En 1818, 400 familles fribourgeoises créent une colonie suisse au Brésil. Baptisé Nova Friburgo, le village est désormais devenu une grande ville, où de nombreux descendants d'origine suisse vivent toujours. Certains connaissent encore bien cette histoire d'émigration suisse, causée par la misère et la faim il y a deux siècles. (RTS)
Enregistrement d'une émission diffusée sur Espace 2 le 22 février 2018
Aujourd'hui terre d'immigration, la Suisse a été durant des siècles une terre d'émigration. En 1819, quelques 200 Suisses, dont une majorité de Fribourgeois, partent ainsi vers le Brésil, pour s'établir dans la colonie nouvellement fondée de Nova Friburgo. Fuyant la crise économique et agricole, ils rêvent d'un avenir meilleur. Deux siècles plus tard, le photographe Thomas Basey a refait le voyage pour raconter cette histoire et documenter ce qu'il en reste aujourdʹhui. Ses images sont au coeur de l'exposition "Nova vida - Brésil Portugal", qui tisse également des liens avec l'installation de nombreux Portugais dans le canton de Fribourg. Quelles sont les similitudes entre ce qu'ont vécu ces émigrés suisses et ce que vivent les migrants aujourd'hui? Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2013
Extraits d'une émission diffusée sur la Première le 8 octobre 2013
Un encart paru mercredi dernier dans "La Liberté" dénonce la soi-disant mansuétude face aux pédophiles du candidat socialiste au Conseil d'Etat fribourgeois Jean-François Steiert. On peut y lire que "Jean-François Steiert a voté contre l'initiative" pour que les pédophiles ne travaillent plus avec les enfants. Source: RTS
[Lausanne] : La Première (Radio télévision suisse), 2016
Extraits d'une émission diffusée sur la Première le 8 novembre 2016
Le PLR a signé un carton dimanche dans le canton de Fribourg: 4 sièges de plus au Parlement, son candidat sortant élu au 1e tour au Conseil d'Etat. Son 2e candidat a créé la surprise, loin devant l'UDC. Or le PLR hésite à le lancer pour le 2e tour pour ne pas fâcher l'allié UDC. Source: RTS
Dessin de Claudio Fedrigo (le bûcher du cordelier) ; visuel de Jemima Sigrist
Intervenants (film et bonus) : Georges Andrey, Jean-Marie Barras, Pierre-Philippe Bugnard, Jean-Daniel Dessonnaz, Jean-Pierre Dorand, Pascal Marquard, Alain-Jacques Tornare, Paul Birbaum, Jean-Jacques Allisson, David Aeby, Michel Perriard, Alexandre Dafflon, Romain Jurot, Nathalie Dupré-Balmat, Verena Villiger-Steinauer
Silvestru Tifan (le Père Girard) ; Thibaud Sudan (le petit Jean) ; Anne-Laure Vieli (la maman). Avec les voix de: Roger Jendly (le Père Girard) ; Anne-Marie Yerly (voix off) ; Dominique de Buman (Mgr Pierre-Tobie Jenni) ; Christian Levrat (le député Werro) ; Jean-François Rime (le général Nicolas de Gady) ; Jacques Bourgeois (l'affiche libérale) ; Raymond Darioli (la réponse)
C'est une histoire vraie. Qui se passe à Fribourg il n'y a pas si longtemps. L'histoire de Grégoire Girard, et celle de la Ville et du canton de Fribourg. Celle de ce moine qui, devenu instituteur puis préfet des écoles de la Ville enthousiasme les élèves, les parents et le conseil communal. Et qui introduit la méthode mutuelle qui le rend célèbre dans toute l'Europe. On vient de France, d'Italie, d'Angleterre, de Russie à Fribourg pour voir l'école du Père Girard et s'entretenir avec ce cordelier. Et soudain, le drame. L'évêque demande aux autorités d'interdire la méthode mutuelle. La Ville de Fribourg frise l'émeute lorsque le Grand Conseil vote cette interdiction. Girard quitte Fribourg pour le cloître des cordeliers à Lucerne. Pour quelle raison les autorités répudient-elles ce brillant instituteur qui a créé une véritable école populaire, et dont Pestalozzi a dit qu'avec de la boue il fait de l'or ? Et pourquoi la tombe de sa mère sera-t-elle profanée ? Une page d'histoire vécue comme un thriller
Extrait d'une émission diffusée sur RTS Un le 3 novembre 2015
Débat avec la participation des trois candidats à l'élection au Conseil des Etats: Beat Vonlanthen (PDC), Christian Levrat (PS) et Jean-François Rime (UDC)
[Lieu de publication non identifié] : [éditeur non identifié], 1839-1877
Contient surtout des textes en latin, quelquefois avec trad. française ; le reste en français et allemand anciens. Chaque paragraphe porte un titre français