont beaucoup rigolé.
Il pense que Devos est un chirurgien des mots.

00:38:25 - 00:40:35 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de l'amitié qui lie les humoristes.
Il parle de l'évolution de l'humour.

Bob Barbey parle d'un nouvel accent suisse. Il imite un accent latin. Il pense que cela fait désormais partie de notre identité.

00.43:35 - 00:47:25 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle du fait qu'il a tenu une buvette.
Il explique qu'il était situé à une vingtaine de mètres du jet d'eau.
Il raconte des anecdotes par rapport aux touristes.

Bob Barbey parle des premières fois où il a fait rire, à l'école.
Il parle de Charly Chaplin et Laurel et Hardy.

Il parle de sa chanson "Le slove du paysan", qui l'a fait connaître.

00:51:45 - 00:55:35 : [Chanson]

Probst, Jean-Michel

Bouillon

Interview de l'humoriste suisse Bouillon par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:35 : Générique de l'Odyssée du Rire et introduction par Jean-Michel Probst.

Jean-Michel Probst parle du cabaret de Bouillon, "L'Entracte" de Denezy.
Bouillon décourage ceux qui rêvent d'avoir un café-théâtre, car c'est très difficile. Même si c'est une vie libre et pleine de poésie. Il souligne aussi le caractère retiré de son cabaret, et le fait que les artistes soient prêts à s'y déplacer.

00:03:25 - 00:05:40 : [Extrait de sketch]

Bouillon explique qu'il a plusieurs projets en parallèle du cabaret. Il parle de ses activités dans le sport durant sa jeunesse. Il pense s'être fait une place dans un créneau avec des histoires du terroir. Mais il aime aussi faire de grandes scènes.

00.07:10 - 00:08:30 : [Extrait de sketch]

Bouillon parle des histoires qu'il raconte. Il pense que les histoires sont un cycle. Il explique qu'il y a des humoristes qui reprennent des histoires qu'il racontait dans les années 60. Il ne pense pas que les histoires évoluent, les thématiques sont toujours les mêmes. Il pense que les histoires grasses plaisent à tout le monde, c'est la manière de les raconter qui change.

00:10:30 - 00:11:55 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle du dernier CD de Bouillon. Il parle du personnage fétiche de Bouillon, Maurice.

00:13:00 - 00:16:00 : [Extrait de sketch]

Bouillon explique que Maurice était son oncle. Il le compare à un Oin-Oin de deuxième zone. Il parle de la technique pour raconter les histoires. Il faut amener les gens à savoir la chute, mais la chute doit bien tomber. Il faut ajouter des détails pour que les gens puissent situer l'ambiance.

Bouillon raconte une histoire de Maurice.

00:18:20 - 00:20:25 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst lui parle de son disque.
Bouillon explique qu'il voulait faire un livre. Il a déjà fait des cassettes et des disques. Il a sorti un CD car c'est à la mode. Il explique qu'il a beaucoup travaillé pour l'enregistrement. Il a enregistré à Denezy, devant un public nombreux. Les choses sont spontanées. Il voulait aussi mettre un côté plus sentimental. Il le dédie à son fils décédé.

00:22:45 - 00:24:35 : [Extrait de sketch]

Probst, Jean-Michel

Bruno Coppens

Interview de l'humoriste belge Bruno Coppens par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:01:45 : Générique de l'Odyssée du Rire et extrait de sketch.

Jean-Michel Probst souligne qu'il n'est pas encore très connu en Suisse.
Bruno Coppens explique qu'il fait de plus en plus de dates en Suisse.
Il est belge, et contrairement à beaucoup d'humoristes, il n'aime pas passer par la télévision.

00:02:50 - 00:05:00 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst souligne la ressemblance de son travail avec celui de Sol, Marc Favreau.
Bruno Coppens explique que Sol est Canadien, et il mêle beaucoup de langues à ses sketches, contrairement à lui.

00:06:00 - 00:10:30 : [Extrait de sketch]

Bruno Coppens parle de Sol, et de son personnage de clown. Lui essaie d'être plus proche du public, de raconter ce qui se passe dans le monde mais de manière décalée.

00:11:00 - 00:16:00 : [Extrait de sketch et chanson]

00:16:05 - 00:18:20 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de sa passion pour l'écriture.
Bruno Coppens explique qu'il écrit tout le temps, des bribes. Il rassemble le tout par thématique par la suite, sur des sujets qui lui parlent.

00:19:00 - 00:20:55 : [Extrait de sketch]

Bruno Coppens explique que comme tout le monde il a ses propres angoisses, dont il essaie de se défaire avec l'humour.

00:21:25 - 00:21:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de son approche différente, car il doit écrire une histoire.
Bruno Coppens explique qu'il écrit toujours par bribes. Il essaie de faire des synthèses de ses petites phrases.
Il cite des exemples avec Gorbatchev.

00:23:00 - 00:27:30 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle des thèmes préoccupants que Bruno Coppens aborde de manière très théâtrale.
Bruno Coppens explique que c'est important d'aborder ces thèmes, et d'en rigoler.

00:28:55 - 00:31:30 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de la manière de Pierre Desproges d'amener des sujets graves, alors qu'il était malade.
Bruno Coppens salue la force de Desproches de faire rire alors qu'il était malade.

00.32:25 - 00:33:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de sa formation théâtrale.
Bruno Coppens explique qu'il a fait des cours, mais c'est sur les planches qu'il a vraiment appris le métier. Il n'y a pas d'école pour le one-man show. On ne peut apprendre qu'en jouant.

00:34:00 - 00:35:30 : [Extrait de sketch]

Bruno Coppens parle de ses influences théâtrales. Il y a des choses dont il s'inspire sans même s'en rendre compte. Il parle de parodies de phrases historiques, car il pense que cela raisonne chez les gens.

00:36:45 - 00:40:25 : [Extrait de sketch, chanson]

Jean-Michel Probst parle du café-théâtre en Belgique.
Bruno Coppens explique qu'il n'y a pas de café-théâtre en Belgique. Ce n'est pas une tradition belge mais française. Il pense que cela découle du fait que les français aiment beaucoup parler.

00:41:20 - 00:45:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle des humoristes belges.
Bruno Coppens explique qu'il y a beaucoup d'humoristes, mais ils ne passent pas par la télévision, donc ils ne sont pas très connus. Il parle du surréalisme chez les Belges. Ils ont un humour particulier.

00:47:25 - 00:50:30 : [Extrait de sketch]

Probst, Jean-Michel

Chevalier et Laspalès

Interview des humoristes français Philippe Chevallier et Régis Laspalès par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:35 : Générique de l'Odyssée du Rire, et présentation de Philippe Chevallier et Régis Laspalès.

Ils expliquent comment ils se sont rencontrés et comment ils ont commencé à travailler ensemble.

00:01:10 - 00:04:25 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst leur demande comment ils sont arrivés au Théâtre de Bouvard.
Chevallier et Laspalès expliquent qu'ils sont arrivés avec leurs deux styles au départ. Ils ont été acceptés après 2 ou 3 essais. Cela leur a permis d'avoir un public.

00:05:15 - 00:07:30 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès expliquent qu'ils écrivent toujours leurs sketches ensemble.

00:07:45 - 00:11:45 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst leur demande qui sont leurs inspirations.
Chevallier et Laspalès expliquent qu'ils aiment les anciennes générations. Ils parlent de Blier, Francis Blanc, Poiret et Serrault, Bourvil, Gabin. Il y a aussi des gens comme Raymond Devos.

00.12:55 - 00:15:20 : [Chanson]

Chevallier et Laspalès parlent des gens qui ont éclaté après le Théâtre de Bouvard, comme les Inconnus.
Le Théâtre a été une école, où ils ont pu acquérir beaucoup de pratique.

00:16:10 - 00:20:00 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès explique qu'ils se sont connus au cours Simon. Ils étaient impatients, ils avaient envie de jouer et ont commencé à écrire des choses. Ils voulaient monter un numéro de cabaret, puis le spectacle a monté à une heure. Ils ont pu jouer leur première pièce, au café d'Edgar. Ils ont eu beaucoup de chance. Ils ont été beaucoup aidés.

00:22:15 - 00:26:45 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès expliquent que pour eux l'humour c'est pouvoir se moquer de tout et rire de tout.
Pour eux il y a toujours un côté satyrique dans leurs spectacles. Ils se moquent de tout, ils attaquent des travers généraux humains. Mais ils ne se moquent de personne directement.

00:28:25 - 00:33:00 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès parlent d'un de leur sketch qui fait en principe 15 minutes, mais ils ont dû le raccourcir pour le disque.

Jean-Michel Probst leur parle de leurs personnalités différentes.
Chevallier et Laspalès expliquent travailler avec leur nature et leurs défauts. Mais ils ont quand même un langage commun. Ils ne pensent pas qu'il y ait de recette, mais cela marche.

00:35:30 - 00:38:15 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès parlent de leur nouveau spectacle.

00:38:45 - 00:42:40 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès parle de la composition des sketches. Ils expliquent que cela vient de leur expérience.
Ils parlent du Théâtre de Bouvard, qui les a aidés. Ils ont aimé cela car il fallait travailler très vite.

00:43:50 - 00:46:30 : [Extrait de spectacle]

Jean-Michel Probst leur demande la différence entre théâtre et café-théâtre.
Chevallier et Laspalès pensent que café-théâtre ne veut rien dire, c'est un nom que l'on donne à de petites salles. Mais ce qui s'y fait c'est du théâtre. Ils ont toujours joué dans des salles plus grandes.

00:47:45 - 00:50:30 : [Extrait de spectacle]

Chevallier et Laspalès parlent de leur qualités et défauts respectifs.

00:51:20 - 00:56:00 : [Extrait de spectacle]

Probst, Jean-Michel

Coluche

Emission consacrée à l'humoriste et comédien français Coluche, par Jean-Michel Probst. L'émission contient des passages d'interview de Coluche par Jacques Chancel.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:03 - 00:01:05 : Générique de l'Odyssée du Rire, et introduction par Jean-Michel Probst.

00:01:05 - 00:02:45 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de l'enfance de Coluche, et de ses origines modestes.

00:04:15
Extrait d'interview. Coluche parle de son nom. Il parle du fait de réussir.

00:04:55 - 00:09:05 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle du fait de faire des concessions.

00:10:15 - 00:10:50 : [Extrait de sketch]

00:11:20 - 00:11:45 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle des grands comiques. Il explique qu'il n'y a pas beaucoup de compétition. Il pense que c'est parce que dans le music-hall, il ne faut pas avoir peur de passer pour un imbécile.
Il explique avoir débuté au Café-théâtre. Romain Bouteille a créé le café-théâtre, car ils n'étaient pas engagés au théâtre.

Jean-Michel Probst parle des débuts de Coluche au Café de la Gare à Paris.

00:14:15 - 00:15:50 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche explique qu'il aimerait mieux ne pas être connu. Il parle du fait de réussir dans la vie, et de réussir sa vie. Il parle d'une autocensure car on est connu. Il parle du fait d'appartenir au public.

00:17:00 - 00:19:15 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Jacques Chancel lui parle de la difficulté de maintenir sa carrière. Coluche explique qu'il n'y a pas de concession face au public, car si on se met à faire des choses faciles, cela ne marche pas. Il prend l'exemple du sketch du "Schmilblick".

00:20:15 - 00:21:55 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de la technique inimitable de Coluche.

00:23:15 - 00:25:15 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle d'un enregistrement fait avec les sketches inédits de Coluche.

Extrait d'interview. Coluche parle du fait de faire de l'esprit et de l'humour. Il adore faire rire les gens. Il parle de l'intelligence.

00:26:25 - 00:30:30 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche explique que tout le fait rire. Il ne voulait pas se foutre de tout ni pleurer de tout, alors il a décidé de rire de tout. C'est comme cela qu'il a commencé à faire du spectacle.

00:31:20 - 00:32:40 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst parle de son émission à la Radio. Coluche passera par plusieurs radios, dont il se fait viré à cause de sa verve.

00:34:30 - 00:35:50 : [Extrait de sketch radiophonique]

Extrait d'interview. Coluche parle du fait qu'il parle de tout. On lui a reproché plusieurs sketches. Il pense que la pire des infirmités c'est de ne pas avoir d'humour.

00:37:25 - 00:41:10 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle du fait de ne pas être compris en tant qu'artiste. Il pense que c'est la faute de l'artiste de ne pas être compris par le public.

00:42:30 - 00:43:50 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle du cirque. Il pense que les gens ne vont plus y aller, car les gens préfèrent aller au cinéma. Il aimerait aller jouer dans un cirque, faire un numéro de clown.
Coluche explique qu'il ne fera pas du music-hall pendant 20 ans, il veut faire d'autres choses, toucher d'autres domaines.

00:46:30 - 00:48:25 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle du talent. Il pense qu'il y a beaucoup de gens avec plus de talent que lui qui ne sont pas connus. Il parle de faire du cinéma. Il parle de changer le cinéma tel qu'il est, de faire arriver une nouvelle génération.

00:49:50 - 00:52:15 : [Extrait de sketch]

Extrait d'interview. Coluche parle de sa première tentative d'être artiste. Il a pris une guitare et a appris des chansons de grands chansonniers.

00:53:15 - 00:55:25 : [Extrait de sketch]

Probst, Jean-Michel

Cuche et Barbezat

Interview de Benjamin Cuche et Jean-Luc Barbezat du duo comique neuchâtelois Cuche et Barbezat par Jean-Michel Probst.

Emission prête à diffuser, avec des interludes théâtraux et musicaux.

00:00:02 - 00:00:30 : Générique de l'Odyssée du Rire, et présentation de Cuche et Barbezat.

Cuche et Barbezat parlent de ce qu’ils font le matin.

00:01:15 - 00:03:30 : [Extrait de sketch]

Cuche et Barbezat parlent de leur spectacle. Ils expliquent que le spectacle a beaucoup évolué depuis la première. Ils expliquent comment se font les changements. Ils s'adaptent aux réactions du public.
Ils parlent de leur metteur en scène, Pierre Miserez.

00:05:30 - 00:07:45 : [Extrait de sketch, chanson]

Jean-Michel Probst parle Pierre Miserez qui avait envie de travailler avec des jeunes.
Cuche et Barbezat expliquent qu'ils avaient déjà travaillé un peu avec lui, mais pas autant que pour le spectacle. Ils étaient contents de travailler avec lui. Ils parlent de Pierre Miserez et Zouc.

00:09:30 - 00:11:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst leur parle de la première de leur premier spectacle.
Cuche et Barbezat expliquent qu'ils avaient travaillé ensemble par le passé, puis ont travaillé un an sur le spectacle. Ils ne s'imaginaient pas que le succès arriverait. Ils rêvaient de pouvoir vivre du spectacle. Ils ont dépassé leurs espérances.

00:14:10 - 00:15:50 : [Extrait de sketch]

Jean-Michel Probst leur demande de se décrire l'un et l'autre.

Ils parlent de leurs décors.

00:20:00 - 00:24:00 : [Extrait de sketch]

Probst, Jean-Michel

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