Perrier, Max

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Perrier, Max

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Historique

Biographie de Max Perrier par Oriane Mangamba du 28 janvier 2007 : Max Perrier est né le 27 novembre 1919 à Sissach (BL) dans une famille de commerçants au sein de laquelle il reçoit dès son enfance une éducation bilingue français-allemand. Il est le fils unique de Gustave Perrier, originaire de Ste-Croix (VD), et d'Emma Blattner, native de Küttigen (AG). Il effectue ses études primaires à Sissach de 1926 à 1932. Puis, il fréquente à Bâle le Humanistisches Gymnasium de 1932 à 1939. Une fois sa maturité obtenue, Max entreprend des études de théologie à l'Université de Bâle dans le but de devenir pasteur. Il nourrit profondément cette disposition depuis les premières années de sa scolarité et tout au long de son cycle secondaire. Quelques expériences familiales marquantes vont le conforter dans sa vocation. Max traverse ensuite des moments difficiles. Ayant contracté un eczéma presque incurable dans sa jeunesse, il suit un traitement médical pour les nerfs qui l'handicap fortement. Ces souffrances physiques l'empêcheront de poursuivre son école de recrues. Suite à une longue hospitalisation à Aarau en 1939, il est réformé. De 1944 à 1945, il effectue toutefois son service militaire complémentaire comme assistant social dans un camp d'internés. Après avoir réussi son examen propédeutique, Max décide de changer d'université. Ayant comme projet initial d'effectuer un ou deux semestres à Paris, il devra y renoncer à cause de la Deuxième Guerre mondiale. Il passe alors le semestre d'hiver 1941/42 à l'Université de Zurich, puis le semestre d'été 1942 à l'Université de Lausanne. En automne 1942, il revient à Bâle et au printemps de l'année suivante, il passe l'examen d'État " Le Concordat " à Zurich. De 1943 à 1944, Max effectue un stage pratique à Frenkendorf (BL). Au mois de mai 1944, il passe l'examen pro ministerio à Zurich. À la Pentecôte de la même année, il est consacré pasteur à l'église de Sissach. S'ensuivent de nombreuses postulations infructueuses. Toutefois, quelques-unes finissent par aboutir et l'emmènent d'abord à Liestal et à Petit-Huningue (BS), où il occupe la fonction de vicaire. De 1945 à 1947, il travaille comme pasteur auxiliaire à Allschwil (BL).Le 28 mars 1946, Max se marie avec Rita De Bruin, originaire de Thoune, décoratrice-étalagiste de formation, puis artiste peintre et céramiste. Ils adopteront deux enfants. En 1947, Max est engagé à Strasbourg comme pasteur bilingue de la paroisse Ste-Aurélie de l'Église luthérienne de la Confession d'Augsbourg. Il y enseigne également la religion à des élèves du cycle secondaire. Par ailleurs, il se consacre à de nombreuses activités annexes en faveur de la jeunesse protestante de Strasbourg (conseil protestant de la jeunesse au niveau régional et national, colonies de vacances, animation du cinéclub, club photos, coordination des études bibliques). Il est aussi responsable des relations extérieures avec les autorités, les autres mouvements, les autres églises et les échanges internationaux. En 1956, Max et son épouse Rita quittent l'Alsace pour Romont, où il a été nommé pasteur titulaire. La période de son ministère à Romont (1956-1985) est tout aussi riche en activités annexes. En fonction de la demande et des attentes, le couple Perrier met sur pied plusieurs initiatives au sein de la paroisse de Romont/Châtel-St-Denis. Ils créent une petite école et un dispensaire, organisent des colonies de vacances, des camps de ski, des cours de latin et de français, mettent sur pied un cinéclub, un club photo, des soirées bibliques et des rencontres œcuméniques (conférences, débats), etc. Max se consacre également au travail de (co)rédaction du Rapport annuel de Paroisse de Romont et de Châtel-St-Denis, puis du Messager Paroissial de Bulle-Romont et parallèlement du journal Der Protestant. Il est membre du Conseil synodal ainsi que de la Commission suisse de dialogue entre catholiques romains et protestants. Il se dévoue particulièrement à la question de l'œcuménisme. Max Perrier prend sa retraite en avril 1985. Deux ans plus tard, il perd son épouse. Il meurt à Billens/Hennens (près de Romont) le 20 juin 2005

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Statut légal

Fonctions et activités

Textes de référence

Organisation interne/Généalogie

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Mots-clés - Lieux

Occupations

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