Affichage de 104 résultats

Description archivistique
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Hierarchy Affichage :

Interview de Valérie Lou - brute

Interview de la chanteuse Valérie Lou par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de son nouveau spectacle monté à Beausobre.

00:00:44
C'est son 4e spectacle qui correspond à sa 4e tournée et à son futur 4e disque. Elle aime bien procéder dans cet ordre depuis son 3e album. Du coup, mercredi prochain c'est un test, elle va chanter des chansons inédites. Elle les mélange avec des anciennes. Elle a été appelé par le directeur de beausobre. C'est un peu stressant mais ça sera aussi agréable techniquement et le spectacle pourra aussi avoir lieu dans des petites salles comme l'échandole ou la Spirale.

00:04:03
Elle est entourée d'une équipe de musiciens, Christophe au piano, Pierre-André Dougoud à la contrebasse et aux percussions, Jean-Luc Lavachy à la batterie et Philippe Grandjean à l'accordéon et à la basse-électrique et Claude Diettli à la guitare et il y a des invités.

00:07:02
Tous ces invités sont des rencontre qu'elle a faites. Il y en a 15. En raison de leur nombre, ça sera assez rare de voir ce spectacle sous cette forme pour des raison techniques et financières.

00:09:00
Ce qui la motive, c'est le plaisir de chanter et d'avoir des gens qui l'écoutent. Son mode de fonctionnement actuel lui convient très bien mais la suisse est petite et ça serait magnifique de percer au niveau de la francophonie. Son prochain projet sera avec un orchestre symphonique. Elle doute fort d'être carriériste au sens de pop star, mais ça ne la frustre pas.

00:11:35
Elle a beaucoup d'estime pour l'auteur-compositeur-interprète Sarclo. Son amour de la musique est intact.

Savary, Thierry

Interview de Jazzorange - brute

Interview de Bob Arnedo et Tony Garcia du groupe de jazz fusion vaudois Jazzorange par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Source...", en mai 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S192-03). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview d'Oobik & The Pucks - brute

Interview d'Oobik and The Pucks par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de leur premier album "Oobik & The Pucks"

00:00:28
Le groupe s'est formé récemment, en 1995, c'est ce qui fait sa fraîcheur sur scène. Mais les membres avaient déjà d'autres projets musicaux avant, sauf Estelle. Maintenant, qu'ils ont fait un disque, ils doivent faire leurs preuves. Ils ne savent pas d'où va provenir leur succès, mais ils travaillent sur leurs morceaux et verront bien si le succès est au rendez-vous.

00:03:40
Le groupe est né à la suite de l'initiative de Romain, le compositeur-arrangeur. La musique qu'ils font implique d'assurer sur scène. Ils ont un directeur artistique, mais ce n'est pas un réalisateur artistique qui les dirige artistiquement, ils sont entrés en studio avec leurs titres et le directeur artistique les a découverts et est en charge de les signer. Sur scène, ils jouent comme un groupe de rock et rien n'est chorégraphié.

00:07:40
Pour l'instant, ils n'ont pas les moyens de faire un support visuel durant les concerts, mais ils aimeraient bien. Ils expliquent comment ils travaillent pour la mise en place d'un concert. C'est le premier groupe avec lequel ils ont fait un album. Ils sont très contents du résultat malgré le fait qu'ils ont eu que deux mois entre la signature et la parution de l'album. Ils recherchent le fait de ne pas être "étiquetables" et veulent durer. Il leur tarde de faire un second album, des premières parties et des concerts. Sur les 17 chansons de l'album, il y a beaucoup de choses différentes. Ils avaient envie de bien remplir le CD.

00:12:45
Les choses continuent de s'accélérer pour eux, ils ont beaucoup de concerts de prévus. Il n'y a pas de finalité dans le processus. Leur groupe a un peu surpris dans le milieu de la musique, car il y a des morceaux qui ne sont pas "cataloguables" au niveau pop-rock dans leur album. Ils ont plutôt des bons retours des radios et des gens à l'interne de leur label. Pour l'instant, ils ont peu de retours de la presse, mais ça devrait venir. Ils sont allés en Angleterre pour réenregistrer un morceau de l'album pour faire un premier single. Pour eux, c'est un aboutissement d'un point de vue du travail.

Savary, Thierry

Interview de Marc Lavoine - brute_2

Interview du chanteur Marc Lavoine par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son nouvel album "Lavoine-Matic" en octobre 1996.

00:00:06
Son nouvel album explore des voies musicales qu'il n'avait pas empruntées avant. Il s'est inspiré de la musique qu'il écoute pour l'écrire. Il le définit comme du collage dadaïste. Il a travaillé avec 4 compositeurs et Michel Coeuriot qui est arrangeur de l'album. Il dit que dans cet album, il n'y a pas de chansons d'amour, mais de l'amour dans les chansons. Il a essayé de faire un album qui représente les gens. Il a fait un duo avec Princess Erica dans lequel ils chantent l'un avec l'autre pour les autres. Marc Lavoine dit que le problème et la qualité de cet album, c'est qu'il est un peu intelligent.

00:07:00
Thierry, dit que souvent, on se plaint des artistes lorsqu'ils font tout le temps la même chose et on s'en plaint également quand ils font d'autres choses. Marc Lavoine souligne que ce sont des plaintes de rupture d'équilibre. Lui, aime les gens qui sont étonnants et il aime prendre des risques. Il a envie de déplaire et sait que cet album n'est pas fait pour tout le monde. Pour lui, cet album est le plus en accord avec ses idées d'enfance. Pour lui, la maturité ressemble à ses idées d'enfance. Il ne travaille pas pour laisser une trace, pour lui, c'est important d'être cohérent et si l'album devient important tant mieux. Avant, il était très gêné d'entendre ses chansons et maintenant, il est content de les entendre.

00:12:00
Il explique ce qu'il a fait pour la pochette du disque et comment les gens qui y ont collaborés ont développé le projet. Il espère que le disque aura du succès auprès du public, mais si ce n'est pas le cas, ça ne sera pas grave, car il est content du résultat.

Savary, Thierry

Interview du groupe Stiltskin - brute

Interview du groupe Stiltskin à l'occasion de la sortie de leur album "The Mind's Eye" par Thierry Savary

Enregistrée en octobre 1994.

00:00:01
Thierry Savary demande si le groupe était surpris du succès de leur album. Ils disent que c'était effectivement soudain et surprenant, que c'est un rêve qui se réalise. Ils ont produit eux-même leur album pour que cela soit plus facile et plus rapide et cela leur permet de faire leur propre choix sur le contenu de l'album sans avoir un producteur qui donne son avis. Ils parlent du processus de réalisation d'un album.

00:06:40
Thierry Savary dit qu'il était surpris d'apprendre qu'ils venaient d'Angleterre car le son de leur album sonne plus américain. Ils répondent que ce n'est pas le premier qui dit ça et que leur album sonne assez international. Ils discutent de la manière dont leur album "sonne", de la présence de la guitare et des voix.

00:13:08
Thierry leur demande s'ils arrivent avoir le même rendu sur scène qu'en studio. Ils pensent qu'ils arrivent a faire de bonnes performances. Toutes leur chansons peuvent être jouées en acoustique. Ils donnent leur avis sur les autres groupes de musique anglais qui ne jouent pas du rock, ils sont très bon à leur avis et tout le monde ne peut pas écouter du rock.

00:17:43
Thierry Savary leur demande comment ils en sont arrivé à faire une publicité pour Levi's. C'était une expérience fantastique et actuellement, les radios passent leur musique. Thierry Savary leur dit que leur musique est bonne et que les gens devraient être plus ouvert à entendre des compositions comme les leurs.

Savary, Thierry

Interview de Stephan Eicher - brute

Interview de Stephan Eicher et de son équipe à l'occasion de la sortie de son album live "Non ci badar, guarda e passa", par Thierry Savary et une autre personne.

Enregistrée en novembre 1994 à Engelberg.

00:00:18
Quelqu'un pose une question au réalisateur Thierry Rajic au sujet de la gène devant les caméras. Stephane Eicher explique à Thierry Savary qu'ils voulaient faire quelque chose d'interactif, que le film de la tournée influence le disque et vice-versa et de la difficulté de combiner les médiums du son et de l'image.

00:03:50
Stephan présente une partie de son équipe.

00:04:42
Thierry Savary demande si ce qui est sur le film était préparé d'avance ou s'il y avait de l'improvisation. Stephane Eicher et son équipe décrivent les conditions du tournage.

00:10:10
Stephane Eicher parle de la fatigue et du temps qui passe, du métier de musicien.

00:12:43
Stephane Eicher explique pourquoi il a trouvé l'intérêt de faire ce disque live.

00:14:34
Ils expliquent les conditions du tournage du film, ils n'ont pas été assailli par des fans. Le matériel pour filmer et enregistrer était réduit. Stephane Eicher explique qu'il voulait faire un disque dans lequel l'auditeur se sens comme lors du spectacle. Il raconte le tournage de la scène et du morceau d'introduction.

00:26:25
Stephane Eicher dit qu'il essaie de donner de la place à des gens qui n'ont pas forcément envie d'être dans la lumière. Chacun donne son avis. Stephane Eicher dit que les membres de son équipe font parti de sa vie et qu'elle est super. Il montre des photos de la tournée.

00:30:31
Stephane Eicher parle du processus de réalisation de ce projet.

00:35:00
Stephane Eicher dit qu'il retournerait volontiers en studio pour enregistrer mais que le lieu n'a finalement que peut d'importance.

Savary, Thierry

Interview d'Yves Hanchar - brute

Interview du cinéaste Belge Yves Hanchar à l'occasion de la sortie de son premier long-métrage "La partie d'échec" par Thierry Savary.

00:00:11
Yves Hanchar parle de sa découverte du cinéma, du métier de réalisateur et de sa carrière. Il parle de son rapport à la direction d'acteur et des différent films qu'il a réalisés (court-métrages, documentaires, long-métrage)

00:04:38
Thierry Savary lui demande comment il regarde un film, est-ce qu'il le décortique ou il le vit comme un spectateur lambda. La première fois, il fait une visualisation en s'immergeant dans le monde du réalisateur puis, lors d'un second visionnage, il l 'analyse.

00:05:03
Il parle du contexte de la réalisation de son premier long-métrage, de sa genèse.

00:09:37
Yves Hanchar raconte le scénario de son film et du lien qu'il a avec les échecs

00:12:09
Yves Hanchar explique sa manière d'écrire un scénario et le rapport qu'il a avec les comédiens et en particulier avec Pierre Richard.

00:14:20
Yves Hanchar relate les aléas du tournage et notamment le remplacement au pied levé de l'actrice qui jouait la marquise par Catherine Deneuve.

00:16:05
Thierry Savary demande s'il existe une famille de cinéastes Belges. Yves Hanchar explique qu'il y a une grande communication entre les cinéastes en belgique.

00:17:10
Yves Hanchar décrit son ressenti par rapport à cette première expérience de long-métrage et son projet pour la suite.

Savary, Thierry

Interview de François Dupeyron - brute

Interview du cinéaste François Dupeyron à l'occasion de la sortie de son film "La Machine", par Thierry Savary.

Enregistrée en novembre 1994

00:00:06
Françis Dupeyron raconte la genèse du film et explique que le producteur est très content du résultat.

00:02:20
Thierry lui demande de décrire la manière dont il a travaillé. Françis Dupeyron voulait réaliser une tragédie grecque depuis longtemps. Il dit que les thèmes mythiques réapparaissent au cinéma qui avaient déjà été adaptés dans le cinéma muet.

00:06:58
Françis Dupeyron explique que les notion de bien et du mal qui se retrouve aussi en nous, sont importants dans son film et c'est des notions que les occidentaux cherchent à oublier au travers du christianisme.

00:08:06
Françis Dupeyron s'est aussi renseigner sur ce qui se fait en terme de films d'épouvante. Il a essayé de trouver de la fluidité dans le film en travaillant au niveau du subjectif du regard. Il a retrouvé un plaisir à tourner.

00:12:40
Françis Dupeyron décrit le rapport qu'il a eu avec les acteurs ainsi que son rapport et le leur au film. Faire un film ça comporte des risques

00:20:46
Françis Dupeyron décrit son processus d'écriture.

Savary, Thierry

Interview de Matthias Jabs (Scorpions) - brute

Interview de Matthias Jabs, guitariste du groupe allemand de hard rock Scorpions par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de leur album "Face the Heat".

00:00:14
Thierry Savary lui demande s'il rêvait d'être artiste étant petit. Mathias Jabs répond que tout à commencé comme dans un rêve. D'un hobby, s'est devenu un métier et maintenant c'est sa vie. Il n'imagine pas de vivre sans musique. Même s'il décident d'arrêter, ils n'y arriverons pas. C'est une question d'équilibre et c'est une manière géniale de s'accomplir, c'est plus qu'un job.Il décrit la montée en popularité du groupe, l'impact qu'ils ont aujourd'hui et ce que ça fait de voyager autour du monde, de rencontrer autant de personnes si différente.

00:08:35
Pour Matthias Jabs, la musique est un pouvoir politique qui unifie les gens. Il explique qu'une chanson comme "Wind of change" a un effet peu importe où ils jouent dans le monde, c'est un langage international. La musique stimule l'imagination et suscite des sentiment, sinon ce n'est pas de la musique c'est un bruit de fond comme dans un ascenseur. Elle peut aussi rappeler des instants de la vie.

00:12:30
Il pense que les musiciens ont beaucoup de responsabilité car leurs mots ont beaucoup d'influence. Il dit que les années 90 semble être la décennie où il y aura de plus en plus de problèmes que cela arrive à un point culminant et ils veulent prendre ça en compte dans leurs chansons. L'euphorie de la chute du mur et de la réunification de l'Allemagne a laissé la place à la morosité et au chômage.

00:16:30
Il crois qu'il y a une solution à tous ces problèmes, il faut juste la trouver. La musique, par son pouvoir unificateur et sa faculté à générer de la joie peut amener quelque chose. L'actualité c'est 99% de mauvaises nouvelles et parfois, il y en a une de bonne. Maintenant, il faut des bonnes nouvelles.

Savary, Thierry

Interview de Tony Mortimer et John Hendy (East 17) - brute

Interview de Tony Mortimer et John Hendy du groupe de pop britannique East 17 par Thierry Savary.

Enregistrée en octobre 1994 à l'occasion de la sortie de leur album "Steam".

00:00:16
Tony Mortimer et John Hendy confirment qu'ils ont été surpris par le succès soudain du groupe. Ils étaient amis avant d'être ensemble dans le groupe. Ils décrivent le processus pour arriver à la formation du groupe et quand ils ont signé pour "East 17". John Hendy ne vient pas du tout d'une famille où il y a une pratique artistique mais Tony Mortimer a une famille de danseurs et de musiciens.

00:04:42
Thierry Savary leur demande quel type de musique ils écoutaient étant jeunes. Ils ont fait de la danse très jeune. Ils décrivent les influences qu'on retrouve dans leur dernier album et le type de musique qu'ils écoutent aujourd'hui. Actuellement, à Londres, tous les genres musicaux sont écoutés, c'est un grand mix car il y a des gens qui viennent du monde entier. Ils parlent des genres de musique sur leur album.

00:12:20
Thierry Savary leur demande quelle relation ils ont avec la musique venue des USA. Ils en écoutent beaucoup. Ils ont l'impression que leur second album est mieux pour aller en tourner là-bas. Ils discutent de la manière dont le groupe combine leurs voix dans les chansons. Ils expliquent que c'est assez difficile de faire quelque chose de nouveau actuellement. L'important c'est d'avoir une bonne chanson peut importe si ce n'est pas si innovant tant que c'est fait dans leur style de musique.

00:20:26
Ils parlent de l'importance des paroles dans leur chansons. Ils les écrivent rapidement, dès qu'ils ont les sujets dont ils veulent parler. Ils doivent parler de l'amour car c'est quelque chose d'universel. Ils décrivent la sortie de leur dernier album.

00:25:22
Thierry Savary leur demande s'ils on encore le temps de voir des amis. Ils veulent garder le contact avec leurs amis car c'est important pour eux. Ils aiment le résultat de leur dernier album.

Savary, Thierry

Interview de Randy Newman - brute

Interview de Randy Newman par Thierry Savary et une autre personne.

Enregistrée en 1994.

00:00:10
Thierry Savary demande si c'est spécial pour lui de faire une tournée maintenant. Il aime beaucoup jouer en live. Il faut faire des tournés pour que les gens ne l'oublie pas. Il a fait une tournée de 90 concerts. Il ne sait pas comment il y est arrivé. Il parle de l'esprit de la musique en Angleterre. Il pense qu'il y a de nouvelles personnes qui viennent l'écouter, pas seulement d'anciens fans. Il pense que ce n'est pas facile de saisir l'essence de son travail dans un pays qui ne parle pas l'anglais comme l'Allemagne par exemple. Il était marié à une allemande. Les gens doivent apprendre mais ils viennent aussi juste pour le son. Il essaie de faire des effort quand il parle en concert dans des pays dont la langue n'est pas l'anglais afin d'être mieux compris et il ne parle pas autant que s'il est aux USA.

00:06.50
Thierry Savary demande si c'est important pour lui de composer des chansons pour d'autres interprètes. Il l'a fait que récemment. Il pense que même si quelqu'un interprète sa chanson, c'est toujours la sienne. Il n'écrit pas que pour lui. Il n'a pas le talent pour écrire des chanson populaires mais il a du talent pour écrire des chansons.

00:09:38
Il a beaucoup travailler pour le cinéma ces dernières années. Ce la n'a pas la même valeur pour le monde que quand il compose des chansons, car dans les films on ne se focalise pas sur la musique. Pour lui, e cinéma est quelque chose de familial. Ses oncles travaillaient dans l'industrie cinématographique. ça lui tient à cœur, il est plus scrupuleux quand il compose pour le cinéma que quand il fait un disque. Il parle de l'importance de la musique dans les films. Il pense que la meilleure musique de film est celle que les spectateurs n'entendent pas tellement elle se fond dans le film. Il pense que la musique du film "Basic instinct" est très bien.

00:14:20
En dehors de la musique, il pense qu'il aurait ou être écrivain ou docteur, comme son père s'il avait plus travaillé à l'école. Il parle de ses projets actuels et de son fils. Son prochain album sera à son nom, il a écrit 20 chanson pour cet album et y en aura 15 ou 16 sur l'album. Il joue de nouvelles composition sur scène. Il pense qu'il va faire un album live de cette tournée car il est très bon sur scène.

Savary, Thierry

Interview de Manuel Malou - brute

Interview de Manuel Malou par Phil (Phil Bernard?).

Enregistrée en février 1994 à l'occasion de la sortie de son second album "Corazón Caliente" .

00:00:10
Manuel Malou parle de son second album "Corazón Caliente". Il déplore qu'on veuille toujours mettre des étiquettes aux artistes. Il n'aime pas les puristes. Il estime qu'il faut dépasser les bornes de la tradition pour aller plus loin tout en connaissant d'où l'on vient. Il a essuyé des critiques pour ce second album.

00:06:05
Manuel Malou est content de chanter en français aussi. Il a fait la première partie de Maxime (Leforestier?) à l'Olympia. Il a fait une reprise du métèque de Georges Moustaki sur son dernier album. Il aime beaucoup le texte. En lien avec son ouverture musicale, il a changé les musiciens qui l'accompagnent.

00:10:54
L'enregistrement du second album était plus court car il a été enregistré en direct au studio. Il y a une trentaine d'invités sur le disque. Ça été plus court car il a plus d'expérience en studio. Actuellement, il prépare avec ses musiciens un troisième album. Il écrit tout le temps et il reprend les choses en fonction des mélodies ou l'inverse. Il peut reprendre des textes bien des années après. Pour les arrangements musicaux, il le fait plus sur le moment mais les mélodies sont aussi produites parfois très longtemps à l'avance. Il a toujours un dictaphone avec lui.

00:15:17
Il se considère plus comme chanteur que comme guitariste. Il s'entour d'autres guitaristes pour l'accompagner. C'est fantastique de pouvoir jouer avec sa voix. Le chant et le fait de jouer d'un instrument introduit un rythme dans la marche et peut-être que c'est le cas aussi si on pratique d'autre art comme la peinture.

00:17:57
Phil lui demande d'il voyage beaucoup. Oui, il revient du Brésil où il a tourné un clip. Il connaît bien l'Amérique latine. Il n'a jamais ressenti de grande différence entre les publiques hispanophone et autre mais il pense que ceux qui comprenne ses textes cela leur permet de créer une connexion différente et de réagir à ses textes. Si le public réagit mal, c'est pas de sa faute mais de celle de l'artiste qui n'a pas été bon. Il a chanté dans la rue en faisant la manche. Il est actuellement de passage à Genève pour donner une série de récital de flamenco traditionnels.Il aime bien faire des choses à côté de ce qu'il fait sous le nom de Malou. Dans ce cas, il ne joue que des choses de tradition populaire ancienne. A l'inverse, sur son premier album, il a plaqué textes de sa composition sur de la musique traditionnelle.

00:24:35
Il prépare son troisième album dans lequel il a envie de mettre des rythmes rockabilly et country. Il a envie de toucher à des rythmes différents. Il joue déjà ses chansons sur scène avant de les mettre sur son album. Il préfère faire de la scène qu'enregistrer en studio.

Savary, Thierry

Interview de Gérard Blanchard - brute

Interview de Gérard Blanchard par Thierry Savary.

Enregistrée en 1994 à l'occasion de la sortie de son album "Branle Poumons" .

00:00:43
Thierry Savary lui demande s'il avait des rêves de musique étant petit. Oui, car il s'embêtait beaucoup durant son enfance et il voyait les artistes à la télévision, il voulait faire comme eux. Il s'est acheté une guitare. Il n'avait pas un milieu familial favorable à la musique, c'était le milieu ouvrier. Il fallait survivre. L'accordéon vient de ce milieu, malgré le fait que ça soit un instrument assez cher. Il parle de ses premières expérience en tant que musicien. C'était le premier qui a fait de l'accordéon rock. Son premier album a été réalisé en 10 jour. Il a commencé au cabaret et au café-théâtre.

00:07:00
Thierry Savary lui demande comme s'est passé la période de creux qu'il a eu à partir de 1984. Il a eu peur, il a fait une dépression et s'est mis à boire mais il n'a jamais cessé d'écrire des albums. Au début des années 90, il est retourné dans les cafés théâtres et il a essayé des nouvelles chansons. Puis, il s'est mis à la peinture. Des producteurs lui ont accordés leur confiance et il a refait un album et il prépare son prochain album.

00:12:42
Il parle de Léo Ferré et Richard. Léo Ferré a fait une carrière sans la presse. Maintenant, il faut être médiatique. Il n'aiment pas du tout l'aspect médiatique de son métier, ça l'angoisse. Il trouve que c'est difficile d'être authentique et indépendant. Ils parlent de la poésie. Thierry lui dit que son album est très éclectique et Gérard Blanchard lui répond qu'il l'a toujours été. On lui l'a reproché. Il a aussi des goûts musicaux éclectiques. Il aime les

00:18:16 - 00:19:03
[grésillements et coupures]

Savary, Thierry

Interview de Sherman Robertson - brute

Interview de Sherman Robertson par Thierry Savary.

Enregistrée en 1994 à l'occasion de la sortie de son album "I'm the Man" .

00:00:18
Thierry Savary lui demande s'il a voulu faire de la musique dès son enfance. Il a vu le un chanteur de country blanc à la télévision et il a voulu faire comme lui. Personne ne jouait de la guitare dans sa famille. Il faisait de la musique pour se sentir bien. Il a grandit au Texas et a commencé par faire du blues car c'était une musique qui sonnait réelle, c'est une musique concrète. Actuellement, le blues connaît un regain de succès et c'est la raison pour laquelle il est là. Il veut donner un blues un autre niveau et montrer aux spectateurs le blues du Texas. Il est né en Louisiane et a grandit au Texas. Il y a un blues typique de la Louisiane et un du Texas. Il fait la fusion des deux et l'appelle Lutex.

00:04:00
Il a joué avec beaucoup de grands musiciens. Avec eux, il a appris qu'il faut être sérieux dans son travail, l'aimer et vivre sa musique. C'est le blues qu'il veut pratiquer. Le blues du Texas est positif. Il est très fière de jouer cette musique sur laquelle on peut danser. Il ne parle pas des choses négatives de la vie. Il essaie de rendre le monde meilleur. Parfois, il y a des gens qui viennent lui parler d’événements qui se sont dérouler avec sa musique.

00:09:47
Thierry Savary lui demande quels sont ses influences musicales. Il écoute du gospel, du jazz, d'autre sorte de blues, du métal, du rock, tout ce qui lui permet de créer une nouvelle chanson. Il explique qu'il prend un peu de chacune de ses influences pour faire sa musique mais le plus important c'est de faire en sorte que les auditeur entendent sa musique, ses composition. Il est un individu qui appartient à la famille du blues et au gens. ça prend du temps de développer son genre, son style et de trouver sa voix, ça prend des années.

00:13:57
Ses trois vœux sont: d'avoir beaucoup de monde pour l'écouter, de passer un bon moment et d'être aimé.

Savary, Thierry

Interview de Fish - brute

Interview de Fish par Thierry Savary.

Enregistrée en 1994 à l'occasion de la sortie de son album "Suits" et son concert à l'Estival à Estavayer (?) .

00:00:03
Thierry Savary lui demande si c'était un de ses rêves de devenir musicien. Il décrit le processus qui l'a amené à devenir musicien et acteur. Il parle du marketing et de la promotion de film et de musique. Il a toujours voulu écrire des scénarios. Il aime beaucoup être sur scène et décrit ce que ça produit chez lui. Il a eu beaucoup de chance de découvrir son talent pour être chanteur.

00:08:29
En tant qu'artiste, c'est un privilège de pouvoir donner un concert. Il se considère comme très chanceux d'avoir ce talent, de pouvoir donner du sens à pendant qu'il chante. Il est confiant en sa capacité de transmettre du sens et des émotions dans ses chants. Il parle de l'armée et de la manière dont elle prend de la place dans la société, des différents conflits armés du 20e siècle.

00:15:40
Thierry Savary dit qu'il fait un peu le travail d'un journaliste et transcrit le réel dans ses chansons. Fish parle de son expérience d'écrire le scénario et la bande son d'un film. Il parle à nouveau du marketing et de la promotion de film et de musique. Il explique qu'après avoir terminé un album, il a toujours une période un peu à vide et c'est pareil quand il sort de scène pendant quelques minutes. Il dit qu'il a beaucoup de chance de vivre près de la plage pour s'échapper.

00:21:58
Thierry Savary lui demande quels seraient ses trois vœux. Il aimerait marquer le but décisif pour l'équipe d'écosse lors de la coupe du monde, il aimerait faire un album majeur mais il ne saurait pas que faire avec l'argent car il déteste ce que l'argent fait aux gens et il aimerait construire des bâtiments et les donner pour que les gens vivent dedans. Il aimait faire des constructions en lego et duplo quand il était enfant. Il parle d'architectes qu'il aime. Il parle de sécurité financière. Si son album a du succès, il pourra utiliser le bénéfice pour en faire un autre. Il adorerait faire un film et diriger des acteurs. Il parle d'acteurs qu'il admire. Il parle de son expérience de visite d'un zoo avec sa fille. Il aimerait qu'à sa mort, il puisse se dire qu'il a fait beaucoup de choses et des choses cool. Il aimerait que les gens réalisent que la vie ce n'est pas faire un maximum d'argent entre 18 et 50 ans pour avoir une retraite dorée mais que c'est d'apprécier sa vie à chaque moments.

Savary, Thierry

Résultats 46 à 60 sur 104