[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2013
Diffusé sur la Première le 30 septembre 2013
Fabrice A., assassin présumé de la sociothérapeute Adeline, n'aurait jamais dû être autorisé à sortir. Ni le service genevois d'application des peines ni l'établissement la Pâquerette n'ont respecté les procédures. C'est la conclusion choc du rapport d'enquête présenté mercredi par Bernard Ziegler, suite à ce drame qui s'est produit mi-septembre. Dans la foulée, le gouvernement genevois a fait son mea culpa: "L'Etat a failli à son devoir de protéger ses employés". Dans la foulée, le Conseil d'Etat prend toute une série de mesures pour l'avenir. Quelles conséquences sur la future prison Curabilis à Genève, une prison pour détenus souffrant de troubles mentaux qui doit ouvrir dans quatre mois? Expert indépendant dans le domaine carcéral, spécialiste de l'exécution des peines, Benjamin Brägger est également chargé de cours aux universités de Lausanne et Berne. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2014
Diffusé sur la Première le 12 mars 2014
L'endettement mondial des Etats et des entreprises se monte à la somme astronomique de 100'000 milliards. La dette pèse donc plus de quatre fois le produit intérieur brut réuni de la Chine et des Etats-Unis. La dette s'est envolée ces dernières années. Au milieu de l'année 2007, avant la crise, elle était de 70'000 milliards de dollars, selon les dernières données fournies par la Banque des règlements internationaux. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2014
Diffusé sur la Première le 23 juillet 2014
Les milieux européens de la recherche en neurosciences sont en ébullition. En cause: le projet "Human Brain", dirigé par l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Il faut dire que l'enjeu est colossal, avec sur la table un milliard 200 millions d'euros sur dix ans, financés par l'Union européenne. Mais voilà, ce jackpot décroché l'an dernier par l'EPFL est contesté. Au début du mois, dans une lettre ouverte, plus de 150 scientifiques, rejoints depuis par 450 autres personnes, ont reproché au projet de l'EPFL d'être trop étroitement consacré à la simulation cérébrale et mal conduit. Jalousie et règlements de comptes entre chercheurs ou craintes légitimes et objectives? Patrick Aebischer, président de l'EPFL et grand architecte du projet "Human Brain" répond à ces critiques. Source: RTS