Affichage de 3480 résultats

Description archivistique
Archives film et son
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Hierarchy Affichage :

1944 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Interview de Joe Sample

Interview du pianiste de jazz américain Joe Sample par Thierry Savary

Enregistrée à l'occasion de son passage au Montreux Jazz festival, en juillet 1993.

Joe Sample raconte l'histoire de son frère dans la Navy qui jouait du piano avec un groupe qui se présentait dans les bases militaires durant la Deuxième guerre mondiale. Il les avait vus jouer et il était fasciné par la musique, par les instruments.

00:01:50
Il pense qu'il a été béni, et que ce n'est pas de la chance car il a dû travailler beaucoup. Il a toujours pensé dans sa jeunesse qu'à un point de sa vie il aurait réussi, et qu'à ce moment-là il pourrait arrêter de travailler. Puis à la trentaine il a compris que ça n'arriverait pas. Il faut toujours et toujours travailler, s'entrainer.

00:03:00
Il parle du travail entre l'esprit et ses doigts sur le piano. Il faut que les doigts soient forts et entraînés pour qu'il puisse jouer. Si toutes les conditions physiques sont bonnes, i peut se laisser aller à son feeling, car il ne réfléchit plus à la musique.

00:05:05
Il parle de la spiritualité et du mystère de la musique. Il raconte des moments où il a eu des chansons qui sont simplement venues à lui, où ses doigts bougeaient tous seuls. Il pense que l’on n’écrit pas une chanson, les choses viennent d'elles-mêmes. C'est une question de ressenti. Il faut savoir saisir l'opportunité. Il n'écrit pas ses chansons, elles lui sont données.

00:07:30
Il raconte une anecdote du Montreux Jazz festival, il y avait une soirée thématique sur les films. Claude Nobs lui a demandé de participer. Il ne savait pas trop ce qu'il devait faire. Il doit toujours être prêt pour jouer.

00:09:30
Il rebondit sur l'anecdote des films. Il avait prévu de faire certaines chansons, mais arrivé sur scène, il s'est surpris lui-même à faire complètement autre choses. Ses doigts bougent tout seul.

00:10:55
Joe Sample parle de politiques, des problèmes du monde. Il parle des dérives du capitalisme et du communisme. Il pense que la réponse est au centre. Il parle des dictateurs en Afrique. Il pense que les gens devraient plus apprécier les petites choses de la vie, comme la nature, la nourriture et la musique. Il pense que les gens devraient se contenter de moins, que les meilleures choses sont les moins chères. Il pense que quand l'humanité se sera débarrassée de la cupidité, le monde sera meilleur.

00:15:05
Il raconte que quand il a écouté son album une fois terminé, il a remarqué que c'était exactement ce qu'il voulait depuis le tout début. Il était complétement satisfait et content. En l'écoutant il l'apprécie.

00:17:30
3 vœux: avoir une très longue et significative vie et la santé. Il aimerait pouvoir jouer du piano jusqu'à très vieux. Il aimerait vivre dans une forêt d'arbres de musique, et pouvoir marcher entre ces arbres et s'en inspirer. Que tous les gens qu'il aime aient une très belle vie, et que les périodes de tristesse soient très rares.

Savary, Thierry

Interview de Laurence Jalbert (première partie)

Interview de la chanteuse québécoise Laurence Jalbert par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Corridors", en 1993.

Il s'agit d'un document prêt à diffuser. L'interview a déjà été diffusée les 22 et 23 novembre 1993 (S089-01) dans une version plus brute. Se référer à cette interview pour plus de détails.

Savary, Thierry

Interview de Axelle Red

Interview de la chanteuse belge Axelle Red par Thierry Savary

Enregistrée à l'occasion de la sortie de son album "Sans plus attendre" en octobre 1993.

Axelle Red explique qu'enfant elle voulait déjà devenir chanteuse. Mais elle a dû attendre et n'a pas été connue très rapidement, elle a eu une jeunesse comme tout le monde.
Elle avait un père très réaliste, et une mère très passionnée puis qu'elle avait une grande collection de disque.
Son père commence à peine à se rendre compte que ça marche et il est fier.

00:01:30
Ils parlent des artistes belges. Il faut faire une différence entre les artistes flamands et wallons. Les Wallons doivent réussir en France. En Flandre il y a une forte médiatisation. Elle a la chance de marcher dans les deux côtés du pays.

00:03:00
Elle a aussi fait de la danse. Elle ne pense pas qu'il y ait d'influence directe sur sa musique. Elle a fait de la danse classique et de la danse moderne. Pour elle la danse a toujours été un hobby.
Sur scène elle ne fait pas de grandes chorégraphies. Elle bouge beaucoup mais ce n'est pas la pratique de la danse.
Elle joue du piano, et elle continue de prendre des cours chaque semaine. C'est utile pour l'harmonie et la composition.

00:05:15
Elle pense que c'est sa mère qui lui a donné l'amour de la musique, notamment Motown. Ils avaient un Jukeboxe mais ils ont perdu beaucoup des albums. Elle trouve que c'est un avantage d'avoir connu cette musique si jeune. Mais elle ne se rendait pas compte que les sons étaient proches du fait d'être dans le même label.

Elle parle de la soul musique. Elle pense que c'est difficile pour elle d'imiter de la soul, mais elle a essayé de s'en inspirer et de faire son style personnel. Dans ses textes il y a toujours le côté intensité dans les sentiments.

00:07:40
Elle n'utilise pas de machines ou de boîtes à rythmes. Elle voulait un album intemporel, pas avec un son qui se démode.

Elle a sorti son premier 45 tours 10 ans avant cet album, en 1983. Elle a ramé. Il y avait peu de publicité en Belgique sur le moment. Elle voulait être une chanteuse internationale, et avait une maison de disques en Angleterre. Elle pense qu'il lui manquant toujours quelque chose, mais pour réussir il faut tout.

00:10:20
Elle parle du fait qu'il faut faire beaucoup d'efforts et de sacrifices pour faire4 ce métier. Elle a eu beaucoup de déception. C'est assez difficile. Mais elle n'a jamais fait de sacrifices artistiquement.

00:11:40
Elle trouve que c'est dur quand elle voit ses amis, ils veulent toujours parler de musique mais elle justement voudrait parler d'autre chose. Elle pense aussi que le danger quand on fait de la musique c'est de devenir égocentrique. C'est important de savoir écouter.

00:13:00
Elle fait écouter ses premiers jets et ses maquettes à sa maman. Elle est toujours très honnête. Et son père aussi, comme il n'est pas très musical. Si son père aime, cela veut dire que le grand public va aimer.

00:14:10
Les conseils qu'on lui a donnés.
Elle pense que quand cela ne marche pas, tout le monde a une explication, une raison à donner pour expliquer l'échec.
Mais il y a aussi des gens qui donnent des bons conseils. Dans le show business, il n'y a jamais d'ennemis ni d'amis. On ne sait jamais de qui on pourrait avoir besoin.
Elle a aussi des regrets de choses qu'on aurait dû lui dire. La première étape pour réussir c'est de trouver son style, et el lui a pris très longtemps. Elle pensait toujours en termes d'imitations. Il faut un style personnel pour réussir.

00:16:30
Elle chante en français un peu par hasard, car elle a signé en France et parlait la langue. Mais elle ne fait pas vraiment une musique française, donc c'est peut-être plus original. Si elle fait un album en anglais, elle aimerait que les textes soient aussi bons que ceux en français.
Elle a quand même des difficultés pour les textes avec le français pour les chansons un peu rythmées. Elle essaie de faire swinguer les mots tout en respectant les syllabes.

00:18:45
Elle a déjà écrit et composer des choses pendant la nuit.

00:19:33
Elle a toujours chanté, donc elle ne pense pas avoir été changée par le chant. Mais elle sent qu'elle évolue, et elle a plus de facilité pour faire sa musique. La première étape était difficile à faire.
Elle a trouvé que c'était difficile de travailler en studio, elle avait des idées très précises dans sa tête. Ils ont travaillé pendant 9 mois en studio. Le danger du studio c'est que l'on oublie ce qu'il se passe autours.

00:22:30
La réaction une fois le disque fini?
Elle n'a pas été surprise, car elle aime tout contrôler. Elle a décidé de tout, y compris la pochette. Elle ne supporte pas la surprise. Mais c'était quand même quelque chose de magique.

00:23:50
Les anecdotes vécues sur sa musique.

00:24:40
3 vœux: rester aussi heureuse que les 4 derniers mois, qu'elle puisse continuer à évoluer dans la musique et que les gens l'apprécient, et que la guerre s'arrête dans le monde.

Savary, Thierry

Interview de IAM

Interview de Shurik'n du groupe de rap français IAM par Thierry Savary

Enregistrée à l'occasion de leur passage à Fri-Son le 16.04.1994.

"Jo", du groupe IAM

Il explique qu'il a toujours été très nerveux, depuis l'enfance. Mais il n'a pas fait trop de bêtises. A 18 ans, il était danseur, il a commencé le hip-hop par le break dance. Il écoutait du rap.

Vers 18 ans il lisait un peu de tout, mais pas de poésie. Il a commencé les arts martiaux très tôt, et il lisait sur les arts martiaux. Il y a toujours une emprunte de la spiritualité qui va avec les arts martiaux.

00:02:35
La rencontre?
Pour Kheops et Akhenaton, ils se sont rencontrés très tôt, car ils étaient le seul rapper et le seul DJ de la ville de Marseille.
Ils vivent un peu comme une famille dans le sens où ils se voient beaucoup, tous les jours. Ils se connaissent. Depuis 1989, ils se connaissent, puis avec les tournées ils sont vraiment ensemble tous les jours.

Il explique que Marseille n'a jamais été une ville de hip-hop. Les gens faisaient de la danse, du break. Mais pas le micro et les platines.

00:04:50
Le rap permet de dire des choses qu'on ne peut pas faire en chanson, car dans une chanson il n'y a pas la place. On étale deux phrases dans une mesure dans le rap.
Il y a aussi une différence de buts, il y a peu de chanteurs qui abordent des sujets, et ce sont des gens qui savent écrire. Des gens comme Brassens, Brel, Nougaro. Mais la chanson aujourd'hui n'est pas au niveau.

00:06:00
Il n'y a pas de mots qu'ils n'utilisent pas. Ils ne se posent pas de limites. Mais ils pensent aussi qu'il n'y a pas besoin d'être vulgaire, on est mieux compris quand on parle clairement.

00:06:50
Ils parlent du cosmos, dans leurs titres et dans les arts martiaux. L'Egypte et l'Asie sont les deux régions les plus spirituelles. Le cosmos c'est une volonté de resituer l'homme par rapport à son univers. Une re-situation physique et mentale car on est un peu trop prétentieux en ce moment.

Ils parlent des indiens d'Amérique. Shurik'n explique qu'il est en train de découvrir les indiens d'Amérique et leur culture. Ils ont un respect profond pour la nature et veillent à être en harmonie avec elle.

00:09:30
Il pense que le public comprend le message. Il dit que cela se voit en concert. Il y a des chansons où ils sentent l'adrénaline, et d'autres où tu sens qu'ils écoutent. Ils connaissent le groupe, ils savent très bien qu'il y a des morceaux à texte. Et après les gens viennent dire leur ressenti.
Ils font une balance entre le fun et les choses qui touchent l'âme. Le rap c'est du journalisme urbain.

00:11:30
Les médias sont une source d'inspiration. Il y a aussi les livres. Et la ville de Marseille.
Ils apprécient quand on parle de leur musique comme d'une musique ethnique. Il pense que les gens ont compris ce qu'était Marseille.

00:12:30
Ils parlent du concert de Fribourg. Les gens doivent s'attendre à quelque chose de mystique.

00:13:00
Ils ne se sentent pas comme des porte-paroles. Ils disent ce qu'ils pensent, comme ils le pensent, et sur n'importe quel sujet. Ils ont déjà été qualifiés de subversifs et d'agitateurs.
Mais il pense que les auditeurs ont très bien compris, ils sont de plus en plus nombreux.

La fusion de la technologie et de la grâce de la spiritualité.
Ils travaillent avec toutes les musiques qui leur plaisent. La musique ethnique amène une profondeur à leur musique. Ils travaillent avec des sampler. Le mariage se fait très bien. Il y a aussi une volonté de maintenir la tradition.

Ils font un parallèle entre modernisme et homme, progrès, spiritualité.

00:16:20
Ils parlent du respect. Ils ont un respect des racines, des parents, respect de certaines valeurs mais sans pousser non plus. Ils ont le respect de leurs racines, d'où ils viennent, de ce qu'ils sont.

00:17:15
A Marseille, ce qui manque, c'est l'argent. Il parle de jeunes qui travaillent, car les parents ne peuvent pas leur acheter les livres pour aller à l'école. Il y a des gens qui n'ont pas la chance de pouvoir faire des études. Il y a aussi des jeunes qui passent leur vie dans la rue.

00:19:00
Il parle de voyage astral et de voyage dans l'espace.

00:19:45
IAM c'est un groupe de scène. Ils ont toujours un bon accueil partout. Pour la scène il faut être complet.
Sur scène, ils essaient de briser la barrière avec le public. La symbiose avec le public se fait souvent dès le début.

00:21:20
Ils parlent du nombre de choses qu'ils arrivent à dire dans une chanson. Tout cela dépend des tournures de phrases. Il ne faut pas trop compliquer non plus. Il faut penser à la compréhension, et aller au but. Tout dépend de comment le texte est construit. Et pour faire cela la lecture sert beaucoup.
L'écriture n'est pas facile, ils cherchent toujours à pousser plus loin. L'inspiration vient vite. Mais il faut quand même pousser, les textes ne sont jamais de premiers jets.

00:23:20
Le dernier album est un double album. Ils n'ont plus tourné durant 2 ans. Ils ont changé de label. Et ils ont utilisé le temps pour composer. Ils ont gardé 30 morceaux. Le label était un peu réticent après tout a suivi.

00:24:55
Ils sont allés mixer l'album aux USA pour le son. Les ingénieurs ont une autre façon de travailler, ils connaissent le rap aussi.

Une fois l'album terminé, dans les mains, il s'est dit que c'était finie t que la deuxième phase commence. C'est la moitié du chemin. Mais ça fait plaisir!

00:26:20
3 vœux: pouvoir continuer à faire ce qu'il fait pendant très longtemps dans le milieu de la musique et à Marseille. Qu'on comble notre manque de spiritualité en Occident et que cela rééquilibre des choses.

Savary, Thierry

Interview de Robert Plant - PAD

Interview du chanteur britannique Robert Plant par Thierry Savary

Enregistrée à l'occasion de son passage au Montreux Jazz festival en juillet 1993, et de la sortie de son album "Fate of Nations" en 1993.

Il s'agit d'un document prêt à diffuser. L'interview a déjà été diffusée le 07 septembre 1993 (S081-05) dans une version plus brute. Se référer à cette interview pour plus de détails.

Savary, Thierry

Interview de Jacques Séguéla

Interview du publicitaire Jacques Séguéla par Pierre-Michel Meier.

Enregistrée à l'occasion de la publication de son livre "C'est gai, la pub !", en 1991.

Pierre-Michel Meier lui parle d'une définition de la pub que Jacques Séguéla a donnée, une petite histoire. Jacques Séguéla la raconte.
Il parle de sa vision de la publicité.

Pierre-Michel Meier lui parle des voix de ses parents.
Jacques Séguéla parle de ses parents. Il a eu une éducation assez dure de son père. Sa mère était très douce
Il parle du décès de sa mère.

Il parle du fait qu'il vient de recevoir la Légion d'Honneur, très émouvant.

00:05:00
Il parle de sa relation avec son père dans son travail. Il explique que son père est très critique.
Il parle de sa relation avec son père, et avec son fils.

00:06:50
Pierre-Michel Meier lui parle d'écrire des lettres d'amour.
Jacques Séguéla pense que c'est ce qu'il y a de plus facile à écrire. Il pense que la publicité c'est une sorte de lettre d'amour.
Il est très touché par les mots.
Il parle du fait que l'on vit dans un monde d'images. L'écriture est fondamentale.
Il explique qu'il a 150 succursales dans le monde.
Il parle de l'écriture. Il ne peut pas écrire à l'ordinateur. Il a l'impression que l'écran tue l'écriture.

00:11:00
Jacques Séguéla explique qu'il a raté beaucoup de pubs. Mais il a toujours mis le meilleur de lui-même. Il explique qu'il écrit ses livres 5 ou 6 fois.

Pierre-Michel Meier lui parle de son livre. Il lui parle d'un passage concernant les radios.
Jacques Séguéla parle d'une guerre médiatique entre Europe 1 et RTL. Lui est responsable de la campagne d'Europe 1. Il aimerait calmer le jeu.

Il parle de son livre. C'est un livre qui essaie de retracer l'histoire de la publicité. Il pense que l'avenir se lit dans le passé. Il voulait essayer de savoir ce qui allait se passer dans les années 90 dans la publicité.
Il explique qu'il a fragmenté le livre pour que l'on puisse le lire en plusieurs fois.
Il pense que la pub est le garant et le ferment de la démocratie.

00:16:30
Pierre-Michel Meier lui demande s'il est un "provocacteur".
Jacques Séguéla pense que la publicité est la provocation. Il se réfère à Gainsbourg, qui est un grand provocateur et donc un grand publicitaire. Il parle aussi de Coluche.

Jacques Séguéla parle d'une expérience avec une radio électronique, qui a été un échec. Il pense que l'échec est dû au fait que l'homme déteste la mécanique. Ce qui fait la radio c'est l'humain, la spontanéité.

00:19:45
Pierre-Michel Meier lui parle des femmes.
Jacques Séguéla pense que les années 90 seront les années des femmes. Il pense que les femmes vont prendre le pouvoir.
Il parle de la séduction.
Il parle des femmes et de leurs rôles, et des différences hommes et femmes.
Il parle du sexe.

00:25:45
Pierre-Michel Meier parle de cinéma et de femmes.
Jacques Séguéla explique qu'il est happé par les images. Il ne peut pas détourner les yeux d'un écran.

Il parle du premier film qui l'a marqué, "Elle et lui".

00:28:00
Pierre-Michel Meier lui parle de religion, de Dieu.
Jacques Séguéla parle de ses croyances.
Il parle de l'actualité mondiale, des guerres. Il espère que le futur sera meilleur, et que les gens arrivent à se rapprocher.
Il parle des progrès durant le vingtième siècle. Il parle du fait qu'il y a plus de 30 guerres dans le monde.

Jacques Séguéla explique qu'il a eu une éducation religieuse, il a été à l'école chez les jésuites.

00:31:30
Pierre-Michel Meier lui parle des rencontres avec les gens dans la rue.
Jacques Séguéla explique qu'il est très conte4nts que les gens le reconnaissent dans la rue et l'abordent. Il pense que dès que l'on décide de devenir un personnage public, il faut accepter d'aller vers les autres, de donner et de communiquer.
Il parle des jeunes. Il pense qu'il faut le transmettre ses passions.

Pierre-Michel Meier lui parle de ses formules, de garder son calme face aux critiques.
Jacques Séguéla explique qu'il ne se prend jamais au sérieux. Il explique qu'il apprécie quand les gens lui donnent des critiques. Il explique que le public est le maître.

00:35:45
Pierre-Michel Meier lui demande d'où lui vient l'inspiration.
Jacques Séguéla explique que la publicité est très instinctive. Cela doit venir très rapidement.

Pierre-Michel Meier lui parle de sa femme, à qui il a dédié le livre.
Jacques Séguéla parle de ses différents mariages, de la vie avec sa femme et de ses enfants. Il explique que ses enfants jugent ses publicités.

Meier, Pierre-Michel

Interview de Cruzeiro do Sul

Interview du groupe de musique brésilienne basé à Genève Cruzeiro do Sul.

Enregistrée en 1994, à l'occasion de la sortie d'un album. L'interview ne contient que les réponses, entrecoupées de passages musicaux.

Il explique que le groupe a été fondé en 1981 à Genève, et a changé de nom en 1985, lors de la sortie du premier disque. Au début, ils n'étaient que des percussionnistes, et peu nombreux. Puis ils ont intégré des guitares et commencé à faire des reprises de musique brésiliennes. Puis ils ont commencé à faire leur propre musique, et la structure du groupe a changée.

00:01:10 - 00:03:40 : [Musique]

Il explique qu'il y a 3 cuivres, 1 basse, 1 batterie, 2 à 3 percussions, 1 guitare et 1 chanteuse. Actuellement ils sont 11 sur scène.
Il n'y a pas que des Brésiliens. Il y a aussi un Argentin, un Vénézuélien, des Français, des Suisses, mais quand même majoritairement des Brésiliens.
Tous les musiciens qui ne sont pas brésiliens, ont tous eu un contact avec la musique sud-américaine, ou un lien avec le Brésil et ils amènent d'autres influences musicales.

00:05:40 - 00:08:50 : [Musique]

Les compositions sont très différentes, car il a eu la chance de vivre partout au Brésil. Les influences sont très variées, des différentes régions du Brésil. Le fait d'avoir des musiciens d'autres influences permet d'avoir un apport d'autres musiques.

Il parle de gens très connus au Brésil pour parler de leurs influences, au niveau des textes, et de la musique populaire, de la musique de rue.

00:12:00 - 00:13:30 : [Musique]

Il parle du succès, de la recherche du succès. Ils ont une tournée prévue au Brésil, c'est la première fois qu'ils vont aller jouer là-bas. Il pense que ce sera plus facile pour eux au Brésil.
Ils ont du succès auprès du public en France, notamment en Corse, et en Suisse allemande.

Ils sont passés au Montreux Jazz, c'est exceptionnel d'être programmé à Montreux. Ils n'ont pas rejoué depuis un an sur scène, ils viennent de sortir un disque.
Ils sont trois à composer pour l'instant.

Il parle des influences musicales du groupe, des musiques qu'ils aiment.

00:19:00
Il parle du Live à Montreux. Leur dernier disque permet de trouver des choses nouvelles par rapport à Montreux, et aussi une musique moins jazz. Dans leur dernier disque, on trouve d'autres influences.

00:20:20 - 00:24:00 : [Musique]

Savary, Thierry

Résultats 76 à 90 sur 3480