Archives de la TSR, avec entre autres des extraits de reportages sur la Basse-Ville (1969), l'introduction de la mixité au collège Saint-Michel (1968), Jean Tinguely (1973), Armand Niquille (1968), Cardinal et la fin du cartel de la bière (1988), le souvenir laissé par l'abbé Joseph Bovet (1971). Egalement des images d'Arlette Zola (1969)
Titre original: Jo Siffert und Jean Tinguely - zwei Weltstars aus der Schweizer Provinz
Tous deux fribourgeois, l'artiste Jean Tinguely et le sportif Jo Siffert ont partagé leurs passions. Entre Siffert, le gentleman des circuits automobiles et Tinguely, l'artiste provocateur, l'amitié et la complicité ont été totales. Dès les années 1960, chacun excelle dans son domaine, et les deux hommes se retrouvent souvent jusqu'au décès de Siffert. (RTS)
[Paris] : Quatre à quatre film [prod.] Centre Pompidou/Telessonne [prod.], [2005]
Diffusé sur TSR1 le 13 juin 2005
Données vidéo
Titre sur le conteneur: Jean Tinguely, la tête dans la clairière
Montage Claude Mercier ; son Anne Julien
Textes de Niki de Saint-Phalle dits par Jeanne Balibar ; extraits du journal de Bernard Luginbühl dits par Basil Luginbühl ; interviews de Jean Tinguely, Bernard Luginbühl, Ursi Luginbühl, Jesus Rafael Soto, Niki de Saint-Phalle, Daniel Spoerri... [et al.]
Quatre à quatre film [prod.] Centre Pompidou/Telessonne [prod.]
[Lille] : Zorn Production International [prod.], 2010
Son en français uniquement
Diffusé sur Arte le 23 août 2010, le 30 mai 2012, et le 16 mars 2016
English version, version française, Deutsche Version
Image: François de la Patellière, Marc Riddley, Louise Faure ; son: Anne Julien ; montage: Claudine Dupont
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely se rencontrent à Paris en 1955, dans l'effervescence artistique de l'après-guerre. Ils ont 25 et 30 ans, sont tous deux mariés, deviennent amis. Ils mettront cinq ans à tomber amoureux et à décider de vivre et de créer ensemble, à l'aventure. Durant quarante ans, au fil de ses voyages, ce couple nomade n'a pas fait d'enfants, mais des sculptures, monumentales de préférence, partout dans le monde. Des totems, disait Niki de Saint-Phalle, "pour rendre les gens heureux". Et de fait, de l'Europe au Japon, leurs oeuvres ont su convertir un public immense, enchantant petits et grands avec de sacrées machines (pour lui) et des créatures multicolores (pour elle). Avec de magnifiques archives et le témoignage de leurs proches, Louise Faure et Anne Julien retracent leur vie et leur épopée artistique, qui restèrent toujours étroitement confondues. (ARTE)
[Lieu de publication non identifié] : [éditeur non identifié], 1967
Film 35 mm transféré sur DVD-R en 2009 par Transferts Vidéo & Film, Carouge GE et la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg
Emission de télévision, 4:26-6:16 : Jean Tinguely à côté de ses machines ; machine à peindre ; machines exposées à New York projettant des flammes ; différentes machines en activité ; Jean Tinguely travaillant à la machine qui sera exposée au pavillon suisse de l'Exposition universelle de Montréal ; gros plan de l'artiste, il dit: "La seule chose qui est vraiment compacte, stable et solide est le mouvement. Ceci est un paradoxe qui me garde en contact avec ce monde qui bouge, qui se transforme constamment "