[Genève] : Télévision suisse romande - Temps Présent [prod.], [1999]
Diffusé le 22 octobre 1998
Enregistrement transféré sur DVD-R
Image Philippe Roulin ; son Gianni Del Gaudio ; montage Xavier Ruiz
Analyse: Reportage sur les espèces animales suisses menacées. Avec, notamment, séquences sur l'extinction de la vache fribourgeoise, son remplacement par la race Holstein, et sur la ferme de Brigitte Simon et de Paul Seydoux à Romanens abritant un certain nombre d'animaux suisses actuellement en voie de disparition
Diffusé sur TSR1, le 30 septembre (1ère partie) et le 7 octobre (2ème partie) 2010
Diff. le 30.09 et le 07.10.2010
Zone 2
"Pour la première fois en Suisse, des caméras ont pu pénétrer dans le saint des saints de la justice des mineurs : les audiences. Rendue à huis-clos, cette justice était l'un des secrets les mieux gardés d'Helvétie. Or le juge des mineurs Michel Lachat, 60 ans, a accepté, à titre exceptionnel, qu'une équipe de Temps Présent l'accompagne jusque dans les prétoires. Les jeunes volent, les jeunes frappent, les jeunes tuent, parfois. La délinquance juvénile fait partie des grandes préoccupations contemporaines, et la justice des mineurs se retrouve souvent à la une des journaux. En général, c'est pour dire qu'elle ne fait pas son travail !... Mais qui connaît son travail ? Jusqu'en 2007, la loi imposait une confidentialité totale..."
Extraits d'une émission diffusée sur RTS Un le 29 mars 2017
Les meutes de loup sont de retour en Suisse. Dernièrement, un couple de loups a été observé dans la région de Charmey dans le canton de Fribourg et pourrait donner naissance à de petits louveteaux d'ici l'été. De quoi former une nouvelle meute qui s'ajouterait aux trois déjà installées en Suisse, dans le Tessin, aux Grisons et dans le Haut-Valais. Faut-il en avoir peur? Source: RTS
Image Gérard Bruchez, Pierre-Alain Jaussi, Bernard Migy ; son Yves Crevoisier, Michel Glardon, Alain Nicolet ; montage Christian Barthe ; mixage André Maillard
Avec la participation de: Marcel Ménétrey
Note: Lundi de Pâques 1940, le curé Ménétrey demeure le seul rescapé de la cordée montée à la Dent de Lys.
La corde a cassé par miracle: Marguerite Bays serait à l'origine de ce miracle. A 73 ans, il évoque cet événement.
Images Gérard Bruchez, Jean Zeller, Hugo Maeder ; son Paul Girard, Albert Pasquier, Gérard Rhone ; mixage Alex Robert-Charrue, Marcel Pugin ; ill. sonore Jean-Philippe Epitaux ; montage François Lenoir
Alors qu'une initiative pour interdire le voile intégral est lancée en Suisse, le débat s'est porté cet été sur le port du burkini dans les piscines et sur les plages. L'interdiction est-elle la bonne réponse? Et qui sont-elles ces Suissesses qui revendiquent le droit de porter le voile en toute circonstance? Source: RTS
Extraits d'une émission diffusée sur RTS Un le 17 février 2013
Dans les cantons de Fribourg et du Jura, des sources attirent des croyants en quête de guérison : pour eux, ce pèlerinage constitue une démarche de foi. Source: RTS
Les adolescents qui décrochent de l'école et se retrouvent sans diplôme ni travail inquiètent leurs parents, leur quartier et leur pays. A Romont, un cycle d'orientation a lancé " la Bulle ", un programme original pour affronter le problème. Le dispositif repose sur le travail de deux éducatrices à demeure. Plongée dans une expérience qui n'épargne ni les élèves ni les enseignants. Tout commence lors d'une période troublée, dans les années 2000-2005. Le Cycle d'orientation de la Glâne - un millier d'élèves - se trouve dans une région de quasi-campagne, mais il affronte des problèmes propres à certaines villes. Dans l'école d'abord, avec des élèves qui multiplient les incivilités. Autour de l'école ensuite, avec des groupes de jeunes gens désoeuvrés qui inquiètent les habitants. La ville de Romont et le CO prennent une série de mesures pour lutter contre le décrochage scolaire. La principale est la plus récente: " la Bulle ". C'est une salle de renvoi, aménagée dans l'école où se relaient deux éducatrices. Les enseignants ont la possibilité d'y placer les élèves qu'ils ne parviennent plus à tenir durant des périodes relativement longues, de l'ordre d'une semaine ou deux. Aujourd'hui, trois ans plus tard, beaucoup de choses ont changé. Les incivilités semblent avoir disparu, et les éducatrices ont pris leurs marques. Elles ont réfuté l'idée d'une salle de renvoi où les profs peuvent se décharger des situations de crise, et l'école a remplacé le concept initial par une procédure de recadrage en plusieurs étapes. A la moindre incartade, l'élève doit s'expliquer devant l'éducatrice ou devant un adjoint de direction. Le placement prolongé à " la Bulle " n'intervient plus qu'en dernier recours. L'idée est de saisir le décrochage dans l'œuf, avant qu'il ne dégénère. Du coup, les enseignants sont sollicités. Ils doivent tirer la sonnette d'alarme dès qu'ils sentent une situation leur échapper et mettre leurs difficultés sur la table. Malgré tout cela, certains élèves décrochent encore, et quittent l'école sans diplôme. Or, surprise, " la Bulle " leur reste ouverte. Les éducatrices les reçoivent, les conseillent et leur fournissent de l'aide en matière de rattrapage scolaire et de recherche d'emploi (RTS)