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Savary, Thierry
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Emission spéciales : Calendrier de l'Avent Géant - Gabby Marchand

Petite discussion entre Thierry Savary et Gabby Marchand et diffusion d'une chanson de Gabby Marchand dans le cadre de l'opération "Calendrier de l'Avent géant" pour les enfants défavorisés du canton de Fribourg.

Gabby Marchand présente la chanson diffusée le 29.12, "J'ai mis mon manteau d'hiver".

00:01:40 - 00:02:55 : [Chanson]

Gabby Marchand donne ses voeux pour la nouvelle année.

00:04:50 - 00:07:20 : [Chanson]

Gabby Marchand parle de la chanson du 30.12. Il donne encore ses voeux, et parle de la chanson qui sera diffusée le 31.12.

00:09:00 - 00:10:10 : [Chanson]

Savary, Thierry

Expo 02 (Part 1)

Journée en direct d'Expo.02 à Morat, à l'occasion de la journée cantonale fribourgeoise, présentée par Thierry Savary et Kurt Ehrler.

Emission bilingue en direct sur Radio Fribourg et Radio Freiburg entre 9h30 et 10h45, entrecoupée de musique. Présentation de la partie officielle et interview d'Anton von Däniken, Département des affaires culturelles.
Retransmission de la partie officielle, commentée.

Savary, Thierry

Expo 02 (Part 2)

Journée en direct d'Expo.02 à Morat, à l'occasion de la journée cantonale fribourgeoise, présentée par Thierry Savary et Kurt Ehrler.

Emission bilingue en direct sur Radio Fribourg et Radio Freiburg entre 10h45 et 12h00, entrecoupée de musique.
Retransmission commentée de la partie officielle : musique brésilienne, discours, etc.

Savary, Thierry

Expo 02 (Part 3)

Journée en direct d'Expo.02 à Morat, à l'occasion de la journée cantonale fribourgeoise, présentée par Thierry Savary et Kurt Ehrler.

Emission bilingue en direct sur Radio Fribourg et Radio Freiburg entre 10h45 et 12h00, entrecoupée de musique.
Retransmission commentée de la partie officielle : musique brésilienne, discours, etc.
Discours de Joseph Deiss, conseiller fédéral.

Journal des sports.
Reportage sur l'arteplage de Bienne, par Christine Carrard.
Flash info de la mi-journée.

Savary, Thierry

Exposition Benedikt Rast à la BCU : entretien / par Thierry Savary

  • [Fribourg] : Radio Fribourg, 2004
  • Diffusé le 13 janvier 2004
  • Invité: Alex-Erik Pfingsttag (responsable du Patrimoine audiovisuel auprès du Médiacentre fribourgeois)
  • A l'occasion de l'exposition Benedikt Rast du 28 novembre 2003 au 7 février 2004 à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg

Pfingsttag, Alex Erik

Exposition "Brésil, pages de beauté" : entretien / par Thierry Savary

  • [Fribourg] : Radio Fribourg, 2000
  • Diffusé le 30 octobre 2000
  • Invités: Martin Nicoulin (directeur de la Bibliothèque cantonale et universitaire) ; Alain Bosson (responsable des imprimés fribourgeois auprès de la BCU et commissaire de l'exposition)
  • A l'occasion de l'exposition du 24 octobre au 25 novembre 2000 à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg et présentation de l'ouvrage accompagnant cette exposition

Nicoulin, Martin

Exposition Willy Ronis : entretien / par Thierry Savary

  • [Fribourg] : Radio Fribourg, 2003
  • Diffusé le 11 février 2003
  • Invité: Emmanuel Schmutz (responsable du Médiacentre fribourgeois et initiateur de l'exposition)
  • A l'occasion de l'exposition Willy Ronis du 18 janvier au 9 mars à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg

Schmutz, Emmanuel

Intérieurs fribourgeois : entretien / par Thierry Savary

  • [Fribourg] : Radio Fribourg, 2003
  • Diffusé le 6 janvier 2003
  • Invités: Caroline Wagshal (photographe) ; Emmanuel Schmutz (responsable du Médiacentre fribourgeois)
  • A l'occasion de l'exposition du même nom tenue du 29 novembre 2002 au 11 janvier 2003 à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg

Wagschal, Caroline

Interview d'Aaron Neville

Interview du chanteur américain de soul Aaron Neville par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de son passage au Montreux Jazz festival en juillet 1995.

Thierry Savary lui parle de sa musique qui est avant tout de l'amour.
Aaron Neville pense que la musique fait partie de chacun, que c'est un langage international. Il parle du fait qu'il ne comprend pas les paroles de Céline Dion, mais qu'il en ressent l'émotion.

Aaron Neville parle de l'Ave Maria. Il peine à expliquer ce qu'il ressent quand il la chante. Il se sent proche de Dieu. Cela l'a aidé dans des moments difficiles.

00:01:20
Il explique qu'il n'a pas d'éducation musicale, que les choses viennent du cœur.
Il a toujours su qu'il serait dans la musique, que c'était important pour lui. Il parle de son frère Art. Il explique qu'à l'adolescence il s'est vraiment rendu compte qu'il avait la musique en lui, que c'est ce qu'il ferait.

00:02:50
Aaron Neville parle du fait que chacun fait partie du même tout sur terre.

[Il manque une partie de l'interview]

00:03:30
Aaron Neville parle de la Nouvelle Orléans. C'est un endroit qui l'inspire.

Thierry Savary lui demande s'il a de la facilité d'écriture.
Aaron Neville explique que cela doit être spontané, que les choses doivent lui venir toutes seules.
Il parle du fait que l'environnement fait partie de lui, et que c'est une source d'inspiration.

00:05:25
Thierry Savary lui demande s'il est intuitif.
Aaron Neville parle du fait qu'il faut toujours peser les choses pour prendre des décisions. Dieu a donné la capacité de prendre des décisions, prendre la bonne ou la mauvaise est de notre ressort.

Aaron Neville parle du fait de jouer avec sa famille, ses frères. Quand il joue avec d'autres musiciens c'est aussi une forme de famille, mais ce n'est pas pareil. C’est particulier, il y a un sentiment particulier.

[Interview coupée]

Savary, Thierry

Interview d'Alaska

Interview de Jean-Marc du groupe français Alaska par Thierry Savary.

Emission prête à diffuser, avec des chansons d'Alaska en interludes musicaux.

Thierry Savary explique que Jean-Marc compose presque tous les textes.
Jean-Marc explique que le chanteur, Hervé compose aussi quelques chansons depuis peu.
Jean-Marc joue un peu de tout, mais il n'a pas de spécialisation. Dans Alaska il joue de la basse et de la flûte.
Le groupe est composé de trois musiciens français et deux allemands.

Jean-Marc explique que quand ils se sont formés, ils n’arrivaient pas à percer en France, mais ils ont eu du succès en Allemagne, au Danemark et Autriche.
Ils ont rencontrés les deux musiciens allemands à ce moment-là.
Ils chantent en français, et les gens apprécient leur musique même s'ils ne comprennent pas les paroles.

00:02:15 - 00:06:42 : [Musique]

TS lui demande comment ils s'organisent pour se rencontrer.

Les trois français sont du nord de la France, et les Allemands de Cologne, donc ce n'est pas si loin. Ils ont l'habitude de louer une maison pour se voir et pour jouer. Il y a une osmose dans le groupe. Il explique que l'un des français ne parle pas allemand, et l'un des allemand ne parlent pas français mais il y a une grande entente.

TS s'interroge sur le nom de groupe
Jean-Marc explique que c'est parce qu'ils viennent du nord, et il y a aussi une référence à la chanson "la complainte du phoque en Alaska"; au groupe Beau Dommage.

00:08:50
TS demande s'ils pensent avoir fini de galérer
Jean-Marc explique que ce n'est pas fini, Mais le plus important c'est de trouver des musiciens qui s'entendent aussi bien musicalement qu'humainement. Et à force cela va finir par payer.
Les influences musicales au sein du groupes sont très diverses. Chacun ajoute un peu sa touche aux chansons, pour les arrangements.

00:10:25 - 00:14:25 : [Musique]

TS demande si la direction a été réfléchie ou si la démarche est instinctive.
Jean-Marc explique que la base c'est l'écriture des chansons. Il faut être sincère et faire ce qu'on a envie. Il faut prendre du plaisir, et même si cela n'est pas dans la tendance du moment.
Il explique que pour lui l'écriture est un besoin. Il ne peut pas décider d'écrire. Les chansons s'écrivent par rapport à des petits moments de la vie. Il écrit des textes autobiographiques.

00:16:10 - 00:20:13 : [Musique]

TS demande si l'on peut tout dire de soi dans une chanson.
Jean-Marc explique que c'est une question de fond et de forme. Il parle des chansons d'amour. Il faut rester dans le flou, mais avoir des petits messages codés pour que la personne comprenne que c'est pour elle. Il parle de la chanson Sally. Il explique qu'il a écrit cette chanson, et qu'il a rencontré une femme plus tard et qu'elle correspond totalement à la chanson.
Il explique que lorsque la chanson prend forme il y a une forme de satisfaction. La chanson nous suit, elle entraine des souvenirs.

TS parle des images dans les chansons, et demande si on lui raconte des anecdotes sur les chansons.
Ce n'est pas arrivé. Mais il raconte que le chanteur qui interprète ses texte ressent les mêmes choses que lui en les interprétant.

TS lui demande s'il y a des choses qu'il ne peut pas dire en chanson.
Il dit que oui mais il relativise la souffrance de l'artiste. Il n'y a pas toujours besoin de souffrir pour écrire. Cela dépend de ce que l'on ressent. Le style de musique est influencé par l'état d'esprit.

00:25:00 - 00:28:50 : [Musique]

TS lui demande ce qu'il pense des chansons des autres.
Il explique qu'il écoute beaucoup les textes. Il pense que les chansons éternelles sont celles qui ont été composées avec juste une guitare.

TS parle du premier album d'Alaska, qui va sortir.
Le disque a été produit par le label Gorgone, et Disque Office pour la Suisse.
Les arrangements ont été faits par le groupe, et la direction artistique plutôt par lui, en accord avec le reste du groupe.
En septembre le single "Bleu dans l'âme" va être diffusé un peu partout.

00:31:40 - 00:36:05 : [Musique]

Savary, Thierry

Interview d'Alex Bugnon

Interview du pianiste jazz suisse Alex Bugnon par Thierry Savary.

Depuis le dernier festival de Montreux il y a deux ans, il a fait une tournée aux USA et en Amérique latine. Il a sorti un disque il y a trois mois. Il a déjà fait une tournée, et repart dès son retour aux USA. C'est très intéressant mais toujours un peu la même chose.
Il aimerait faire une tournée en Europe avec d'autres musiciens jazz, un "all star band" avec notamment Victor Bailey, Omar Hakim, Najee,...

00:01:53
Pour le dernier album, il a travaillé avec des gens très connus. Il est allé au Berklee College of Music avec certains comme Victor Bailey, et il pense que ce serait facile avec des gens de sa génération, mais ce serait peut-être plus dur de jouer avec des gens d'autres générations.
Il y a un esprit de collaboration aux USA, même s'il y a un esprit de compétition mais plutôt amusant.

00:03:00
Sa musique est très acceptée, plus épanouie aux USA. Ce serait possible de le faire aussi en Suisse mais plus difficile. Comme c'est de la musique instrumentale, peut-être plus dur ici. Aux USA, c'est beaucoup plus accepté, il y a de plus en plus d'ouverture pour ce genre de musique.
Les gens ont besoin d'une musique instrumentale, il n'y a pas de paroles, juste des sons, c'est plus facile. Il faut moins de concentration. Le gout des gens change, ils en ont un peu marre d'écouter toujours de la variété.

00:05:37
Lors de la composition d'un album, il ne vise pas un certain marché mais simplement ce qu'il a toujours eu envie de faire, et il se trouve que ça marche.
On utilise la musique instrumentale dans des magazines, des publicités etc. Il aime plutôt ça car il a décidé de vivre de la musique, ça fait des royalties et c'est très bien.
Il ne pense pas à des images quand il compose, que la musique.

00:07:10
La conception du nouvel album a été très vite une fois que le changement de maison de disque a été fait. Le changement a pris beaucoup de temps, à cause de la paperasse. Après ça a été très vite, il travaille très bien sous pression. Il a fini le disque en un mois. Il a choisi de très grands musiciens pour cet album, comme Victor Bailey et Buddy Williams, les meilleurs musiciens de rythmique selon lui. Il voulait un disque bien fait, et vite fait. Il est revenu à des instruments acoustiques, la batterie et le piano. Il voulait être l'un des premier dans ce genre de musique à revenir aux instruments acoustiques.

00:10:19
La comparaison avec Joe Sample c'est un compliment. Il est à la tête depuis 40 ans, toujours très gentil, il lui est arrivé plein de misères mais il revient toujours et sort des choses incroyables.
Il y un grand respect pour les musiciens de cette trempe, il apprend beaucoup avec eux. Il préfère écouter des gens de cette génération plutôt que de la sienne. Il y a une relève en jazz acoustique, mais pas en termes de personnalités.

00:12:52
Il est toujours épaté par des gens, mais toujours des gens de deux ou trois générations en arrière. Il aime aller écouter ces gens pendant qu'on en a encore l'occasion car ils ne seront bientôt plus là.
A NY c'est impossible de tout faire, il y a trop d'offre de concerts. Il faudrait aller tous les jours. Il n'est pas souvent chez lui, il aime profiter d'être chez lui quand c'est le cas.

00:14:25
Les vocaux qui figurent sur le disque sont construits autour du piano, comme toutes les autres lignes musicales. Il faut que les voix ne soient pas trop agressives. Il travaille toujours avec le même chanteur pour poser les voix.

00:16:45
Il se sent plus Newyorkais qu'Européen, mais il revient de plus en plus souvent en Suisse. Il va peut-être redevenir moitié moitié.

00:17:25
Il pense pouvoir donner des impressions aux gens avec sa musique mais il aimerait mieux choquer les gens par la manière dont il joue et compose. Il trouve délicat de faire passer des messages, à moins que ce soit pour une grande cause.

00:18:30
En Amérique Latine ils aiment beaucoup ce qui vient des USA et ce qu'il fait. Ils aiment découvrir. C'est extraordinaire.

00:19:50
Il a fait quelques musiques de films, mais il n'a pas encore écrit de musique pour un film. Ce sont des chansons qui ont été choisies mais pas composées pour l'occasion, Il aimerait en faire, il va aller prendre des cours pour cela à NYU.

00:20:45
Il a le projet de faire un clip. Il en avait déjà fait pour son premier album, il va faire un clip dès qu'il rentre aux USA.

00:21:15
Il travaille peu avec d'autres musiciens car il est tellement pris par sa propre carrière. Il aimerait bien pouvoir jouer avec d'autres, et c'est difficile pour les gens de l'appeler. Mais il aimerait plutôt se lancer dans la production, faire moins de tournées et produire plus.

00:22:15
La scène c'est ce qu'il y a de mieux, là qu'on voit si quelqu'un est vraiment bien ou pas, car dans les studios il y a tellement de moyen que n'importe qui peut faire un disque.

00:23:00
Rien n'est jamais gagné, il faut toujours attaquer, faire de la promotion. Dès qu'on ralenti quelqu'un d'autre prend sa place. Il faut toujours être frais et original.

00:23:52. Il est très content de la manière dont les choses se déroulent, et il sent que c'est sur le point de devenir très sérieux. Il veut juste faire de la musique.

Savary, Thierry

Interview d'Alexandre Ponomarev (Choeur d'enfants Vesna)

Interview d'Alexandre Ponomarev, directeur du Chœur d'enfants Vesna de Moscou par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de leur passage à l'Eglise Sainte-Thérèse de Fribourg, le 17 novembre 1996.
Alexandre Ponomarev parle en russe. L'interview est traduite en direct par Isabelle Vonlanthen, étudiante de russe à l'Université de Fribourg.

Thierry Savary présente Alexandre Ponomarev et Isabelle Vonlanthen, traductrice.
Thierry Savary parle du chœur Vesna, et de leur passage en Suisse.
Alexandre Ponomarev explique que c'est la première fois que le chœur vient en Suisse, ils seront là pour 3 jours, dont un à Fribourg, avec un programme religieux.
Ils sont en train de tourner en Europe avec un grand programme. On leur a demandé de faire un répertoire religieux en Suisse car ils chantent dans des églises. Ils chanteront de la musique russe orthodoxe.
Alexandre Ponomarev explique que leur programme n'est pas chanté très souvent en Russie. Le chœur Vesna est le premier chœur d'enfants à chanter un programme russe orthodoxe.

00:03:40
Thierry Savary souligne que c'est un des plus grands chœurs d'enfants au monde, ils sont très réputés.
Alexandre Ponomarev explique que c'est plus qu'un chœur, c'est une communauté de vie des enfants. Trente ans auparavant, c'était juste des enfants qui se réunissaient pour chanter. Ils n’avaient pas de formation musicale mais ils aimaient la musique. Il y avait de plus en plus d'enfants qui les rejoignaient. Le chœur s'est formé comme une grande famille qui aime la musique. Il n’y a pas de sélection des enfants, même si le répertoire est difficile.
Alexandre Ponomarev explique que comme il aime la musique classique, le chœur chante surtout un répertoire classique.
Le chœur s'est agrandit et est connu partout dans le monde.

00:07:20
Thierry Savary lui demande comment se passe l'organisation.
Alexandre Ponomarev explique que le chœur est composé d'une centaine d'enfants, entourés par 3 personnes. Les enfants s'entraident entre eux, les plus âgés aident les plus jeunes. Il parle de l'école, qui est composée de 300 enfants à partir de 5-6 ans. Le chœur qui est en Europe est composé d'enfants de 10 à 17 ans. Il y a une bonne atmosphère dans l'école, il n'y a pas de problème de discipline. Les enfants aiment vraiment la musique.
Ils chantent souvent à Moscou, et depuis la chute de l'URSS ils peuvent sortir de la Russie.

00:10:30
Thierry Savary lui demande ce que la chute de l'URSS a changé beaucoup de choses pour l'école.
Alexandre Ponomarev explique que le chœur a fêté ses 30 ans. La moitié de son existence a été faite de lutte avec le gouvernement pour exister. Mais ils ont toujours eu des soutiens. Il explique que certains de ces soutiens sont morts pour leur engagement.

Aujourd'hui ils fonctionnent comme une entreprise. Les études sont gratuites pour les enfants. Ils commencent à 5 ans et finissent à 17 ans. Ils ont 2 leçons de chants, et 2 de piano. Ils sont aussi des cours sur la théorie musicale et l'histoire de la musique. Il y a aussi des chœurs avec des petits enfants. Lors des concerts tous les enfants chantent. Le grand chœur a un programme très difficile.
Ils ont reçu un prix à Arezzo, et aussi à Nantes.
Il y a beaucoup d'anciens élèves qui travaillent dans l'école.

00:15:20
Thierry Savary lui demande si les enfants suivent aussi un autre programme que la musique.
Alexandre Ponomarev explique que le matin les enfants vont à l'école normale, et l'après-midi est dédié à la musique. Les enfants aiment l'école, et il n'y a jamais de problème de discipline.

Alexandre Ponomarev explique qu'ils n'ont presque pas besoin de sélection, car ils n'ont pas autant de demande que cela. Il parle du changement de la culture russe. Ils peuvent prendre presque tous les enfants.

00:17:30
Thierry Savary lui demande ce que font les anciens élèves, est-ce que certains font carrière.
Alexandre Ponomarev explique qu'il y a plutôt des professeurs de musique que des chanteurs.

Thierry Savary parle de l'engagement des enfants pour des organisations de paix, comme l'Unicef.
Alexandre Ponomarev explique que sous l'URSS ils allaient chanter dans des pays d'Europe de l'Est, avec lesquels ils avaient de bons contacts. Il y avait des échanges entre les enfants.
La première fois qu'ils sont allés en Europe de l'Ouest était en 1986, en Autriche. Depuis ils ont beaucoup d'invitations mais ils n'ont pas les moyens de toutes les honorées. Grâce aux concours internationaux, ils peuvent voyager un peu partout en Europe. Ils sont partis aussi au Japon.

Alexandre Ponomarev parle de la manière de penser qui est différente. Il parle de la culture différente. Il aimerait que les gens en Europe apprennent à connaître la Russie de manière différente. Il parle des familles d'accueil, et des contacts.

Savary, Thierry

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