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Interview de Père Eugène Birrer- brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S450-03
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Père Eugène Birrer par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Birrer, Eugène

Interview de Markus Brun - brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S450-10
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Markus Brun, chef du département de la coopération internationale chez Action de Carême au sujet du Forum social mondial par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Brun, Markus

Interview de Liliane Maury-Pasquier - brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S451-04
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Liliane Maury-Pasquier, députée au Conseil national, au sujet de sa participation au Forum social mondial par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Maury Pasquier, Liliane

Interview de Peter Baumgartner- brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S450-04
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Peter Baumgartner au sujet d'une école pour les enfants défavorisés avec des difficultés scolaires par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Baumgartner, Peter

Interview de Toss Mukwa - brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S451-03
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Toss Mukwa, consultant et sociologue au sujet du Forum social mondial par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Mukwa, Toss

Interview de Luc Recordon - brute

  • CH BCUF ARCHNUMFR 6855:B:S450/S451/S454:S451-05
  • Pièce
  • 20.01.2007 - 25.01.2007
  • Fait partie de Archives film et son

Interview de Luc Recordon , député du canton de Vaud au Conseil national, au sujet de sa participation au Forum social mondial par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion du Forum social mondial à Nairobi.

Recordon, Luc

Interview de Philippe Camby - brute

Interview de Philippe Candy ,druide par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion de l'ouverture de l'école druidique d'Helvétie.

Camby, Philippe

Interview de Verena El Fehri - brute

Interview de Verena El Fehri , directrice de l'association suisse pour la prévention du tabagisme par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion de la conférence nationale pour la prévention du tabagisme.

El Fehri, Verena

Interview de Danielle Gagnaux-Morel - brute

Interview de Danielle Gagnaux-Morel, nouvelle chancelière d'Etat du canton de Fribourg par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion de la nomination de Danielle Gagnaux-Morel comme nouvelle chancelière d'Etat du canton de Fribourg et première femme élue à ce poste en Suisse.

Gagnaux-Morel, Danielle

Interview de Michel Pittet - brute

Interview de Michel Pittet, conseiller d'Etat du canton de Fribourg par Philippe Huwiler.
Enregistrée à l'occasion de la nomination de Danielle Gagnaux-Morel comme nouvelle chancelière d'Etat du canton de Fribourg et première femme élue à ce poste en Suisse.

Pittet, Michel

Interview de Barrio Chino - brute

Interview brute de Sylvie et Gil Aniorte Paz du groupe français Barrio Chino par Thierry Savary.

Thierry Savary introduit le groupe. Sylvie et Gil sont frère et sœur.

Sylvie explique un peu l'histoire de la famille, qui est très multiculturelle. Ils ont beaucoup d'histoire. Sylvie explique comment le groupe et l'écriture de leur univers musical a commencé.

00:03:00
Gil parle des instruments qu'il joue, tant méditerranéens que de plus loin.

Sylvie et Gil parlent de l'univers musical dans lequel ils ont grandi. Ils ont eu des grands-parents musiciens, chanteurs, engagés. Ils pensent que c'est important de grandir dans cet environnement.

Gil explique qu'il n'aurait pas pu faire autre chose que de la musique.

00.05:00
Thierry Savary leur parle des chansons traditionnelles.
Sylvie pense que c'est quelque chose qui s'est perdus. Elle parle notamment de la période yéyé, qui a détruit la musique traditionnelle. Elle parle de l'Alcazar de Marseille qui a été détruit. Elle déplore le fait qu'il n'y a plus d'endroits pour apprendre les chansons traditionnelles et locales.

Thierry Savary parle de la tradition chorale fribourgeoise.

00:07:45
Thierry Savary leur parle de leur formation musicale.
Gil explique qu'ils ont appris avec leur famille, mais qu'ils ont aussi appris des choses plus classiques, de technique. Il parle de la musique flamenca, qui ne s'enseigne pas dans les conservatoires. Chaque région possède son flamenco, il y a des codes. Ensuite il y a eu un enseignement général, mais c'est encore autre chose. Il faut jouer avec des musiciens pour s'imprégner.

Sylvie explique que tant dans la musique arabe qu'andalouse, c'est à la personne d'apprendre et de s'imprégner. Les gens n’enseignent pas.
[Interview coupée, il manque la fin]

Savary, Thierry

Interview de Michael Jones - brute

Interview brute de Michael Jones par Thierry Savary.

Enregistrée en mai 1997 à l'occasion de son nouvel album "À Consommer sans modération"

00:00:46
Il a déjà sorti un album, mais pour lui, c'est son premier vrai album. C'est lui qui a tout produit puis il a signé avec une maison de disques. Il a décidé d'aller à l'encontre de sa maison de disques. Il raconte son enfance, le Pays de Galles, ses origines celtes, son premier groupe de folklore celte. Il y a des consonances blues dans ce disque. C'est quelqu'un d'optimiste. Cet album est un hymne à la vie.

00:09:50
Il a eu la chance d'être au bon moment au bon endroit pour pouvoir faire ce métier. Son disque est sorti depuis 3 semaines, il n'est pas mécontent. La sortie a pris les médias par surprise. Il aime bien faire la promo dans les radios. Il fait une tournée dans les cafés-concerts actuellement, il trouve ça génial et magique. Il a l'impression que ces lieux vont revivre. Il écoute beaucoup de chansons françaises.

00:15:53
Jean-Jacques Goldman n'a pas participé à l'écriture de l'album, mais il a donné son avis pour le mixage. Ils ont développé un langage commun au fils des années à l'exception du fait que Jean-Jacques est très cérébral et Michael est plutôt un fonceur, mais ça se complète très bien.

00:18:37
Michael Jones tenait à faire cet album en français et il a travaillé avec plusieurs autres jeunes artistes pour cet album. Il a appris la guitare seul et il joue spontanément. En concert, il y a toujours un petit peu d'impro. Il n'est pas le même musicien quand il joue dans un piano-bar ou dans une grande scène. Ça faisait longtemps qu'il voulait chanter en français, il trouve que c'est mieux que les chanteurs français chantent dans leur langue plutôt qu'en anglais, car il faut bien parler la langue pour pouvoir la chanter et pour la plupart, ce n'est pas le cas.

00:27:45
Il veut se focaliser sur la diffusion du disque dans les pays francophones. Actuellement, cette vie lui convient. Même si le succès s'arrête, il pourrait sans problème changer de métier et continuer à faire de la musique avec les copains. Il ne croit pas en l'amour éternel, mais en l'amitié éternelle, oui. Il va continuer à travailler avec Fredericks Goldman Jones avec qui il travaille pour cette tournée de piano-bar. Il a un projet de partir en tournée avec Jean-Jacques Goldman et Carole Fredericks. On le sollicite aussi pour faire des chansons pour d'autres chanteurs. Il n'a pas la même faculté de faire plusieurs choses à la fois comme Jean-Jacques Goldman.

Savary, Thierry

Interview d'Oobik & The Pucks - brute

Interview d'Oobik and The Pucks par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de leur premier album "Oobik & The Pucks"

00:00:28
Le groupe s'est formé récemment, en 1995, c'est ce qui fait sa fraîcheur sur scène. Mais les membres avaient déjà d'autres projets musicaux avant, sauf Estelle. Maintenant, qu'ils ont fait un disque, ils doivent faire leurs preuves. Ils ne savent pas d'où va provenir leur succès, mais ils travaillent sur leurs morceaux et verront bien si le succès est au rendez-vous.

00:03:40
Le groupe est né à la suite de l'initiative de Romain, le compositeur-arrangeur. La musique qu'ils font implique d'assurer sur scène. Ils ont un directeur artistique, mais ce n'est pas un réalisateur artistique qui les dirige artistiquement, ils sont entrés en studio avec leurs titres et le directeur artistique les a découverts et est en charge de les signer. Sur scène, ils jouent comme un groupe de rock et rien n'est chorégraphié.

00:07:40
Pour l'instant, ils n'ont pas les moyens de faire un support visuel durant les concerts, mais ils aimeraient bien. Ils expliquent comment ils travaillent pour la mise en place d'un concert. C'est le premier groupe avec lequel ils ont fait un album. Ils sont très contents du résultat malgré le fait qu'ils ont eu que deux mois entre la signature et la parution de l'album. Ils recherchent le fait de ne pas être "étiquetables" et veulent durer. Il leur tarde de faire un second album, des premières parties et des concerts. Sur les 17 chansons de l'album, il y a beaucoup de choses différentes. Ils avaient envie de bien remplir le CD.

00:12:45
Les choses continuent de s'accélérer pour eux, ils ont beaucoup de concerts de prévus. Il n'y a pas de finalité dans le processus. Leur groupe a un peu surpris dans le milieu de la musique, car il y a des morceaux qui ne sont pas "cataloguables" au niveau pop-rock dans leur album. Ils ont plutôt des bons retours des radios et des gens à l'interne de leur label. Pour l'instant, ils ont peu de retours de la presse, mais ça devrait venir. Ils sont allés en Angleterre pour réenregistrer un morceau de l'album pour faire un premier single. Pour eux, c'est un aboutissement d'un point de vue du travail.

Savary, Thierry

Interview de Bernard Pichon - brute

Interview brute de Bernard Pichon par une journaliste

Enregistrée en mai 1997 à l’occasion de la sortie de son roman "Le Jour de beauté" aux éditions Anne Carrière.

00:00:00
Il explique qu'il n'aime pas réchauffer les choses et faire durer un programme [radio] trop longtemps. La journaliste évoque le fait qu'arrêter "La ligne de cœur" a dût lui laisser une impression de vide, mais il répond qu'il avait déjà "Salut les p'tits loups " juste après. Il a pratiquement toujours eu des projets qui s'enchaînaient jusqu'à maintenant et il ne prend que 2 mois de vacances en été pour se ressourcer et voyager et le reste du temps, il est à l'antenne tous les jours. Ça arrive que les gens l'abordent dans la rue et ça lui fait toujours plaisir. Le monde de la télévision a changé depuis qu'il a commencé. C'est devenu beaucoup plus industriel et les gens ne viennent plus que pour vendre leur disque. La télévision est devenue un support de vente, mais il pense qu'il y a eu beaucoup de progrès au niveau artistique et visuel et en terme de rythme.

00:04:35
Il regarde encore parfois certaines de ses anciennes émissions qu'il a gardées sur cassette, mais c'est très rare et il pense que peut-être ses enfants ou ses petits-enfants seront, un jour, intéressés de voir ce qu'il faisait. Ses enfants ont plaisir à revoir des interviews qu'il avait fait avec des artistes disparus et de voir aussi les looks qu'il arborait à l'époque. Un de ses fils travaille dans la publicité, le second est juriste international et sa fille se forme pour travailler dans la police judiciaire, mais elle fait aussi du théâtre amateur.

00:06:10
Dans l'avenir, il va continuer "Salut les p'tits loups " pendant 2 ans et "Vérité Vérité", mais celle-ci sera sûrement bientôt remplacée. Pour ce qui est de l'écriture, il va faire un livre journalistique pour se reposer du roman et un second romand si celui qu'il a écrit rencontre un public.

Pichon, Bernard

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