Enregistrement d'une émission diffusée sur la Première le 28 février 2017
En une vingtaine d'années, nos sociétés sont passées du baby boum à l'effondrement du nombre d'enfants par famille à partir du milieu des années soixante pour se stabiliser à une moyenne de 1,5 enfants par famille au tournant des années septante. Quelles sont les raisons de cette transformation rapide et profonde de l'intimité familiale? Catherine Rusterholz, docteur en histoire contemporaine de l'Université de Fribourg, s'est penchée sur le cas de la Suisse romande, en comparant les évolutions dans les villes de Lausanne et de Fribourg durant cette période. Elle montre que les deux villes offrent alors un environnement très différent aux jeunes parents. Dans quelle mesure le contexte social et institutionnel influence-t-il les choix intimes? Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2016
Extraits d'une émission diffusée sur la Première le 7 novembre 2016
Aucune femme ne figure dans les 7 premières places des élections à l'exécutif fribourgeois, après le premier tour dimanche. Cette absence de femmes pour le Conseil d'Etat fribourgeois illustre un phénomène récurrent en Suisse romande. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2016
Enregistrement de cinq émissions diffusées sur la Première du 14 au 18 novembre 2016
Emission 1, "Les enfants, ça coûte cher": Les époux Gremaud, à Marsens (FR) élèvent actuellement douze enfants, et bientôt treize. Pour nourrir 14 personnes, Christelle et son mari achètent chaque semaine en moyenne 25 kilos de fruits et légumes, 12 à 15 litres de lait, 10 kilos de viande ou de poulet! Source: RTS
Emission 3, "Une fratrie, c'est pour la vie": Martine Brunschwig Graf, politicienne suisse, a grandi à Fribourg dans une famille de huit enfants. Elle évoque son enfance et sa jeunesse au sein de cette vaste fratrie, dans les années 60-70. Elle raconte comment sa famille l'a soutenue dans ses combats politiques les plus rudes. Source: RTS
Extraits d'une émission diffusée sur Espace 2 le 17 novembre 2017
"Alors qu'elle pouvait encore s'enorgueillir d'une richesse surprenante de titres il y a trente ans seulement, la Suisse romande est aujourd'hui en passe de voir disparaître sa presse. D'une part, l'esquisse d'une évolution générale aide à recadrer les questions, et à en suggérer de nouvelles. D'autre part, en un temps où la presse écrite traverse une période de troubles profonds, voire de crise existentielle à en croire les esprits les plus pessimistes, il n'est pas inutile de comprendre comment on en est arrivé là, en prenant du champ et en considérant une perspective large." (source: éditeur). A lire: "La presse romande", Alain Clavien, éditions Antipodes, 2017