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Interview de Michael Jones - brute

Interview brute de Michael Jones par Thierry Savary.

Enregistrée en mai 1997 à l'occasion de son nouvel album "À Consommer sans modération"

00:00:46
Il a déjà sorti un album, mais pour lui, c'est son premier vrai album. C'est lui qui a tout produit puis il a signé avec une maison de disques. Il a décidé d'aller à l'encontre de sa maison de disques. Il raconte son enfance, le Pays de Galles, ses origines celtes, son premier groupe de folklore celte. Il y a des consonances blues dans ce disque. C'est quelqu'un d'optimiste. Cet album est un hymne à la vie.

00:09:50
Il a eu la chance d'être au bon moment au bon endroit pour pouvoir faire ce métier. Son disque est sorti depuis 3 semaines, il n'est pas mécontent. La sortie a pris les médias par surprise. Il aime bien faire la promo dans les radios. Il fait une tournée dans les cafés-concerts actuellement, il trouve ça génial et magique. Il a l'impression que ces lieux vont revivre. Il écoute beaucoup de chansons françaises.

00:15:53
Jean-Jacques Goldman n'a pas participé à l'écriture de l'album, mais il a donné son avis pour le mixage. Ils ont développé un langage commun au fils des années à l'exception du fait que Jean-Jacques est très cérébral et Michael est plutôt un fonceur, mais ça se complète très bien.

00:18:37
Michael Jones tenait à faire cet album en français et il a travaillé avec plusieurs autres jeunes artistes pour cet album. Il a appris la guitare seul et il joue spontanément. En concert, il y a toujours un petit peu d'impro. Il n'est pas le même musicien quand il joue dans un piano-bar ou dans une grande scène. Ça faisait longtemps qu'il voulait chanter en français, il trouve que c'est mieux que les chanteurs français chantent dans leur langue plutôt qu'en anglais, car il faut bien parler la langue pour pouvoir la chanter et pour la plupart, ce n'est pas le cas.

00:27:45
Il veut se focaliser sur la diffusion du disque dans les pays francophones. Actuellement, cette vie lui convient. Même si le succès s'arrête, il pourrait sans problème changer de métier et continuer à faire de la musique avec les copains. Il ne croit pas en l'amour éternel, mais en l'amitié éternelle, oui. Il va continuer à travailler avec Fredericks Goldman Jones avec qui il travaille pour cette tournée de piano-bar. Il a un projet de partir en tournée avec Jean-Jacques Goldman et Carole Fredericks. On le sollicite aussi pour faire des chansons pour d'autres chanteurs. Il n'a pas la même faculté de faire plusieurs choses à la fois comme Jean-Jacques Goldman.

Savary, Thierry

Interview de Native

Interview de Laura et Chris Mayne du groupe de soul et rock français Native, par Thierry Savary.

Elles parlent de leurs tournées suite à la sortie de leur premier album.

Thierry Savary leur parle d'une précédente rencontre et de leur expérience de la scène.

Thierry Savary parle de l'interview qu'il a faite du producteur Philippe Puydauby, leur producteur.

Elles parlent du fait de chanter en français plutôt qu'en anglais.

Elles parlent de leur relation avec le public.

Thierry Savary leur demande leurs trois voeux:
Obtenir tout ce qu'elles veulent, avoir trois vœux supplémentaires.

Savary, Thierry

Interview d'Aswad- brut

Interview du groupe de reggae anglais Aswad par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de leur passage au Paléo festival en juillet 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S168-04). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Vaya con Dios - brut

Interview de Dani Klein, chanteuse du groupe de rock belge Vaya con Dios par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de l'album "Roots and Wings", en février 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S179-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Alliance Ethnik - brute

Interview du groupe de rap français Alliance Ethnik par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de leur premier album "Simple et Funky" en 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S136-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Tanita Tikaram - brute

Interview de la chanteuse britannique Tanita Tikaram par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Lovers In The City", en 1995.

Il s'agit de l'interview brute (S138-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Gianna Nannini - brute

Interview de la chanteuse italienne Gianna Nannini par Thierry Savary, [Nationalité : musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Dispetto" en 1995.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en mars 1995 (S125-05). Se référer à cette notice pour les détails.

Interview de Madredeus - brute

Interview du groupe de musique portugaise Madredeus par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée à l'occasion de leur concert à l'Aula de l'Université de Fribourg le 29 mai 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S148-03). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Diane Tell - brute

Interview de la chanteuse québécoise Diane Tell par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de l'album "Désir Plaisir Soupir", en février 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S177-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Jazzorange - brute

Interview de Bob Arnedo et Tony Garcia du groupe de jazz fusion vaudois Jazzorange par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Source...", en mai 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S192-03). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Tony Mortimer et John Hendy (East 17) - brute

Interview de Tony Mortimer et John Hendy du groupe de pop britannique East 17 par Thierry Savary.

Enregistrée en octobre 1994 à l'occasion de la sortie de leur album "Steam".

00:00:16
Tony Mortimer et John Hendy confirment qu'ils ont été surpris par le succès soudain du groupe. Ils étaient amis avant d'être ensemble dans le groupe. Ils décrivent le processus pour arriver à la formation du groupe et quand ils ont signé pour "East 17". John Hendy ne vient pas du tout d'une famille où il y a une pratique artistique mais Tony Mortimer a une famille de danseurs et de musiciens.

00:04:42
Thierry Savary leur demande quel type de musique ils écoutaient étant jeunes. Ils ont fait de la danse très jeune. Ils décrivent les influences qu'on retrouve dans leur dernier album et le type de musique qu'ils écoutent aujourd'hui. Actuellement, à Londres, tous les genres musicaux sont écoutés, c'est un grand mix car il y a des gens qui viennent du monde entier. Ils parlent des genres de musique sur leur album.

00:12:20
Thierry Savary leur demande quelle relation ils ont avec la musique venue des USA. Ils en écoutent beaucoup. Ils ont l'impression que leur second album est mieux pour aller en tourner là-bas. Ils discutent de la manière dont le groupe combine leurs voix dans les chansons. Ils expliquent que c'est assez difficile de faire quelque chose de nouveau actuellement. L'important c'est d'avoir une bonne chanson peut importe si ce n'est pas si innovant tant que c'est fait dans leur style de musique.

00:20:26
Ils parlent de l'importance des paroles dans leur chansons. Ils les écrivent rapidement, dès qu'ils ont les sujets dont ils veulent parler. Ils doivent parler de l'amour car c'est quelque chose d'universel. Ils décrivent la sortie de leur dernier album.

00:25:22
Thierry Savary leur demande s'ils on encore le temps de voir des amis. Ils veulent garder le contact avec leurs amis car c'est important pour eux. Ils aiment le résultat de leur dernier album.

Savary, Thierry

Interview de Manuel Malou - brute

Interview de Manuel Malou par Phil (Phil Bernard?).

Enregistrée en février 1994 à l'occasion de la sortie de son second album "Corazón Caliente" .

00:00:10
Manuel Malou parle de son second album "Corazón Caliente". Il déplore qu'on veuille toujours mettre des étiquettes aux artistes. Il n'aime pas les puristes. Il estime qu'il faut dépasser les bornes de la tradition pour aller plus loin tout en connaissant d'où l'on vient. Il a essuyé des critiques pour ce second album.

00:06:05
Manuel Malou est content de chanter en français aussi. Il a fait la première partie de Maxime (Leforestier?) à l'Olympia. Il a fait une reprise du métèque de Georges Moustaki sur son dernier album. Il aime beaucoup le texte. En lien avec son ouverture musicale, il a changé les musiciens qui l'accompagnent.

00:10:54
L'enregistrement du second album était plus court car il a été enregistré en direct au studio. Il y a une trentaine d'invités sur le disque. Ça été plus court car il a plus d'expérience en studio. Actuellement, il prépare avec ses musiciens un troisième album. Il écrit tout le temps et il reprend les choses en fonction des mélodies ou l'inverse. Il peut reprendre des textes bien des années après. Pour les arrangements musicaux, il le fait plus sur le moment mais les mélodies sont aussi produites parfois très longtemps à l'avance. Il a toujours un dictaphone avec lui.

00:15:17
Il se considère plus comme chanteur que comme guitariste. Il s'entour d'autres guitaristes pour l'accompagner. C'est fantastique de pouvoir jouer avec sa voix. Le chant et le fait de jouer d'un instrument introduit un rythme dans la marche et peut-être que c'est le cas aussi si on pratique d'autre art comme la peinture.

00:17:57
Phil lui demande d'il voyage beaucoup. Oui, il revient du Brésil où il a tourné un clip. Il connaît bien l'Amérique latine. Il n'a jamais ressenti de grande différence entre les publiques hispanophone et autre mais il pense que ceux qui comprenne ses textes cela leur permet de créer une connexion différente et de réagir à ses textes. Si le public réagit mal, c'est pas de sa faute mais de celle de l'artiste qui n'a pas été bon. Il a chanté dans la rue en faisant la manche. Il est actuellement de passage à Genève pour donner une série de récital de flamenco traditionnels.Il aime bien faire des choses à côté de ce qu'il fait sous le nom de Malou. Dans ce cas, il ne joue que des choses de tradition populaire ancienne. A l'inverse, sur son premier album, il a plaqué textes de sa composition sur de la musique traditionnelle.

00:24:35
Il prépare son troisième album dans lequel il a envie de mettre des rythmes rockabilly et country. Il a envie de toucher à des rythmes différents. Il joue déjà ses chansons sur scène avant de les mettre sur son album. Il préfère faire de la scène qu'enregistrer en studio.

Savary, Thierry

Interview d'Ismaël Lô - brute

Interview d'Ismaël Lô par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de son concert au Miles Davis Hall de Montreux le vendredi 8 juillet 1994.

00:00:17
Thierry Savary lui demande s'il a toujours voulu être artiste. Il ne pensait pas être artiste. Il a commencé par faire ses guitares lui-même. Il n'est pas issu d'une famille avec une tradition musicale. Il a commencé à joué de l'harmonica en la clouant au mur. Il a joué de cet instrument très jeune et comme il voulait jouer de la guitare et de l'harmonica en même temps, il l'a fixé au mur. Il s'est intéressé à cet instrument car il se vend dans les magasins de jouets et il a grandit avec. Il dit que la musique moderne existe grâce au mélange d'instruments venus de différentes régions du globe.

00:05:10
Il a plein d'influence dans sa musique. Déjà quand il était petit, il écoutait toutes sortes de musique. Pour lui, toutes les musiques viennent d'Afrique, le jazz est à la base de tout et il a été créé par les esclaves noirs aux USA et il a des racines pop, reggae, salsa, etc. Il dit qu'en Europe et en Amérique, les gens ont tendance à comparer la musique faite par des africains à d'autres genres que les Africains ont connus depuis longtemps. Ils réimportent en Afrique des musiques qui en sont originaires.

00:06:44
Thierry souligne que dans le même sens, tous les hommes sont originaires d'Afrique, ce qui rend le racisme incompréhensible. Ismaëla Lô dit que la base musicale du monde, c'est le jazz. Il aimerait bien faire des recherche sur la provenance originelle des hommes. L'inspiration de beaucoup d'hommes blanc est en Afrique. Ismaëla Lô dit que les africains ont le rythme et la danse dans le sang. Elle est multiculturelle et une source inépuisable d'inspiration. C'est courant que l'on vienne piller les ressources de l’Afrique.

00:10:22
En Afrique, la musique est une distraction comme en Europe. Ismaël est souvent distrait par la musique car il compose en permanence dans sa tête que ça soit des paroles ou de la mélodie, même dans ses rêves. Pour lui, un musicien c'est un être très mystique et de magique bien qu'il ne soit pas magicien.

00:15:59
Sur son dernier album, il a fait une chanson avec Étienne Roda-Gil. C'est quelqu'un de très inspirant pour Ismaël Lô. Il parle des autres collaboration qu'il a fait. Pour lui, le duo est quelque chose d'important. Pour Ismaël, la richesse d'un individu c'est ses relations, pas son argent.

00:20:04
Ismaël Lô vient d'une famille polygame. Il est conscient que la femme africaine est très brave et il a donné une place importante aux femmes et en particulier africaines dans son dernier disque. Il parle de la polygamie et de ce que les femmes vivent dans la société sénégalaise.

00:22:24
Il a un seule vœux, c'est que les richesses soient réparties équitablement entre les humains, que chacun puisse être heureux et que le monde soit en paix.

Savary, Thierry

Interview d'Ismaël Lô - brute_2

Interview du chanteur Ismaël Lô par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album-compilation "Jammu Africa" en 1996.

00:00:12
Ce nouveau disque est composé d'anciennes chansons et des titres inédits. Il devait faire une tournée qui a finalement été annulée, mais l'album a du succès. En Afrique, comme en Europe, il y a un suivi lorsqu'un disque sort. Les disques se vendent moins en Afrique que les cassettes et les CD. Au Sénégal, les gens consomment et achètent des cassettes, mais le problème ce sont les cassettes piratées.

00:04:55
Ismaël Lô essaie de démocratiser la musique sénégalaise au-delà du continent africain. C'est une façon de montrer une image positive de l'Afrique. Les artistes africains essaient d'encourager les jeunes à faire de la musique. Ismaël Lô se considère et considère les artistes africains comme des ambassadeurs. Il est fier de la musique africaine en général. Ismaël Lô travaille au Sénégal et exporte sa musique en Europe plutôt que de produire en Europe. Il parle de la colonisation. En tant que citoyens, ils peuvent faire quelque chose pour leur pays. Il est bien au Sénégal, c'est là-bas qu'il a sa famille et qu'il trouve son inspiration et ne voit pas pourquoi il déménagerait ailleurs. En général, les artistes entrent chez eux après leur tournée.

00:10:50
Thierry Savary souligne que l'Afrique est le berceau de la civilisation et qu'on a tendance à l'oublier et qu'on aurait beaucoup de choses à apprendre de ce continent plutôt que de le piller. Ismaël Lô souligne que les chanteurs et les footballeurs sont des ambassadeurs de l'Afrique actuellement. Il aime montrer aux gens qui viennent le voir au Sénégal que ce n'est pas comme ce qu'on montre à la télé. Pour connaître le monde, il faut voyager, cela apprend à connaître la vie. Il dit que c'est important de se confronter à d'autres conditions de vie et cite comme exemple le ramadan où les pratiquants entrent par la pratique du jeûne, en empathie avec les gens qui n'ont pas assez à boire et à manger.

00:14:17
Ismaël Lô essaie de soulager les gens avec sa musique. Il est touché quand les gens lui disent que sa musique leur fait du bien. Quand il est las de sa carrière, il se remémore que sa musique fait du bien. Il a fait plusieurs action pour les enfants de la rue et il continuera à aider au travers de son nouvel album.

00:18:00
Thierry Savary souligne qu'il s'attaque aussi au racisme dans cet album. Ismaël Lô explique que pour lui tous les humains sont nobles et on a tous le sang rouge. Il dit que le racisme ce n'est pas qu'une question de couleur, mais aussi une question de classe sociale. Ismaël Lô fait souvent des duo pour rencontrer et discuter avec d'autres musiciens. Il a un lien particulier avec Stefan Eicher, c'est un frère pour lui et ça lui permet d'atteindre le public Suisse et en échange, Stefan Eicher sera découvert en Afrique.

00:24:54
Ismaël Lô est très populaire en Afrique, les gens chantent ses chansons à la maison. Il y est très connu, plus qu'en Europe.

Savary, Thierry

Interview de Barrio Chino - brute

Interview brute de Sylvie et Gil Aniorte Paz du groupe français Barrio Chino par Thierry Savary.

Thierry Savary introduit le groupe. Sylvie et Gil sont frère et sœur.

Sylvie explique un peu l'histoire de la famille, qui est très multiculturelle. Ils ont beaucoup d'histoire. Sylvie explique comment le groupe et l'écriture de leur univers musical a commencé.

00:03:00
Gil parle des instruments qu'il joue, tant méditerranéens que de plus loin.

Sylvie et Gil parlent de l'univers musical dans lequel ils ont grandi. Ils ont eu des grands-parents musiciens, chanteurs, engagés. Ils pensent que c'est important de grandir dans cet environnement.

Gil explique qu'il n'aurait pas pu faire autre chose que de la musique.

00.05:00
Thierry Savary leur parle des chansons traditionnelles.
Sylvie pense que c'est quelque chose qui s'est perdus. Elle parle notamment de la période yéyé, qui a détruit la musique traditionnelle. Elle parle de l'Alcazar de Marseille qui a été détruit. Elle déplore le fait qu'il n'y a plus d'endroits pour apprendre les chansons traditionnelles et locales.

Thierry Savary parle de la tradition chorale fribourgeoise.

00:07:45
Thierry Savary leur parle de leur formation musicale.
Gil explique qu'ils ont appris avec leur famille, mais qu'ils ont aussi appris des choses plus classiques, de technique. Il parle de la musique flamenca, qui ne s'enseigne pas dans les conservatoires. Chaque région possède son flamenco, il y a des codes. Ensuite il y a eu un enseignement général, mais c'est encore autre chose. Il faut jouer avec des musiciens pour s'imprégner.

Sylvie explique que tant dans la musique arabe qu'andalouse, c'est à la personne d'apprendre et de s'imprégner. Les gens n’enseignent pas.
[Interview coupée, il manque la fin]

Savary, Thierry

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