file ARCHNUMFR 1866 - Contrastes

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Cote

CH BCUF Dépôt légal audio:ARCHNUMFR 1866

Titre

Contrastes

Date(s)

  • [1996] (Production)

Niveau de description

file

Étendue matérielle et support

1 disque compact stéréo (DDD) 12 cm

Zone du contexte

Nom du producteur

Notice biographique

Nom du producteur

Notice biographique

Nom du producteur

(1941-)

Notice biographique

Nom du producteur

(1914-1993)

Notice biographique

Nom du producteur

(1934-2021)

Notice biographique

Nom du producteur

(1912-2003)

Notice biographique

Oscar Moret fréquenta l'École normale d'Hauterive et commença sa carrière d'instituteur au Pâquier en 1932. Parallèlement, il suivit des cours de direction, de composition et de clarinette au Conservatoire de Lausanne. Jeune diplômé, il enseigna la musique, d'abord à Broc jusqu'en 1953, puis au Conservatoire de Fribourg jusqu'en 1985. Oscar Moret déploya une intense activité de direction chorale, mais surtout instrumentale. Il fonda et dirigea l'Albergine du Pâquier, puis dirigea la Lyre de Broc et enfin, pendant près de 20 ans, la prestigieuse Musique de Landwehr de Fribourg. L'âge de la retraite d'instituteur venant, Oscar Moret s'intéressa au patois gruérien, et développa son activité de composition vocale qu'il voua naturellement aux voix du pays de Gruyère. C'est ainsi qu'avant d'écrire la musique d'un opéra en patois (Le Chèkrè dou Tsandélê), il explora les richesses de la langue paysanne en composant des choeurs d'hommes et, spécialement, une série de Lieder baptisés Tsancholè. Il choisit des textes originaux dans l'œuvre de poètes du cru, ou les écrivit lui-même. Il partagea alors son existence entre sa résidence estivale d'Estavannens et ses quartiers d'hiver à Bulle. Oscar Moret est décédé le 18 avril 2003, jour de Vendredi-Saint. Biographie reprise du site http://www.oscarmoret.ch/bio.html. [consulté le 21.10.2015]

Nom du producteur

Notice biographique

Nom du producteur

(1886-1955)

Notice biographique

Nom du producteur

(1903-1978)

Notice biographique

Nom du producteur

(1915-1999)

Notice biographique

" Bernard Chenaux est né le 8 février 1915 à Villarsiviriaux (Glâne - Suisse). Il entre à l'École normale de Fribourg, où il suit les leçons de l'abbé Joseph Bovet et de Leo Kathriner. Au Conservatoire de Fribourg, il se forme auprès de Francis Lombriser (piano) et de Mme Stierlin-Vallon (chant). A cette période, Bernard Chenaux consigne dans des carnets sa vie d'artiste. " Une belle vie de Bohême ", cite Bernard Sansonnens, critique musical. Le rayonnement de Bernard Chenaux s'installe dans le canton de Fribourg, où il vit. A Estavayer-le-Lac où il cumule quasiment toutes les fonctions musicales, le musicien a tôt fait de mener en ville une activité sans pareille, composant une de ses grandes pages, Le Mystère de Saint Laurent. Comme professeur de piano et d'orgue à l'École normale de Fribourg, il se taille une réputation de professeur exigeant mais extrêmement chaleureux. Comme directeur du décanat d'Estavayer-le-Lac, il confère un lustre exceptionnel aux Céciliennes. Puis, chef de la Concordia de Fribourg dès 1958, il se révèle un très grand directeur qui a à cœur de faire progresser l'ensemble. En 1969, il décroche avec cette harmonie le titre de championne suisse des fanfares. On range parfois un peu vite Bernard Chenaux dans la catégorie des romantiques, sans trop s'interroger sur l'étiquette. Certes, il aimait le romantisme : Beethoven, Chopin, Liszt, Mendelssohn (il monta deux de ses oratorios avec le Chœur de la Glâne), mais Bernard Chenaux était ouvert à la musique de son temps. Il admirait Fauré, Debussy, Honegger, Roussel. Quelques-unes de ses œuvres, comme Les Fontaines de Fribourg pour harmonie, sont des partitions d'envergure inspirées du modernisme de ces grands de la musique. Bernard Sansonnens/Daniel Fattore ". Source : http://www.fattore.com/BernardChenaux.htm [consulté le 27.07.2013]

Nom du producteur

Notice biographique

Nom du producteur

(1898-1988)

Notice biographique

Nom du producteur

(1836-1914)

Notice biographique

Nom du producteur

(1907-1994)

Notice biographique

Nom du producteur

(1888-1954)

Notice biographique

Nom du producteur

Nom du producteur

(1879-1951)

Notice biographique

Fils de Pierre Bovet et de Marie Josephine Andrey, Joseph Bovet est né à Sâles, en Gruyère, le 8 octobre 1879. Troisième enfant d’une famille de dix, il entreprend le parcours scolaire caractéristique des jeunes qui se destinent à la prêtrise. Ecole primaire dans son village natal, Collège Saint-Charles à Romont, Collège Saint-Michel à Fribourg (1896-1900), passage par Einsiedeln (1900-1901) avant un séjour d’étude au couvent bénédictin de Seckau en Autriche (1903). Ses études au Séminaire de Fribourg achevées, il est ordonné prêtre le 23 juillet 1905.

Durant cette première période, Joseph Bovet s’initie de différentes manières à la musique. Avec son père, instituteur, il collecte des partitions et des chansons anciennes, qui sont rassemblées dans les volumes de La Gruyère illustrée. Ce travail d’ «ethnomusicologue» lui permet de nourrir ses connaissances au sujet de la musique populaire régionale. Au Collège Saint-Michel, il dirige la fanfare pour laquelle il compose quelques marches. A Einsiedeln, il étudie l’orgue avec le père Staub et le chant grégorien avec le père Breitenbach, alors qu’à Seckau il parfait sa formation musicale.
De 1905 à 1908, il accomplit son ministère dans la paroisse Notre-Dame à Genève, un milieu urbain qui ne lui convient pas spécialement. Mais Joseph Bovet se fait remarquer par sa hiérarchie comme un entraîneur et un entrepreneur. Ainsi dirige-t-il en avril 1907 une de ses compositions, Plaintes du comte de Gruyères en exil.
Mais en 1908, l’évêque et le Gouvernement rappellent ce jeune prêtre plein de promesses. En quelques années, ils lui confient des responsabilités importantes pour la formation musicale du canton. Dès ce moment - et jusqu’en 1949 - il forme musicalement les instituteurs fribourgeois en sa qualité de professeur à l’Ecole normale d’Hauterive. A cette responsabilité s’ajoute, dès 1910, la charge de professeur de chant sacré au Séminaire diocésain. Ainsi, durant quatre décennies, l’abbé Bovet tient en ses mains la formation des deux courroies de transmission que sont les instituteurs et les prêtres. Grâce à ce travail pédagogique, il parvient à réorienter de manière fondamentale l’activité musicale fribourgeoise. Des ouvrages comme Le Kikeriki (1933) et L’Ecolier chanteur (1936) rencontrent un vif succès dans les établissements scolaires de Suisse romande.
Rapidement, le prêtre devient le moteur de toute la vie musicale de son canton. Nommé maître de chapelle à la cathédrale Saint-Nicolas - en 1923 - il assied son influence sur la musique liturgique. Dès 1916 en effet, à la demande de son évêque, il avait pris les rênes du mouvement des Céciliennes, ces chœurs d’église qui animent musicalement la liturgie. Durant près de trente ans, l’abbé Bovet est de toutes les fêtes, de tous les concours, de tous les cours de formation. Il est l’âme du mouvement, dont il va tripler les effectifs pour les hisser à 4000 membres en 1946.
Mais Joseph Bovet développe également une autre facette de son talent, celui de chef d’orchestre et de chœur. La Landwehr, l’Orchestre de la ville, la Société de chant de la ville de Fribourg, le Groupe choral qu’il fonde en 1918, le Chœur-Mixte de Saint-Nicolas, la Maîtrise de Saint-Nicolas plus connue sous le nom des Pinsons de l’abbé Bovet : impressionnante est la liste des ensembles dirigés par l’abbé. A leur tête, ils interprètent ses propres partitions mais s’aventurent aussi vers le grand répertoire. Paulus et le Lauda Sion de Mendelssohn, la Création et les Saisons de Haydn, le Désert de David, les Requiem de Mozart et de Cherubini, la Passion selon Saint-Marc de Perosi, de nombreuses cantates de Bach mais aussi des œuvres plus contemporaines comme le Roi David de Honegger et le Psaume LXXX de Roussel.
A travers ces multiples activités, celui qui est chanoine du Chapitre de Saint-Nicolas depuis 1930 influence le goût musical collectif. Durant la Deuxième guerre mondiale, il participe à la Défense nationale spirituelle en sillonnant la Suisse entière, accompagné de ses ensembles, donnant causeries et auditions à la troupe et aux civils, dont il remonte le moral.
Le nom de Joseph Bovet est resté attaché à ces structures musicales, dont certaines lui ont survécu. Mais son rayonnement, l’abbé le doit aussi à ses compositions. Ce sont pas moins de 3000 œuvres qui composent actuellement son catalogue. Réparties assez équitablement entre profane et sacré, ces compositions, d’inégales dimensions et valeurs, ont été notamment diffusées dans de nombreux chansonniers édités dans toute la Suisse romande. Durant la première moitié du XXe siècle, rares sont les recueils de chant qui ne contiennent des compositions de Bovet.
Emblème de cette production, le Vieux chalet (1911) a rencontré dès sa publication un immense succès, traduit dans de très nombreuses langues. Si les œuvres de l’abbé Bovet ont touché le peuple, c’est notamment en raison de la simplicité de leur forme, de leur qualité mélodique, du caractère rassurant qui en émane. Perçu comme un des maîtres de la chanson populaire, Bovet a su offrir à ses contemporains une sorte de « patrie musicale », au moment où la société rurale subissait les assauts de la modernité. Ses festivals, et notamment Mon Pays (1934) monté à l’occasion du Tir fédéral, furent de grandioses mises en scène d’un pays à la recherche de son identité.
Présenté à la fin de sa vie comme le « barde du pays », le charismatique prêtre a joui d’une immense popularité, au point d’avoir des obsèques quasi nationales, à son décès le 10 février 1951. Par deux fois, les Fribourgeois lui ont élevé une statue : à Fribourg en 1955 et à Bulle en 1957. Une chose unique dans les annales du canton. Sa mémoire a fait l’objet d’un véritable culte, notamment parmi les Fribourgeois de l’extérieur, une association issue de l’exode rural qui a fixé la figure du musicien sur son drapeau.
En 2001, à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort, les nombreuses manifestations et concerts ont témoigné de la pérennité du souvenir d’un musicien qui tient, pour Fribourg, d’un véritable lieu de mémoire.
Patrice Borcard

Nom du producteur

(1922-2003)

Notice biographique

Histoire archivistique

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

  • Cointrin : Cascavelle, [1996]
  • Enregistrement au printemps 1996 à l'église de Mézières (Fribourg)
  • Ecoute Gruyère / H. Gremaud, M. Corboz. Le kà de ma mîya / O. Moret. Beau chevalier / A. de Musset, L. Broquet. C'est en forgeant / M. Budry, J. Daetwyler. La chanson des étoiles / H. Plumhof. La prière du loup / F. Raemy, M. Corboz. Chant lunaire / E. Bosson, J. Daetwyler. Vienne le temps d'aimer / D. Rimaud ; harm. P. Kaelin. Contrastes / G. Bezençon. La sorcière / R. Vuataz. Les baleines / P. Fort, F. Racine. Si vous saviez / S. Prudhomme, A. Sala. Que tu es beau mon village / M.N. Fornage, L. Jordan. Chant d'amour / E. Voirol, L. Janacèk. Choeur des chasseurs / C.M. von Weber. La prière du gueux / W. Thomi, Z. Kodaly. Le lyodzatåre / O. Moret. Rêver / anonyme, J. Bovet. Chanson du vent clair / P. Bondallaz, J. Bovet. Tsan di j'armayi / F.X. Brodard, B. Chenaux
  • Interpr.: Choeur des armaillis de la Gruyère ; dir. Michel Corpataux

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

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  • français

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1866

MMS ID IZ8

991007882689705509

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