Equipe Studio Bundeshaus: Gerhard Annen, Alex Bohren, Martin Dürig, Claudine Gabbud, Andreas Gasser, Heinz Gasser, Robert Girard, Silvia Moser, Markus Otter, Eric Schneider ; Red. Ueli Heiniger
Henri Rossier (image) ; Denis Vautravers (éclairage) ; Beat Lambert (son) ; Christian Barthe (monteur) ; Ariane de Montmollin (illustration musicale)
Note: Jean Tinguely parle librement de sa vie, de ses oeuvres et de ses motivations. Il est filmé dans sa maison, dans son atelier, à la Galerie Beyeler (Bâle) et au Palazzo Grassi (Venise).
En marge du Festival des sexualités 2014, interrogation autour du mouvement "Sexe positif", appelé aussi féminisme pro-sexe, avec la philosophe Cynthia Kraus, ainsi que Viviane et Stéphane Morey, organisateurs de la Fête du Slip - Festival des sexualités, à Lausanne. Suivi d'un reportage à l'Espace Jean Tinguely-Nicky de St-Phalle à Fribourg à l'occasion de l'exposition Corps en jeu présentant des oeuvres de la collection du Musée d'art et d'histoire de Fribourg réalisées par Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et des créatrices et créateurs apparentés. Avec Caroline Schuster-Cordone, conservatrice au MAHF. Source: RTS, Espace Jean Tinguely-Nicky de St-Phalle
[Lille] : Zorn Production International [prod.], 2010
Son en français uniquement
Diffusé sur Arte le 23 août 2010, le 30 mai 2012, et le 16 mars 2016
English version, version française, Deutsche Version
Image: François de la Patellière, Marc Riddley, Louise Faure ; son: Anne Julien ; montage: Claudine Dupont
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely se rencontrent à Paris en 1955, dans l'effervescence artistique de l'après-guerre. Ils ont 25 et 30 ans, sont tous deux mariés, deviennent amis. Ils mettront cinq ans à tomber amoureux et à décider de vivre et de créer ensemble, à l'aventure. Durant quarante ans, au fil de ses voyages, ce couple nomade n'a pas fait d'enfants, mais des sculptures, monumentales de préférence, partout dans le monde. Des totems, disait Niki de Saint-Phalle, "pour rendre les gens heureux". Et de fait, de l'Europe au Japon, leurs oeuvres ont su convertir un public immense, enchantant petits et grands avec de sacrées machines (pour lui) et des créatures multicolores (pour elle). Avec de magnifiques archives et le témoignage de leurs proches, Louise Faure et Anne Julien retracent leur vie et leur épopée artistique, qui restèrent toujours étroitement confondues. (ARTE)