• Lausanne : Association Films plans-fixes, 2013
• André Ducret : image et montage Gilles Vuissoz ; son Gilles Abravanel. André Margot : image Willy Rohrbach ; son: Nag Ansorge

Interview des chanteurs romands Pascal Rinaldi, Thierry Romanens et Michel Bühler, par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de leur passage avec le projet "La Fête à Bühler" au Paléo festival en juillet 1995.

Pascal Rinaldi explique la naissance du concept de la Fête à Bühler, née de l’impulsion de Christian Jacot-Descombes de Baraka, Denis Albert de l'Echandole et Dominique Rime pour « Nouvelle scène ». Ils ont décidé e faire une fête à quelqu’un de représentatif de notre pays. Ils ont choisi Michel Bühler. Ils ont alors fait appel à des artistes musiciens en Suisse romande qui pratiquent le métier de manière professionnelle. Les arrangements ont été faits par Christophe Tiberghien, Jean-Luc Lavanchy et Pierre-André Dougoud à la contrebasse et François Margot pour les arrangements, plutôt des musiciens de jazz. Les artistes ont choisi leurs chansons, les musiciens ont créé les arrangements

Thierry Savary demande si tout était organisé en avance
Thierry Romanens explique que vu le succès du spectacle, un disque a été enregistré grâce à la radio romande en live. Il explique que pour lui c'est un joyau car on sent le live et on peut redécouvrir les textes de Michel Bühler.

Pascal Rinaldi explique que même les gens qui ne connaissent pas Michel Bühler s'accordent sur le côté très actuel des chansons de Bühler. Il explique que c'est la première fois qu'il interprète des chosons d'autres.

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Romanens parle du fait de redécouvrir un artiste qui n'est pas encore décédé. Il trouve que les textes sont actuels au possible. Il parle d’une découverte d'une réelle identité de la chanson romande.

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Rinaldi explique qu'il a appris à jouer de la guitare avec Maxime Le Forestier et Michel Bühler. Il chantait déjà "Sala" à l'âge de 16 ans, il a choisi de l'interpréter pour le spectacle.

Ils expliquent qu'ils vont aller faire le spectacle à Paris, ils ne s'y attendaient pas. Ils veulent le faire découvrir le plus possible. Il insiste encore sur l’identité romande, la chanson romande, à laquelle il est content d'appartenir.

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Thierry Savary : et Bühler?
Ils expliquent qu'il n'est pas intervenu dans le projet. Il est venu à la première, il s‘est dit "déçu en bien" par le projet. Ils insistent sur le fait que Bühler continue de chanter et de faire des concerts. Ils en parlent comme d'un grand frère. Il a 50 ans et c'est un beau cadeau qui s'est fait. Il parle encore du sentiment d'appartenir à une culture commune.

Interview de Michel Bühler
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Michel Bühler dit que c'est sympa de leur part. Il a été surpris, "déçu en bien" de l’interprétation de ses chansons, qui ont pris un coup de jeune.
Cela montre que les chansons appartiennent à tout le monde, une fois faites, elles ne nous appartiennent plus.

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Il explique qu'il n'est jamais intervenu dans le spectacle. Il a simplement accepté qu'ils reprennent ses chansons.
Il avoue qu'il aimerait y participer au spectacle. Cela lui donne envie de refaire des chansons.

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Il explique que cela lui fait plaisir que des jeunes reprennent des chansons qui ont 20 ans, il est content de voir qu'elles tiennent encore la route.

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La chanson romande?
Il ne sait pas si cela existe. Il parle de chanteurs romands qui ont une complicité. Il trouve que c'est bien qu'0il y ait une synergie.

• [Genève] : RTS [prod.], 2016
• Diffusé sur RTS Un le 7 octobre 2016
• Les mots de Michel Bühler rythment le premier reportage de cette émission, ceux qui racontent Sainte-Croix, la terre de son enfance. Dans le deuxième reportage, ce sont des objets oubliés réunis au coeur du Musée Chappuis-Fähndrich de Develier qui nous chuchotent des histoires d'un autre temps. Pas question pour autant de tomber dans la nostalgie! Pour nous y aider, c'est Marc Aymon, accompagné de sa guitare, qui rejoint Virginie Brawand en Gruyère, au chalet du Ski-club de Bulle. Source: RTS

• Senèdes : Artlab, 2010
• Concert du 100e anniversaire de la Cécilienne de Châtel-St-Denis
• 1er tableau, l'Annonciation: Le cygne / C. Saint-Saëns ; Ave Maria / D. Nanchen ; Annonciation / A. Hess ; Rêverie / D. Nanchen ; Ave Maria / J.-S. Bach, C. Gounod ;
• 2e tableau, la Visitation: Menuet / J.-M. Damase ; Marie se hâte / abbaye de Tamié ; Visitation / A. Hess ; Magnificat / T. de Victoria
• 3e tableau, la Nativité: Noël "pour l'amour de Marie" / N. Le Bègue ; Berceuse de Noël / J. Bovet ; Nativité / A. Hess ; Impromptu op. 86 / G. Fauré ; Bogoroditse Devo / S. Rachmaninov ; Offrande / D. Nanchen
• 4e tableau, la Descente de la Croix: Tambourin ; Douleur / M. Dorthe ; La Descente de Croix / A. Hess ; Gerusalemme / B. De Marzi ; Stabat Mater (vidit suum dulcem natum) / G.B. Pergolesi
• 5e tableau, l'Assomption: Interlude sur Assumpta est Maria / D. Nanchen ; Assumpta est Maria / J. Bovet ; Assomption / A. Hess ; Nocturne / M. Tournier ; Salve Regina / F. Schubert
• 6e tableau, le Couronnement: Canon en sol M. / G.P. Telemann ; Jubilate Deo / W.A. Mozart ; Couronnement / A. Hess ; Tu es toute belle / D. Nanchen ; Nocturne, op. 12 / F. Bellini ; Vespro / C. Monteverdi
• Marcel Dorthe (dir., composition, peinture) ; Dominique Nanchen (orgue, dir., composition) ; Amalita Hess (poèmes, récitante) ; Jocelyne Vonlanthen (soprano) ; Katherina Gancheva (violoncelle) ; Michel Bühler (harpe) ; David Chammartin (trompette) ; Mathias Jaquier (trompette) ; Stéphane Simonet (scénographie) ; Cécilienne de Châtel-Saint-Denis