Ill. sonore Jacques Weber ; chef de la photogr. Alexandre Gross ; camera(wo)men Michel Burki... ; régisseur son Michel Vergères ; éclairagistes Philippe Plissen, Thomas Wagnières
Avec la participation, notamment, de: Hugo Fasel (conseiller national, Parti chrétien social, FR)
Chef de la photogr. Pierre Berner ; cameramen Sylviane Delieutraz... ; régisseur son Michel Vergères ; éclairagiste Denis Guex
Avec la participation, notamment, de: Hugo Fasel, conseiller national (FR/Chrétien social) ; Thérèse Meyer-Kaelin, conseillère nationale (FR/PDC) ; Elizabeth Leu-Lehmann, Grand-Conseil (FR/UDC)
Enregistrement d'une émission diffusée sur RTS Un le 13 mai 2020
Ada Marra, conseillère nationale (PS/VD) ; Johanna Gapany, conseillère aux Etats (PLR/FR) ; Hugo Fasel, directeur de Caritas Suisse ; Blaise Matthey, directeur général de la Fédération des entreprises romandes, Genève ; Thierry Apothéloz, conseiller d'Etat (GE), en charge de la cohésion sociale ; Jean-Pierre Danthine, professeur à l'EPFL, ancien vice-président de la BNS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2015
Emission diffusée sur la Première le 16 novembre 2015
Depuis 2007, l'Office fédéral de la statistique (OFS) produit régulièrement des chiffres sur la pauvreté en Suisse. Mais selon que l'on considère la "pauvreté absolue" ou le "seuil de pauvreté relative", les chiffres varient de 590'000 à 1'080'000, soit presque du simple au double. Pourquoi est-ce le chiffre le plus bas que les médias et les hommes politiques relaient le plus souvent? Et pourquoi aucune des données statistiques de l'OFS ne permet de connaître de manière irréfutable le nombre de personnes pauvres à un moment donné? Olivia Huguenin, cheffe du domaine Revenus et pauvreté à l'OFS, tente de répondre à ces questions. Pour Hugo Fasel, directeur de Caritas, la fixation d'un seuil de pauvreté dans un pays est une décision politique avant d'être une réalité statistique. Source: RTS