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Interview d'André Sugnaux - brute

Interview de l'artiste peintre fribourgeois André Sugnaux par Thierry Savary, [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de son exposition à la librairie du Vieux Comté à Bulle et à la librairie Saint-Paul à Fribourg, en avril 1995.

André Sugnaux parle de sa découverte de l'Egypte. Il a d'abord découvert le Maghreb, où il a fait des recherches sur des peintures préhistoriques. Puis il a découvert l'Egypte grâce à Soeur Emmanuelle. Il explique qui est Soeur Emmanuelle. Elle s'occupe des défavorisés dans les bidonvilles en Egypte, notammen le bidonville du Mokhattam, dans lequel elle lui a demandé de venir. Il explique leur rencontre, par l'intermédiaire de l'ambassadeur de Suisse à Tunis. Il explique que lorsqu'il est arrivé, il s'est rendu compte de la difficulté de ce qu'il devait faire. Ils ont finalement construit une école dans le bidonville, qu'il a décoré.

00:04:45
André Sugnaux explique que les premiers mois dans le bidonville étaient difficiles, car il n'était pas accepté. Puis, comme il a travaillé pour les enfants, les habitants l'ont accepté et il s'y rend encore régulièrement, il fait partie de la famille.
Il est proche des enfants, car il pense que pour changer le monde, c'est avec les enfants qu'il faut travailler. Il parle notamment des chiffonniers, des enfants qui vivent dans des conditions difficiles physiquement et mentalement.
Il explique qu'il ne s'est pas contenté de faire son travail, il a fait bien plus. Il a aidé à de nombreux niveaux.

00:08:40
Thierry Savary lui parle des fresques qu'il a faites sur les écoles.
André Sugnaux explique qu'il a étudié la culture égyptienne pendant plusieurs mois avant de peindre. Il s'est intéressé à l'art contemporain et pharaonique. Il s'en est inspiré pour sa fresque, pour introduire des symboles, mais sans tendance religieuse ou politique.
Ces fresques cherchent aussi à donner du rêve et de l'évasion aux enfants.

00:11:30
André Sugnaux explique qu'il a des contacts avec des professeurs d'art et d'égyptologie en Egypte, qui l'ont aidé pour réaliser ses fresques.

00:12:45
André Sugnaux parle des conditions de vie des enfants, de ceux qui sont à l'école ou non. Il explique que ces conditions sont très difficiles. Il est touché par cela, et il peint ce qu'il voit et ressent. Ce sont ces oeuvres qui sont exposées au Vieux Comté à Bulle. Ces oeuvre lui permettent de s'équilibrer, car ce qu'il voit le bouleverse.

00:16:15
Thierry Savary parle de la lumière dans ses oeuvres, et lui demande si cela vient de ce qu'il a vu et vécu en Egypte.
André Sugnaux explique que malgré les ocnditions de vie difficiles, il y a énormément de lumière dans leur vie. Il parle d'un peuple formidabel, de leur gentillesse.

00:17:45
Thierry Savary souligne que les expositions sont mises en place pour soutenir un jeune médecin.
André Sugnaux explique qu'il a rencontré un jeune qui devait abandonner ses études de médecine. Il a été touché, et il a décidé de l'aider. Ils ont travaillé 10 ans ensemble. Il a désormais terminé ses études. Il aimerait ouvrir son cabinet pour aider les enfants des bidonvilles. L'argent récolté par les expositions servira à l'aider à monter son cabinet, pour aider les enfants des bidonvilles.

00:23:15
Thierry Savary lui parle de sa vie en Egypte.
André Sugnaux explique que selon le travail qu'il a à faire en Egypte, il peut y passer de 3 à 9 mois par an. Il y a aussi un besoin affectif de retourner en Egypte. Il précise que le travail qu'il fait est bénévole. S'il est payé, il fait d'autres activités en Egypte. Il parle notamment d'investissements réalisés dans des hôpitaux.

00:27:10
Thierry Savary parle de ses travaux exposés à la Galerie des Yeux Noirs à Romont.
André Sugnaux explique qu'on lui a mis une salle à disposition à Romont pour exposer ses travaux récents, qui traitent de l'enfant, l'homme et la terre, et qui n'ont rien à voir avec l'Egypte.

Sugnaux, André

Interview de Valentina Shapiro - brute

Interview de l'artiste peintre fribourgeoise d'origine russe Valentina Shapiro par Thierry Savary, [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de

Valentina Shapiro est née en Sibérie, puis elle a grandi à Moscou. Elle ne vient pas d'une famille d'artiste. Sa mère était journaliste avant les répressions, puis femme de ménage.
Elle explique avoir toujours peint. Elle parle des écoles de Moscou. Elle a fait les Beaux Arts, puis a émigré en 1972. Elle et sa mère ont pu quitter le pays assez rapidement. Elles sont parties en Israël, puis Paris.
Elle explique qu'elle a souffert du racisme toute sa vie.

00:03:55
Thierry Savary lui demande pourquoi elle a quitté la Russie.
Valentina Shapiro explique que c'était difficile de vivre en Russie. On la mettait dans un asile tous les ans, elle suppose pour des raisons politiques. Elle explique que suite à sa première exposition, réalisée dans un appartement, elle a été mise dans un asile, car l'exposition de peinture n'était pas légale, et beaucoup de dissidents étaient présents. Elle explique que c'est son oncle qui l'a dénoncée. C'était dans les années 60.

00:06:00
Thierry Savary lui demande ce qu'elle pense de la chute du régime URSS.
Elle explique qu'au début elle était contente, mais que la situation aujourd'hui n'est pas mieux. Elle n'est retournée qu'une seule fois en Russie. Elle n'a plus de famille là-bas.

Thierry Savary lui parle du racisme dont elle a souffert.
Valentina Shapiro explique qu'au début cela la fâchait, puis elle s'y est fait. Elle parle d'imbécilités.

00:07:45
Thierry Savary lui demande si la peinture lui sert à exorciser ses démons,
Valentin Shapiro explique que c'est cela la peinture pour elle. Elle a changé avec l'âge, mais l'utilité ne change pas.
Elle ne pense pas avoir d'influence russe dans sa peinture, plutôt des vieux artistes espagnols.
Elle ne s'intéresse plus vraiment à ce qui se fait dans la peinture actuelle.

00:09:30
Thierry Savary souligne la difficulté de vivre de l'art.
Valentina Shapiro pense que cela a toujours été le cas. Elle pense que c'est un choix.
Elle pense que ce qu'elle a vécu n'est pas plus difficile que d'autres.

00:10:30
Thierry Savary lui demande si elle a beaucoup voyagé.
Valentina Shapiro n'a pas beaucoup voyagé, un peu comme tout le monde.
Elle s'inspire de ce qu'elle voit. Elle se dit fataliste.

Elle explique qu'elle a rencontré beaucoup de peintres russes à Paris. Elle est content de ne pas vivre en Russie. Elle pense que c'est encore pire aujourd'hui que quand elle est partie.

00:12:30
Elle a fait sa première expo en 1973. Elle a eu des périodes de creux, comme tout le monde.

Elle ne reste pas longtemps dans ses tableaux. Elle a besoin d'inspiration rapidement, il faut que ce soit spontané. Si l'inspiration n'arrive pas, elle laisse des tableaux de côté. il lui arrive très rarement de reprendre de vieux tableaux.

Elle peint ce qu'elle a à l'intérieur.

00:15:00
Elle explique qu'elle n'aime pas qu'on lui pose des questions sur ses oeuvres. Elle pense que les questions sont stupides.

Elle ne connait pas beaucoup d'artistes dans la région avec lesquels échanger. Elle cite Jean-Claude Humbert.
Elle a toujours été assez solitaire.

00:16:25
Elle parle de son exposition à la Galerie des Yeux Noirs à Romont. Elle a été très contente de l'exposition, et de la galerie.
Elle parle de musique. Elle écoute surtout des romantiques, comme Schuman.

Elle parle des expositions. C'est quelque chose qu'elle n'aime pas. Elle n'aime pas parler de sa peinture. Elle pense que la peinture doit parler d'elle-même.

00:18:55
Thierry Savary lui parle de l'avenir.
Elle explique qu'elle se laisse vivre simplement.

Elle peint beaucoup. L'inspiration vient quand elle vient.

Pour les expositions, elle attend qu'on vienne la chercher. Elle n'a pas envire de faire le tour des galeries. Elle n'a pas d'agent, même si elle aimerait en avoir un.
Elle donne son numéro si quelqu'un aimerait la contacter pour voir ses oeuvres. Elle a une galerie avec laquelle elle travaille beaucoup à Paris, et certains tableaux dans d'autres galeries parisienne. Certaines de ses oeuvres sont aussi dans des musées.

Shapiro, Valentina

Interview de Incognito - brute

Interview de Jean-Paul 'Bluey' Maunick, guitariste du groupe d'acid jazz britannique Incognito, par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée en mai 1995 à l'occasion de la sortie de leur album "100° And Rising", en 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S153-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Madredeus - brute

Interview du groupe de musique portugaise Madredeus par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de leur concert à l'Aula de l'Université de Fribourg le 29 mai 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S148-03). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview des Young Gods - brute

Interview d'Alain Monod et Franz Treichler du groupe de rock électronique fribourgeois les Young Gods par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée en mai 1995 à l'occasion de la sortie de leur album "Only Heaven".

Il s'agit de l'interview brute (S145-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview du groupe Rated X - brute

Interview du chanteur Steven et du guitariste Adam du groupe genevois/lausannois Rated X par Thierry Savary .

Enregistrée en mai 1995.

00:01:06
Le groupe a signé avec BMG. Ils jouent ensemble depuis 5 ans. Ils ont déjà sorti un album en France mais ça n'a pas beaucoup marché. Ils préfèrent chanter en anglais. Il n'ont pas eu une bonne expérience avec la maison de disques française. Leur musique a beaucoup d'énergie. Ils ont fait pas mal de scène et des premières parties avec Iron Maiden et Deep purple. Actuellement, ils sont en tournée avec China et jouent à Genève samedi. Jouer en première partie d'un grand groupe est une expérience bénéfique et un rêve qui se réalise mais ils n'ont pas réussi à établir un contact avec les groupes dont ils faisaient la première partie. Ils étaient difficiles d'accès. Il aurait fallu faire plusieurs dates avec eux pour avoir un vrai suivi.

00:05:10
Ils ont des fans fidèles. Leur musique est plus diffusée en Suisse allemande qu'en Suisse Romande. Ils visent plus la Suisse allemande car c'est difficile de se faire un public en France, ils aiment plus les grands groupes dans ce style de musique. Ils ont déjà tourné en France et ça s'est bien passé. Pour eux, pour se faire connaître, il faut soigner le contact avec le public. Leur album est sorti chez BMG en Suisse car ils ont signé pour l'édition de titres avec le manager de Gotthard, Marc Antonini et comme Gotthard était aussi chez BMG, ils les ont aussi signés. Cette signature représente une seconde chance. Ils sont satisfait de leur album et des retours qu'ils ont dessus. C'est une production qui est interne au groupe et la réalisation s'est super bien passée.

00:10:56
Leur but s'est devenir professionnels et ils sont sur la bonne route. Ils sont à 100% sur scène et se donnent toujours à fond, ils sont toujours concentrés. Ils sont tous autodidactes et ne sont pas des bêtes musicalement parlant. C'est aussi une façon d'être proche du public. Au niveau de l'album, l'ambiance n'est pas très gai mais ils sont assez bons vivants qu quotidien. C'est Steven qui a écrit les textes directement en anglais. Il est assez critique avec lui-même et réécrit beaucoup ses textes.

00:16:25
Ils ont pas de personne de référence à qui présenter leurs morceau car il y a beaucoup de jalousie dans ce milieu en Suisse romande. Donc, ils gardent les mélodies et les textes pour eux. Ils ont pas de producteurs extérieur au groupe. Leur expérience précédente avec un producteur n'était pas satisfaisante. Actuellement, ils font beaucoup de concert mai quand ils font un album ils travaillent 6 jours par semaine entre 5-6 heures par jours. Pour la suite, ils ne savent pas comment ça va se dérouler mais les réactions du public et des médias sont bonnes.

Savary, Thierry

Interview de Richard Desjardins et Abbittibbi - brute

Interview du chanteur québécois Richard Desjardins et de Francis Grandmont du groupe Abbittibbi par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de la tournée suivant la sortie de leur album Chaude était la nuit.

Il s'agit de l'interview brute (S183-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Guesch Patti - brute

Interview de la chanteuse française Guesch Patti par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Blonde", en 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S218). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Michel Beaud - brute

Interview de Michel Beaud par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Reportage lors du bagage des petits faucons crécerelles.

Savary, Thierry

Interview d'Yvette Théraulaz - brute

Interview de la comédienne et chanteuse vaudoise Yvette Théraulaz, par Thierry Savary[A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de la représentation à Fribourg le 23 juin 1995 du spectacle "Leyla récit d'exil", mise en scène de textes de Leyla Chammas.

Il s'agit de l'interview brute (S151-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Jacques Basler - brute

Interview du sculpteur vaudois Jacques Basler par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de son exposition au Musée du Pays et Val de Chamey.

00:00:32
Il expose ses sculptures à l'extérieur du musée durant tout l'été. Jacques Basler vit de la sculpture depuis 14 ans, il pratique depuis 20 ans. Il a une galerie à Rue où il expose 2 fois par an. Il a une sculpture dans une exposition à Bologne bientôt. Pour lui, l'exposition à Charmey est importante. Au début, ses sculptures étaient plus réalistes. Son processus de création a évolué. Petit à petit, il a pu réaliser des bronzes. Actuellement, il travaille sur acier et bois et ensuite, sur cette base, il réalise des bronzes. C'est le bois qui donne l'impulsion de la sculpture. Il est fasciné par les arbres. Il est tout le temps en balade avec sa tronçonneuse.

00:05:08
Il croit en la science et au progrès, mais il pense qu'il faut respecter la nature. La sculpture lui a enseigné de la technique, la passion, une grande patience. Plus il avance, plus il devient modeste, une sculpture amène l'apprentissage pour la suivante. Il n'arrive jamais à dire que son travail est abouti. Il n'est jamais satisfait de ses sculptures lors de la finition. Sa femme et ses enfants donnent leur avis sur son travail, mais il n'écoute personne d'autre.

00:08:46
Une fois qu'une sculpture est achetée, elle appartient à son propriétaire, mais il a souvent encore des bronzes. A chaque fois qu'il vend une culture, c'est un miracle. Avec les tirages de bronze, il peut faire agrandir ses sculptures. Il travaille avec la fonderie à Pietrasanta. Sa technique évolue avec le temps. Il voyage beaucoup entre la Suisse et l'Italie. En sculpture, la France a une grande influence sur la Suisse romande, c'est très intellectuel comme pratique et lui est plus à l'aise avec une pratique "italienne" de la sculpture. Une sculpture, pour lui, doit être sensuelle et donner envie de toucher. Il représente beaucoup de femmes dans ses sculptures. Pour lui, tout vit en couple.

00:13:30
Il est en train de faire une danseuse en bois d'olivier. Il a une sculpture violente "agression" qui est dans le parc. Il pense que le progrès passe par la culture. C'est l'inculture qui fabrique les guerres. Plus il va en avant, plus la distance entre ses idées et ce qu'il peut faire devient grande et il a des idées pour dans 10 ans. Il ne pratique pas de communication dans son métier, c'est un sauvage. Les choses viennent et il ne faut pas les forcer.

Savary, Thierry

Interview de Jacques Cesa - brute

Interview de l'artiste fribourgeois Jacques Cesa par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de la publication du livre "La Trace" aux Edition de La Sarine.

00:00:11
Jacques Cesa a publié un livre en collaboration avec Pierre Savary "La Trace" dans lequel on retrouve ses dessins réalisés en montagne. C'est la mémoire de 2 ans de travail dans les vallées du petit mont et du gros mont. Il a toujours pratiqué la traque par le dessin. Le livre est né de l'idée de Jean-Bernard Repond qui voulait faire un livre et il a contacté Pierre Savary pour faire le texte.

00:03:15
Sa relation avec la montagne est très forte depuis l'enfance. Il allait avec son père et sa mère en vacances dans les montagnes et il y allait avec un copain. Il a voulu retrouver ses traces de l'enfance depuis 20 ans. Entre 1993 et 1994, il a fait un voyage initiatique dans les montagnes italiennes à Cervarollo, village d'origine de son père. Il a dû s'adapter aux changements de temps et au silence de la montagne. En été, les armaillis prennent possession de la montagne pour valoriser cette terre. Autour de la montagne, en Gruyère, il y a un lien entre les gens. Il faut se battre pour garder la montagne comme elle est actuellement, bien qu'il ne soit pas contre le progrès de l'économie alpestre.

00:09:18
Chacun doit se retrouver à un moment seul. Pour lui, c'est dans la montagne, il ne se sent pas bien en plaine et il a besoin d'un espace construit par la nature autour de lui, la montagne. Il a peu voyagé sauf dans le Hoggar dans le sud algérien avec Nicole Niquille. Il aimerait entreprendre un projet avec Jacques Rime où ils aimeraient explorer les limites du monde sauvage entre le loup et les hommes dans les Abruzzes.

00:12:26
Il écrivait beaucoup à la montagne. Il écrivait beaucoup à 20-25 ans puis, il a arrêté et ce livre a été l'occasion de recommencer. Pour lui, le concept de liberté ne veut pas dire grand-chose. Il a besoin de "faire" son émotion, de la dessiner pour trouver un équilibre.

00:16:09
L'abécédaire dans le livre permet de situer le lieu où se passe le livre. C'est un livre qui contient la mémoire de ce qu'il a vécu dans la montagne. C'est Pierre Savary qui a choisi les dessins. Jacques Cesa est reparti depuis un mois à la montagne au Fessu.

Savary, Thierry

Interview des Infidèles - brute

Interview de Jean-Cyril, bassiste et Jo, batteur, du groupe de rock français Les Infidèles par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de l'album "Human Way Of Life" en 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S152-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Salomé Stévenin et Philippe de Broca - brute

Interview de l'actrice française Salomé Stévenin et du réalisateur français Philippe de Broca par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de la présentation du film "Le Jardin des plantes" au Festival du film français d'Helvétie en octobre 1995.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en juin 1996 (S169-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Stévenin, Salomé

Interview de Jean-Pierre Cassel - brute

Interview du danseur et acteur français Jean-Pierre Cassel par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion du Festival du film français d'Helvétie en octobre 1995.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en novembre 1995 (S162-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Cassel, Jean-Pierre

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