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Interview de Barrio Chino - brute

Interview brute de Sylvie et Gil Aniorte Paz du groupe français Barrio Chino par Thierry Savary.

Thierry Savary introduit le groupe. Sylvie et Gil sont frère et sœur.

Sylvie explique un peu l'histoire de la famille, qui est très multiculturelle. Ils ont beaucoup d'histoire. Sylvie explique comment le groupe et l'écriture de leur univers musical a commencé.

00:03:00
Gil parle des instruments qu'il joue, tant méditerranéens que de plus loin.

Sylvie et Gil parlent de l'univers musical dans lequel ils ont grandi. Ils ont eu des grands-parents musiciens, chanteurs, engagés. Ils pensent que c'est important de grandir dans cet environnement.

Gil explique qu'il n'aurait pas pu faire autre chose que de la musique.

00.05:00
Thierry Savary leur parle des chansons traditionnelles.
Sylvie pense que c'est quelque chose qui s'est perdus. Elle parle notamment de la période yéyé, qui a détruit la musique traditionnelle. Elle parle de l'Alcazar de Marseille qui a été détruit. Elle déplore le fait qu'il n'y a plus d'endroits pour apprendre les chansons traditionnelles et locales.

Thierry Savary parle de la tradition chorale fribourgeoise.

00:07:45
Thierry Savary leur parle de leur formation musicale.
Gil explique qu'ils ont appris avec leur famille, mais qu'ils ont aussi appris des choses plus classiques, de technique. Il parle de la musique flamenca, qui ne s'enseigne pas dans les conservatoires. Chaque région possède son flamenco, il y a des codes. Ensuite il y a eu un enseignement général, mais c'est encore autre chose. Il faut jouer avec des musiciens pour s'imprégner.

Sylvie explique que tant dans la musique arabe qu'andalouse, c'est à la personne d'apprendre et de s'imprégner. Les gens n’enseignent pas.
[Interview coupée, il manque la fin]

Savary, Thierry

Interview de Robert Bussard

Interview du président d'honneur du corps de musique de la ville de Bulle, Robert Bussard.
Enregistrée à l'occasion du « spectacle multivisions » sur la musique des « Planètes » à la Salle C02 de La-Tour-de-Trême.

Bussard, Robert

Interview de Georges Chelon

Interview du chanteur français Georges Chelon.

Enregistrée le 6 novembre à Lucens.

Georges Chelon voulait être diplomate ou journaliste. Il a participé à un concours à Grenoble en 64 car s'était acheté une guitare. Il a gagné, car c'était l'époque yéyé et il était à contre-courant.

00:00:50 - 00:01:25 : [Musique]

Après le concours il a fait un 33 tours. Et s'est installé durant les années 60, puis les modes ont changées et durant les années 70 il y a eu le déclin. Il a toujours fait de la scène. En ayant de moins en moins de succès sans s'en rendre vraiment compte car il aimait trop la scène

00:02:45 - 00:04:00 : [Musique]

Il pense qu’il a fait une carrière car il chante depuis longtemps, il a toujours vécu de la chanson, même s’il a connu des hauts et des bas, il fait une carrière.
Le monde de la scène a changé car avant c’était très amical, et ce qu’il présente n’est pas très compétitif sur le marché.

00:04:50 - 00:05:35 : [Musique]
Son public vieilli, mais il a aussi un public plus jeune par leurs parents peut-être, mais il aimerait qu'il y en ait plus. Il aimerait une reconnaissance de ces jeunes. Le but de la chanson maintenant ce n’est pas de se mettre à nu mais de faire un produit susceptible de marcher, donc s'il trouve le parolier, le son , le manager à la mode, on va le faire car le but c'est que ça marche. Son but n'est pas d'être idolâtré, même si à un moment les deux choses se sont rencontrées.

00:07:10 - 00:08:10 : [Musique]

Raconte des histoires un peu égoïstement dans ses chansons, mais à contre-courant, parce que ça le touche. Raconte des choses personnelles, et les gens s'y retrouvent. Une chanson ne peut pas être que pour soi, il y aura toujours des gens qui vont s'y retrouver. Une chanson sur l'amour c'est universel, mais qui ne chante pas des chansons d'amour? Hallyday, Cabrel? Lui parle d'amour, le véritable, universel, pas forcément l'amour d'une personne, l'amour en général. La haine c'est lié à l'amour, l'amour c'est ce qui nous fait avancer.

00:10:10 - 00:11:45 : [Musique]

Quand il fait une chanson, il se demande toujours si c'est lui qui les fait, car il se trouve inintéressant, il pense qu’il ne sait pas écrire. Mais il s'impressionne quand il fait une chanson, car les textes sortent...

00:12:30 - 00:13:30 : [Musique]

Il écrit des chansons simples, parfois il retient des choses, parfois non, puis il se lance dans l'écriture. C’est assez aléatoire

00:14:10 - 00:15:30 : [Musique]

Sur scène, il ne pense pas être assez imposant. Il les perd facilement. Il faut qu’il soit dans une bulle, et faire rentrer le public dans son univers. Il parle d’une lutte, d’un rapport de force sur scène avec le public, où il faut que chacun reste à sa place. Il critique le fait de parler sur scène. Il parle du fait qu’il se trompe régulièrement sur scène, et que cela l’humanise.

00:17:40 - 00:18:55 : [Musique]

Il aime les publics qu'on dit froids, car généralement c'est les plus chauds. Au moins il n'applaudit pas pour n'importe quoi. Il préfère un public dur, il y a plus de mérite.

Savary, Thierry

Interview de Patricia Kaas

Interview de Patricia Kaas, chanteuse.

Le journaliste souligne que c’est la seule artiste francophone à vendre plus de disques en Suisse allemande que romande. Patricia Kaas apprécie cela car elle se sent plus comme une artiste internationale.
Les concerts sont différents dans d'autres pays, mais cela relève surtout de la langue.
La chanson française a un public partout, c'est surement ce qui plait chez elle à l'étranger, et sa voix.
Le public japonais est très timide, mais elle a appris à "les prendre".
Elle raconte quelques anecdotes lors de concerts, une alarme incendie ou une chute de scène.
00:04:55
Elle va aller faire deux dates à Moscou, ne s'attarde pas trop sur les événements politiques, ce qui compte c'est de faire plaisir à son public.
Quand elle chante à l'étranger, elle ne touche pas de cachet, car propose pratiquement le même spectacle qu'en France. Comme cela coute cher elle ne touche pas de cachet. Elle veut plutôt montrer qu'un artiste français peut être aussi bien qu'un anglo-saxon, et finalement cela permet de récolter du public et des fans.
00:06:45
Elle a refusé de chanter en anglais, car elle ne le parle pas, et ne peut pas mettre d'émotion. Elle a aussi voulu que son album aux USA soit 100% en français car elle se présente comme une artiste française. Elle veut garder cette image de chanteuse française, et ne sortira jamais d'album entièrement en anglais.

00:08:55
Elle pense que son premier album était plus "top 50" que le deuxième, car le premier était plus fait par rapport à ce que le public voulait et le deuxième est plus pour elle. Elle ne pense plus être une artiste top 50, car il faut avoir un tube pour être reconnue. Mais cela ne l'empêche pas d'avoir son public.
Elle va changer un peu son accompagnement musical pour sa tournée aux USA, mais ne va pas tomber dans de la musique moderne, ni dans le jazz ou le blues. Pense que son style va ressortir beaucoup plus dans son prochain album, de fin 1992. Il sera plus autobiographique au niveau des textes, va plus collaborer avec les auteurs des textes. Musicalement entre Piaf et Joe Cocker. Va plus chanter en piano voix, une balance entre ce qu'elle aime et ce qu'aime le public.

00:14:30
Elle ne fait pas de la musique pour danser, mais plutôt un album à écouter chez soi. Même si un peu triste parfois.
Elle a 24 ans, mais se sent parfois très mûre dans ses décisions, et se sent un peu plus femme qu'il y a quelques mois en arrière. Mais dans sa vie privée se sent quand même dans son âge.
Elle ne ressent pas le besoin d'une relation stable car travaille beaucoup, n'a pas vraiment le temps.
Elle aimerait être mère de famille, mais ne sait pas quand.
Parle de ses styles vestimentaires.

Kaas, Patricia

Interview de Diane Tell - brute

Interview de la chanteuse québécoise Diane Tell par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de l'album "Désir Plaisir Soupir", en février 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S177-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Interview de Maurane - brute

Interview de la chanteuse belge Maurane par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de l'album "Différente", en février 1996.

Il s'agit de l'interview brute (S179-01). Se référer à cette notice pour les détails.

Savary, Thierry

Emission spéciales : Calendrier de l'Avent Géant - Gabby Marchand

Petite discussion entre Thierry Savary et Gabby Marchand et diffusion d'une chanson de Gabby Marchand dans le cadre de l'opération "Calendrier de l'Avent géant" pour les enfants défavorisés du canton de Fribourg.

Gabby Marchand présente la chanson diffusée le 29.12, "J'ai mis mon manteau d'hiver".

00:01:40 - 00:02:55 : [Chanson]

Gabby Marchand donne ses voeux pour la nouvelle année.

00:04:50 - 00:07:20 : [Chanson]

Gabby Marchand parle de la chanson du 30.12. Il donne encore ses voeux, et parle de la chanson qui sera diffusée le 31.12.

00:09:00 - 00:10:10 : [Chanson]

Savary, Thierry

Semaine Beatles - interviews

Interviews de personnalités fribourgeoises et d'auditeurs à l'occasion d'une semaine spéciale consacrée aux Beatles. Les personnes interviewées racontent leurs expériences, souvenirs et impressions générales.

Liste des personnes interrogées:

00:00:02 - 00:05:15 : José Ribaud, rédacteur en chef de "La Liberté"
00:05:20 - 00:07:50 : Raphaël, DJ au Rock Café
00:08:00 - 00:10:40 : Patrice Brasey, HC Gottéron
00:10:45 - 00:11:45 : Shad Silver, HC Gottéron
00:11:50 - 00:19:50 : Auditeurs et auditrices
00:20:00 - 00:22:15 : Vladimir Karati, entraîneur de Fribourg Olympic
00:22:25 - 00:24:45 : Ron Putzi et Patrick Colley, Fribourg Olympic
00:24:50 - 00:25:45 : Ron Putzi et d'autres joueurs de Fribourg Olympic chantent
00:25:55 - 00:27:45 : "Tintin", le soigneur de Fribourg Olympic
00:27:50 - 00:32:00 : Auditeurs et auditrices
00:32:10 - 00:33:50 : Carole Rich, chanteuse
00:34:00 - 00:36:40 : Madame Jaccoud, propriétaire de magasin de musique à Fribourg
00:36:40 - 00:37:45 : Claire, disquaire à Fribourg
00:37:55 - 00:42:30 : Jean-Claude Pilloud, curé-doyen de Saint-Pierre
00:42:40 - 00:47:00 : Auditeurs et auditrices
00:47:10 - 00:59:30 : Dom Torche, producteur de disques et responsable du studio "Reliefs" à Belfaux
00:59:35 - 01:05:25: Pierre Aeby, conseiller d'Etat.

Interview de Jean-Louis Aubert

Interview de l'auteur-compositeur, chanteur et guitariste français Jean-Louis Aubert par Thierry Savary.
Enregistrée en 1993 à l'occasion de la sortie de son album "H", en octobre 1992.

Il manque certaines questions.

Jean-Louis Aubert parle de sa relation au public sur scène, de la gratification et du bien-être que cela procure.
Le bonheur suprême dans la musique c'est l'instant présent. Il parle du rapport au temps du musicien.

00:03:30
Thierry Savary lui demande s'il contrôle toujours ce qui se passe lorsqu'il est sur scène.
Jean-Louis Aubert parle du fait de perdre le contrôle et rester malgré tout dans un état de grâce. Il prend Jimmy Hendrix en exemple.
Il parle des imprévus et des ratés sur scène, des silences.

Thierry Savary parle d'un univers magique.
Jean-Louis Aubert pense que les êtres humains ne se rendent pas assez compte du fait qu'ils vivent dans un univers magique.
Il explique le fait que dans sa musique il en veut toujours plus, toujours plus parfait. Il compare la musique à la philosophie dans le rapport à l'être.

00:08:25
Thierry Savary parle du lien entre la musique et l'ésotérique.
Jean-Louis Aubert pense que la musique a toujours un lien avec la métaphysique.
Il parle d'Alice Cooper et des Who, des messages et de l'identification.

00:10:00
Jean-Louis Aubert parle du fait que la musique peut toucher les gens très profondément, et de la dimension que peut prendre la musique.
Jean-Louis Aubert parle du fait que la musique est accessible, et qu'elle peut dire beaucoup, parler aux gens. Il compare la musique à la peinture.

00:13:40
Thierry Savary lui demande si les mots sont indissociables de la musique.
Jean-Louis Aubert explique que pour lui les mots sont indissociables de la musique, l'un et l'autre l'aide à composer et à écrire. Même si la musique peut exister sans paroles.
Il parle de son rapport aux mots, à la parole. Il parle de sa manière de penser, de ne pas s'éloigner des gens.

00:18:15
Jean-Louis Aubert parle de son rapport à la terre et aux hommes, de la nature, de l'écologie.

Thierry Savary lui parle du titre de son album, "H", et lui demande si c'est pour "humanité"
Jean-Louis Aubert parle du titre de son album, du fait que ce soit une lettre seule. Il parle de "H" comme "humain".
Il parle du futur.

00:22:00
Jean-Louis Aubert parle d'écologie, des relations entre les êtres humains.

00:26:15
Thierry Savary parle de sa chanson "Temps à nouveau".
Jean-Louis Aubert parle de la phrase "prendre le souffle à nouveau", il parle de l'air, de respirer.
Il parle de la place de l'homme dans l'univers, de l'espoir et de trouver un système politique plus universel.
Il parle de l'importance d'observer le monde.

00:34:30
Thierry Savary lui parle du fait qu'il se pose beaucoup de questions, lui demande si cela l'aide pour composer des chansons.
Jean-Louis Aubert explique qu'il retrouve toutes les questions qu'il se pose dans ses chansons, sans s'en rendre compte.
Il parle de certaines de ses chansons, des images qu'elles lui inspirent.

00:38:30
Thierry Savary lui parle des voyages.
Jean-Louis Aubert explique qu'il vient de rentrer de Bolivie, où il a enregistré le clip de "Temps à nouveau".
Il parle de l'influence de la nature sur l'esprit, sur l'humilité.
Il parle du fait de vivre plus simplement, de faire des choses qui lui permettent de grandir, et de penser un peu plus à ce dont il a besoin, pour pouvoir continuer à créer.

Savary, Thierry

Semaine Beatles - interviews_2

Interviews de personnalités fribourgeoises et d'auditeurs à l'occasion d'une semaine spéciale consacrée aux Beatles. Les personnes interviewées racontent leurs expériences, souvenirs et impressions générales. Ils chantent une petite partie de leur chanson préférée.

Liste des personnes interrogées:

00:00:02 - 00:05:00 : Vincea McClelland, guitariste classique canadienne
00:05:10 - 00:08:50 : Félicien Morel, conseiller d'Etat, président du Conseil d'Etat
00:08:55 - 00:14:45 : Kevin Flynn, musicien-chanteur irlandais.
00:14:55 - 00:17:00 : Jacques Eschmann, conseiller communal de Fribourg
00:17:05 - 00:24:35 : Thierry Savary
00:24:45 - 00:27:00 : Kurt Eicher, directeur de Radio Fribourg
00:27:05 - 00:28:15 : Jean-Paul Schorderet, champion fribourgeois de motocross
00:28:25 - 00:32:30 : Jean-Luc Nordmann, directeur des magasins Placette (Manor)
00:32:40 - 00:35:00 : Auditrice (Isabelle)

Flynn, Kevin

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