[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2013
Diffusé sur la Première du 3 au 7 juin 2013
Participants: Patrick Rosset, Urs Egger, fondateur du Cirque Toamême, Gilles Dubuis, programmateur de la Spirale
Du Belvédère, en passant par la Basse-Ville et le club de jazz la Spirale, nous découvrons Fribourg en compagnie de Mathieu Fleury, le secrétaire général de la Fédération romande des consommateurs. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2018
Cinq émissions diffusées sur la Première du 3 au 7 décembre 2018
Emission 4: Enrayer l'hécatombe
Emission 4: Les effectifs des oiseaux des champs ont chuté de 40% en vingt ans en Suisse, y compris en altitude. Un déclin de l'avifaune qui a débuté avec la transformation de l'agriculture, devenue plus intensive. Les paiements directs incluant des prestations écologiques n'ont pas suffi à enrayer le déclin. Pourtant certains agriculteurs motivés agissent. Au sein du réseau écologique du Bas-Gibloux, dans le canton de Fribourg, Philippe Gavillet et Barbara Tinguely se retrouvent avec le biologiste Grégoire Schaub pour installer un nichoir à chouette effraie. Une des multiples actions nécessaires pour redonner une place aux oiseaux. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2012
Emission diffusée sur la Première le 21 novembre 2012
Olga, 19 ans, est une vache angus d'un élevage labellisé bio à Granges Paccot. Ce jour-là, elle est emmenée à l'abattoir. Pour son propriétaire, c'est l'heure de la faire monter dans la bétaillère... Quel est la nature du lien qui s'est tissé entre l'éleveur et ses bêtes? Quelle est la place de la mort dans le travail avec les animaux? Comment prendre en compte le bien-être animal et faire respecter les lois en vigueur sur la protection des animaux? Une vétérinaire de la société de protection des animaux accompagne ce dernier voyage d'Olga. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2016
Extraits d'une émission diffusée sur la Première le 6 août 2016
La ville de Fribourg veut protéger les noms de ses restaurants historiques pour éviter que des enseignes comme les Tanneurs, le Gothard, ou encore le Tirlibaum perdent leur identité au profit de nouveaux noms. Source: RTS