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Interview de Georges Chelon

Interview du chanteur français Georges Chelon.

Enregistrée le 6 novembre à Lucens.

Georges Chelon voulait être diplomate ou journaliste. Il a participé à un concours à Grenoble en 64 car s'était acheté une guitare. Il a gagné, car c'était l'époque yéyé et il était à contre-courant.

00:00:50 - 00:01:25 : [Musique]

Après le concours il a fait un 33 tours. Et s'est installé durant les années 60, puis les modes ont changées et durant les années 70 il y a eu le déclin. Il a toujours fait de la scène. En ayant de moins en moins de succès sans s'en rendre vraiment compte car il aimait trop la scène

00:02:45 - 00:04:00 : [Musique]

Il pense qu’il a fait une carrière car il chante depuis longtemps, il a toujours vécu de la chanson, même s’il a connu des hauts et des bas, il fait une carrière.
Le monde de la scène a changé car avant c’était très amical, et ce qu’il présente n’est pas très compétitif sur le marché.

00:04:50 - 00:05:35 : [Musique]
Son public vieilli, mais il a aussi un public plus jeune par leurs parents peut-être, mais il aimerait qu'il y en ait plus. Il aimerait une reconnaissance de ces jeunes. Le but de la chanson maintenant ce n’est pas de se mettre à nu mais de faire un produit susceptible de marcher, donc s'il trouve le parolier, le son , le manager à la mode, on va le faire car le but c'est que ça marche. Son but n'est pas d'être idolâtré, même si à un moment les deux choses se sont rencontrées.

00:07:10 - 00:08:10 : [Musique]

Raconte des histoires un peu égoïstement dans ses chansons, mais à contre-courant, parce que ça le touche. Raconte des choses personnelles, et les gens s'y retrouvent. Une chanson ne peut pas être que pour soi, il y aura toujours des gens qui vont s'y retrouver. Une chanson sur l'amour c'est universel, mais qui ne chante pas des chansons d'amour? Hallyday, Cabrel? Lui parle d'amour, le véritable, universel, pas forcément l'amour d'une personne, l'amour en général. La haine c'est lié à l'amour, l'amour c'est ce qui nous fait avancer.

00:10:10 - 00:11:45 : [Musique]

Quand il fait une chanson, il se demande toujours si c'est lui qui les fait, car il se trouve inintéressant, il pense qu’il ne sait pas écrire. Mais il s'impressionne quand il fait une chanson, car les textes sortent...

00:12:30 - 00:13:30 : [Musique]

Il écrit des chansons simples, parfois il retient des choses, parfois non, puis il se lance dans l'écriture. C’est assez aléatoire

00:14:10 - 00:15:30 : [Musique]

Sur scène, il ne pense pas être assez imposant. Il les perd facilement. Il faut qu’il soit dans une bulle, et faire rentrer le public dans son univers. Il parle d’une lutte, d’un rapport de force sur scène avec le public, où il faut que chacun reste à sa place. Il critique le fait de parler sur scène. Il parle du fait qu’il se trompe régulièrement sur scène, et que cela l’humanise.

00:17:40 - 00:18:55 : [Musique]

Il aime les publics qu'on dit froids, car généralement c'est les plus chauds. Au moins il n'applaudit pas pour n'importe quoi. Il préfère un public dur, il y a plus de mérite.

Savary, Thierry

Interview de Patricia Kaas

Interview de Patricia Kaas, chanteuse.

Le journaliste souligne que c’est la seule artiste francophone à vendre plus de disques en Suisse allemande que romande. Patricia Kaas apprécie cela car elle se sent plus comme une artiste internationale.
Les concerts sont différents dans d'autres pays, mais cela relève surtout de la langue.
La chanson française a un public partout, c'est surement ce qui plait chez elle à l'étranger, et sa voix.
Le public japonais est très timide, mais elle a appris à "les prendre".
Elle raconte quelques anecdotes lors de concerts, une alarme incendie ou une chute de scène.
00:04:55
Elle va aller faire deux dates à Moscou, ne s'attarde pas trop sur les événements politiques, ce qui compte c'est de faire plaisir à son public.
Quand elle chante à l'étranger, elle ne touche pas de cachet, car propose pratiquement le même spectacle qu'en France. Comme cela coute cher elle ne touche pas de cachet. Elle veut plutôt montrer qu'un artiste français peut être aussi bien qu'un anglo-saxon, et finalement cela permet de récolter du public et des fans.
00:06:45
Elle a refusé de chanter en anglais, car elle ne le parle pas, et ne peut pas mettre d'émotion. Elle a aussi voulu que son album aux USA soit 100% en français car elle se présente comme une artiste française. Elle veut garder cette image de chanteuse française, et ne sortira jamais d'album entièrement en anglais.

00:08:55
Elle pense que son premier album était plus "top 50" que le deuxième, car le premier était plus fait par rapport à ce que le public voulait et le deuxième est plus pour elle. Elle ne pense plus être une artiste top 50, car il faut avoir un tube pour être reconnue. Mais cela ne l'empêche pas d'avoir son public.
Elle va changer un peu son accompagnement musical pour sa tournée aux USA, mais ne va pas tomber dans de la musique moderne, ni dans le jazz ou le blues. Pense que son style va ressortir beaucoup plus dans son prochain album, de fin 1992. Il sera plus autobiographique au niveau des textes, va plus collaborer avec les auteurs des textes. Musicalement entre Piaf et Joe Cocker. Va plus chanter en piano voix, une balance entre ce qu'elle aime et ce qu'aime le public.

00:14:30
Elle ne fait pas de la musique pour danser, mais plutôt un album à écouter chez soi. Même si un peu triste parfois.
Elle a 24 ans, mais se sent parfois très mûre dans ses décisions, et se sent un peu plus femme qu'il y a quelques mois en arrière. Mais dans sa vie privée se sent quand même dans son âge.
Elle ne ressent pas le besoin d'une relation stable car travaille beaucoup, n'a pas vraiment le temps.
Elle aimerait être mère de famille, mais ne sait pas quand.
Parle de ses styles vestimentaires.

Kaas, Patricia

Interview de Jil Caplan

Interview de Jil Caplan, chanteuse, par Thierry Savary.

Parle de ses débuts, avec Jay Alanski. Ils se sont rencontrés il y a 4 ans. Jil Caplan ne se destinait pas à la chanson, a fait une école de théâtre. A rencontré Jay Alanski qui lui a écrit des chansons et l'a beaucoup aidé. Elle dit qu'il a changé le cours de sa vie. Se sont rencontrés dans un studio d'enregistrement, avec des amis communs. Ont découverts qu'ils avaient beaucoup de goûts en communs au niveau littéraire et musical.
Le nouvel album, "La charmeuse de serpent", a été élaboré durant 3 ans. Son deuxième album, a pris plus de temps pour réfléchir, dire ce qu'elle voulait faire, quels instruments, etc. Elle voulait beaucoup d'instruments acoustiques, comme des violons, des guitares, des cithares.
Elle aime les instruments comme la cithare, le marimba, les sons inattendus, ils rappellent l'eau. Elle aime bien les effets un peu bizarres et changer un peu les sons, les rendre inattendus. Sa musique va être de plus en plus épurée, avec des sons toujours plus inattendus.
Journée type de studio. Jay et les musiciens arrivaient avant et se mettaient en place avant qu'elle arrive. Les enregistrements des voix n'ont pas été faits d'un coup, plusieurs prises chaque jour et cela permet de garder les meilleures prises.
Les odeurs invoquent pour elle des possibilités, l'encens la décontracte. Les odeurs peuvent être rassurantes.
Pour l'album, elle n'a subi aucune pression de la maison de disque. Elle était complétement libre.
Le mixage de l'album ne l'a pas vraiment intéressée, a donné son avis sur les versions finales, mais a quand même donné son avis. A pu choisir selon les impressions d'ensemble.
Elle travaille avec une équipe, elle a le contrôle de tout ce qu'elle fait. On lui propose des choses mais c'est elle qui choisit, son avis qui prime. L'essentiel c'est d'être d'accord, souvent l'enthousiasme aide à la prise de décision. Elle est aussi entourée de managers. Elle se sent très libre, pense que cela ne rime à rien de faire des concessions. Il faut être content de son propre travail.
Le métier de chanteur s'apprend? Elle a appris à se taire, elle a appris ce qu'il faut dire ou non. Elle a appris à se méfier et à attendre.
Elle n'a pas travaillé sa voix, car elle pense, à tort selon elle, qu'elle s'en sortira toujours. C'est un métier ou il faut sentir les choses. Ce qui l'intéresse c'est de chanter, de rencontrer des musiciens et faire de la scène.
La musique la touche plus que les paroles. Elle ressent l'émotion de la voix et de la musique.
Quand elle chante, les textes ne lui invoquent rien, mais quand elle écoute ses chanson oui. Quand elle chante, elle ressent seulement.
Elle est de nature rêveuse.
Il faut être solide pour faire le métier de chanteuse, cela demande de la force et il ne faut pas être trop sensible et avoir une vie équilibrée à côté du métier. Ce qui n'est pas facile car c'est un métier qui appelle au déséquilibre. Mais en même temps accepter d'être faible à certains moments, et accepter cette faiblesse c'est une force.
Ce qui lui plait le plus dans le métier c'est chanter, être dans un studio ou sur une scène. Elle aime aussi construire ses propres clips, les réaliser elle-même. Aime aussi penser et construire la forme de son spectacle.
Elle conseille aux jeunes qui aimeraient se lancer dans la chanson de travailler et d'être honnête.
Son plus grand bonheur dans sa carrière c'est quand elle a entendu la maquette de son deuxième album.
Il y a des gens qu'elle a choisi de ne pas revoir, car ils appartiennent au passé, et d'autres gens qu'elle voit encore depuis qu'elle est devenue chanteuse. Elle a de moins en moins d'amis, comme si elle s'enfermait de plus en plus. Mais cela ne découle pas de son succès.
Elle adore voyager, il y a trop de choses à voir. Son rêve serait de pouvoir habiter dans chaque pays du monde pendant un an.
C'est une personne qui sent beaucoup les choses, mais elle a appris à moins se laisser porter par ses émotions et plus réfléchir.
Il y a des gens qu'elle admire et respecte, mais elle apprécie surtout les histoires des gens. Aime peut-être plus rencontrer un inconnu.
Ne pourrait pas abandonner sa carrière pour un idéal, on peut concilier les deux. Malsain d'abandonner sa carrière pour quelqu'un. Si on est épanoui dans sa vie, on fait forcément attention aux autres. Quelqu'un d'égoïste c'est quelqu'un qui se cherche encore dans sa propre vie.
La musique a toujours fait partie de sa vie. Elle a eu trois grandes étapes: les Beatles, David Bowie et le punk. Elle pense qu'il faut vivre en harmonie avec la musique, en fonction de sa vie et ses émotions.
Trois vœux:
Avoir le don d'ubiquité, être à plusieurs endroits au même moment, pouvoir vivre plein de vies car une seule vie ne suffit pas.
Etre dans la peau d'un homme pendant une semaine, pour décrypter, pour connaître comment un homme ressens les choses.
Pouvoir se mettre dans le cerveau des gens.

Savary, Thierry

Interview de Michael Bolton

Interview du chanteur américain Michael Bolton par Thierry Savary et d'autres journalistes.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son nouvel album "Timeless (the Classics)".

Michael Bolton explique comment il a fait la sélection pour les chansons de cet album de classiques. Il explique qu'il avait un choix de plus de 50 chansons et il a dû en choisir 10. C'est difficile de décider. S'il avait eu plus de temps il aurait probablement choisi d'autres chansons. Il fera peut-être un album avec les chansons qu'il n'a pas choisies pour cet album.

00:01:50
Il explique qu'il ne croit pas au hasard, et qu'il y a des chansons qui s’imposent à lui. Il raconte une anecdote sur comment il a commencé à interpréter "Dock of the Bay" de Steeve Cropper et Otis Redding, lors de jams dans un club. Il a senti que la chanson était faite pour lui. Il faut garder l'essence de la chanson pour faire un classique. C'est un classique car il résiste au temps.

00:04:30
Il parle de sa chanson "Sittin on dock of the bay", car c'est la chanson qui a mené sa carrière à un autre niveau. Il a l'habitude d'intégrer un classique dans chacun de ces albums. Il a fait aussi "Georgia" de Ray Charles qui lui a valu une nomination aux Grammy. Il explique qu'il a toujours été influencé par la soul, ce sont ces racines. Il parle aussi de sa reprise de "When a man loves a woman" qui a été un tube que personne n'attendait.

00:07:25
Il explique qu'il a un respect pour la composition de ces standards, car il est lui-même compositeur. Il comprend les éléments qui en font un classique. Il a des influences hard-rock, mais aussi des Beatles et il essaie d'amener ces influences dans ce qu'il fait. Quand il reprend des classiques, il essaie d'apporter de la sensibilité, et de retrouver ce que les gens aimaient quand ils sont sortis tout en adaptant aux gouts d'aujourd'hui.

00:09:45
Il parle de la chanson "Yesterday". Il a été beaucoup critiqué car c'est une chanson qui a été reprises énormément. C'est une belle chanson. Il adore la chanter.

00:11:10
Il ne veut pas paraître présomptueux, mais il pense peut-être avoir écrit un classique lui-même avec "How am I supposed to live without you". Elle a été diffusée plus de 2 millions de fois sur les radios aux USA. Il espère que cette chanson sera reprise de nombreuses fois autour du monde. Il parle d'un artiste suisse, Steve Thompson qui a repris ses chansons. Il trouve que c'est une bonne sensation.

00:14:15
Il aimerait qu'on se souvienne de lui comme un compositeur, c'est une récompense profonde, plus personnelle. Il y a un côté éternel. Le chanteur est l'interprète de la création. Mais créer est la plus belle chose qui soit donnée.

00:15:45
Journaliste: dans combien de temps quelqu'un fera un album de reprises de vos chansons?
Il rit. Il doit faire encore d'autres tubes. Sans hits un album est mort aujourd'hui. Il n'y a rien d'embarrassant au fait d'écrire des tubes. Il pense qu'il se doit d'offrir aux gens qui achètent son CD d'autres chansons qu'ils aiment et pas seulement le single. Il aimerait que les gens découvrent d'autres chansons. Il pense avoir une sorte de radar qui lui permet de savoir quand il tient une bonne mélodie ou une bonne phrase pour une chanson. C'est un instinct qu'il faut savoir écouter. Il faut l'utiliser dans tous les aspects de sa vie et de sa carrière.
Une fois que tu as cet instinct, personne ne t'embête, la maison de disques lui fait confiance.

00:22:55
Il parle de son engagement auprès des enfants battus et défavorisés. Il raconte une histoire avec une petite fille à l'hôpital, maltraitée, qui voulait son album. Elle s'est suicidée et cela l'a bouleversé, il n'oubliera jamais ce sentiment d'impuissance. Il a regardé les statistiques sur les abus d'enfants et il a été choqué. Depuis il contribue pour financer des recherches pour différentes maladies, il s'occupe des enfants battus. Il aimerait faire plus préventivement. Il fait tout cela dans son temps libre. Il espère pouvoir travailler avec un lobby à Washington une fois Clinton au pouvoir, notamment avec Oprah Winfrey.

Savary, Thierry

Interview de Jean-Louis Aubert

Interview de l'auteur-compositeur, chanteur et guitariste français Jean-Louis Aubert par Thierry Savary.
Enregistrée en 1993 à l'occasion de la sortie de son album "H", en octobre 1992.

Il manque certaines questions.

Jean-Louis Aubert parle de sa relation au public sur scène, de la gratification et du bien-être que cela procure.
Le bonheur suprême dans la musique c'est l'instant présent. Il parle du rapport au temps du musicien.

00:03:30
Thierry Savary lui demande s'il contrôle toujours ce qui se passe lorsqu'il est sur scène.
Jean-Louis Aubert parle du fait de perdre le contrôle et rester malgré tout dans un état de grâce. Il prend Jimmy Hendrix en exemple.
Il parle des imprévus et des ratés sur scène, des silences.

Thierry Savary parle d'un univers magique.
Jean-Louis Aubert pense que les êtres humains ne se rendent pas assez compte du fait qu'ils vivent dans un univers magique.
Il explique le fait que dans sa musique il en veut toujours plus, toujours plus parfait. Il compare la musique à la philosophie dans le rapport à l'être.

00:08:25
Thierry Savary parle du lien entre la musique et l'ésotérique.
Jean-Louis Aubert pense que la musique a toujours un lien avec la métaphysique.
Il parle d'Alice Cooper et des Who, des messages et de l'identification.

00:10:00
Jean-Louis Aubert parle du fait que la musique peut toucher les gens très profondément, et de la dimension que peut prendre la musique.
Jean-Louis Aubert parle du fait que la musique est accessible, et qu'elle peut dire beaucoup, parler aux gens. Il compare la musique à la peinture.

00:13:40
Thierry Savary lui demande si les mots sont indissociables de la musique.
Jean-Louis Aubert explique que pour lui les mots sont indissociables de la musique, l'un et l'autre l'aide à composer et à écrire. Même si la musique peut exister sans paroles.
Il parle de son rapport aux mots, à la parole. Il parle de sa manière de penser, de ne pas s'éloigner des gens.

00:18:15
Jean-Louis Aubert parle de son rapport à la terre et aux hommes, de la nature, de l'écologie.

Thierry Savary lui parle du titre de son album, "H", et lui demande si c'est pour "humanité"
Jean-Louis Aubert parle du titre de son album, du fait que ce soit une lettre seule. Il parle de "H" comme "humain".
Il parle du futur.

00:22:00
Jean-Louis Aubert parle d'écologie, des relations entre les êtres humains.

00:26:15
Thierry Savary parle de sa chanson "Temps à nouveau".
Jean-Louis Aubert parle de la phrase "prendre le souffle à nouveau", il parle de l'air, de respirer.
Il parle de la place de l'homme dans l'univers, de l'espoir et de trouver un système politique plus universel.
Il parle de l'importance d'observer le monde.

00:34:30
Thierry Savary lui parle du fait qu'il se pose beaucoup de questions, lui demande si cela l'aide pour composer des chansons.
Jean-Louis Aubert explique qu'il retrouve toutes les questions qu'il se pose dans ses chansons, sans s'en rendre compte.
Il parle de certaines de ses chansons, des images qu'elles lui inspirent.

00:38:30
Thierry Savary lui parle des voyages.
Jean-Louis Aubert explique qu'il vient de rentrer de Bolivie, où il a enregistré le clip de "Temps à nouveau".
Il parle de l'influence de la nature sur l'esprit, sur l'humilité.
Il parle du fait de vivre plus simplement, de faire des choses qui lui permettent de grandir, et de penser un peu plus à ce dont il a besoin, pour pouvoir continuer à créer.

Savary, Thierry

Interview de Native

Interview de Laura et Chris Mayne du groupe de soul et rock français Native, par Thierry Savary.

Elles parlent de leurs tournées suite à la sortie de leur premier album.

Thierry Savary leur parle d'une précédente rencontre et de leur expérience de la scène.

Thierry Savary parle de l'interview qu'il a faite du producteur Philippe Puydauby, leur producteur.

Elles parlent du fait de chanter en français plutôt qu'en anglais.

Elles parlent de leur relation avec le public.

Thierry Savary leur demande leurs trois voeux:
Obtenir tout ce qu'elles veulent, avoir trois vœux supplémentaires.

Savary, Thierry

Interview de Roch Voisine - brut

Interview du chanteur québécois Roch Voisine par Thierry Savary et un autre journaliste, "Boris" [Nationalité:musicien].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Coup de tête" en 1994.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en novembre 1994 (S117). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Renaud Hantson - brut

Interview du chanteur français Renaud Hantson par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Des plaies et des bosses" en octobre 1994.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en octobre 1994 (S116-03). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Rachel des Bois - brut

Interview de la chanteuse française Rachel des Bois par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à Fribourg, à l'occasion de la sortie de son album "Au cœur des foyers" en 1993.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en octobre 1994 (S115-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Philippe Léotard - brut

Interview du chanteur et acteur français Philippe Léotard par Thierry Savary [A l'ombre du baobab].

Enregistrée à l'occasion de son passage à Bulle le 28.10.1994, "Philippe Léotard chante Léo Ferré".

Il s'agit de l'interview brute d'octobre 1994 (S115-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview du groupe Les Négresses Vertes - brut

Interview par Thierry Savary [Nationalité: musicien] de Stéphane Méllino du groupe Les Négresses Vertes à l'occasion de la sortie de leur album "Zig-Zag" et de leur concert.

Enregistrée en octobre 1994.

00:00:07
Thierry demande à Stéphane Méllino comment se porte la famille des Négresses vertes. Elle se porte bien malgré les événements qui sont parfois dramatiques (décès d'Helno). Les Négresses Vertes sont une institution dans le paysage du rock français. Le principe de base c'est la scène, le partage.

00:03:27
Sur scène Stéphane Méllino a l'impression de se dédoubler. Il raconte son expérience de la scène. Quand il descend de la scène il met du temps à s'en remettre. Quand le groupe redescend de scène, il se raconte leur expérience.

00:08:54
Quand ils ont commencé, ils n'étaient pas très bon musiciens mais ils se sont améliorés. Ils essaient de tous tirer à la même corde.

00:11:10
Ils parlent de la chanson "Après la pluie, le beau temps" et de ce que cette phrase signifie. Ils parlent de la dimension émotionnelle de la musique et d'Helno.

00:14:30
Ils ont décidé de tous chanter car il ne voulaient pas avoir un seul chanteur pour remplacer Helno. Il parlent de la réception du disque et de la première écoute, de la manière dont les gens écoutent de la musique actuellement et du métier de musicien.

00:18:44
Ils parlent de l'amour envers les gens et de trois vœux de Stéphane Méllino (la réalisation d'une Europe, la paix et un avenir radieux pour la jeunesse algérienne)

Savary, Thierry

Interview du groupe Stiltskin - brute

Interview du groupe Stiltskin à l'occasion de la sortie de leur album "The Mind's Eye" par Thierry Savary

Enregistrée en octobre 1994.

00:00:01
Thierry Savary demande si le groupe était surpris du succès de leur album. Ils disent que c'était effectivement soudain et surprenant, que c'est un rêve qui se réalise. Ils ont produit eux-même leur album pour que cela soit plus facile et plus rapide et cela leur permet de faire leur propre choix sur le contenu de l'album sans avoir un producteur qui donne son avis. Ils parlent du processus de réalisation d'un album.

00:06:40
Thierry Savary dit qu'il était surpris d'apprendre qu'ils venaient d'Angleterre car le son de leur album sonne plus américain. Ils répondent que ce n'est pas le premier qui dit ça et que leur album sonne assez international. Ils discutent de la manière dont leur album "sonne", de la présence de la guitare et des voix.

00:13:08
Thierry leur demande s'ils arrivent avoir le même rendu sur scène qu'en studio. Ils pensent qu'ils arrivent a faire de bonnes performances. Toutes leur chansons peuvent être jouées en acoustique. Ils donnent leur avis sur les autres groupes de musique anglais qui ne jouent pas du rock, ils sont très bon à leur avis et tout le monde ne peut pas écouter du rock.

00:17:43
Thierry Savary leur demande comment ils en sont arrivé à faire une publicité pour Levi's. C'était une expérience fantastique et actuellement, les radios passent leur musique. Thierry Savary leur dit que leur musique est bonne et que les gens devraient être plus ouvert à entendre des compositions comme les leurs.

Savary, Thierry

Interview de Tonton David - brut

Interview du chanteur français Ray David Grammont dit Tonton David par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Enregistrée en octobre 1994.

Il s'agit de l'interview brute diffusée en mars 1996 (S177-02). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Stephan Eicher - brute

Interview de Stephan Eicher et de son équipe à l'occasion de la sortie de son album live "Non ci badar, guarda e passa", par Thierry Savary et une autre personne.

Enregistrée en novembre 1994 à Engelberg.

00:00:18
Quelqu'un pose une question au réalisateur Thierry Rajic au sujet de la gène devant les caméras. Stephane Eicher explique à Thierry Savary qu'ils voulaient faire quelque chose d'interactif, que le film de la tournée influence le disque et vice-versa et de la difficulté de combiner les médiums du son et de l'image.

00:03:50
Stephan présente une partie de son équipe.

00:04:42
Thierry Savary demande si ce qui est sur le film était préparé d'avance ou s'il y avait de l'improvisation. Stephane Eicher et son équipe décrivent les conditions du tournage.

00:10:10
Stephane Eicher parle de la fatigue et du temps qui passe, du métier de musicien.

00:12:43
Stephane Eicher explique pourquoi il a trouvé l'intérêt de faire ce disque live.

00:14:34
Ils expliquent les conditions du tournage du film, ils n'ont pas été assailli par des fans. Le matériel pour filmer et enregistrer était réduit. Stephane Eicher explique qu'il voulait faire un disque dans lequel l'auditeur se sens comme lors du spectacle. Il raconte le tournage de la scène et du morceau d'introduction.

00:26:25
Stephane Eicher dit qu'il essaie de donner de la place à des gens qui n'ont pas forcément envie d'être dans la lumière. Chacun donne son avis. Stephane Eicher dit que les membres de son équipe font parti de sa vie et qu'elle est super. Il montre des photos de la tournée.

00:30:31
Stephane Eicher parle du processus de réalisation de ce projet.

00:35:00
Stephane Eicher dit qu'il retournerait volontiers en studio pour enregistrer mais que le lieu n'a finalement que peut d'importance.

Savary, Thierry

Interview de Richard Clayderman - brut

Interview du pianiste français Richard Clayderman par Thierry Savary [Nationalité musicien].

Il s'agit de l'interview brute diffusée en novembre 1994 (S121-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

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