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Savary, Thierry
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Interview de Hanafree

Interview du groupe fribourgeois Hanafree par Thierry Savary.

Enregistré à l'occasion de la sortie d'un 45 tours.

Interview avec le chanteur Simon Ilofo du Zaïre et le guitariste Doris Zaïco du Congo. Le groupse s'est créé de la scission d'un groupe de Fribourg car ils voulaient faire de la musique mélangée. Le groupe compte de grands professionnels comme Francis Coletta et Richard Pizzorno, mais aussi Salvatore Lombardo à la batterie et Alexandra Pasina au chant.
Leur rencontre permet d'arranger la musique africaine. Leur musique est métissée, le rythme africain avec une musique un peu plus sophistiqué, le funk. Les sentiments africains et la culture européenne. Le mélange du rythme africain et l'harmonie européenne.
Leur musique sur scène et sur le disque se ressemble. Mais en studio on ne peut pas se permettre de crier par exemple. Coletta, un des responsables du studio aussi a permis de créer un ambiance familiale, même africaine. La différence avec la manière de travailler en Afrique c'est que les morceaux arrivent prêts et sont travaillés en studio. Coletta et Pizzorno ont fait les arrangement.

00:04:30
La signification de Hanafree: Hana signifie enfant: les enfants libres. On va dans un concert pour oublier le stress de la vie et s'éclater un peu.
Ils parlent de la signification de la musique, de la différence avec la Suisse et l'Afrique. Tout ce qu'on fait sur scène vient tout seul, la musique circule, tout le monde sent la musique. En Suisse la musique aussi est importante, mais il y a une différence de ressentir la musique.
Ils parlent du fait qu'ils ont participé u Passeport vacances, et ont expliqué aux enfants que tout est musique dans la vie.

00:06:45
Ils parlent de la signification de la pochette du disque. Elle représente l'importance de la musique dans la vie. signification un peu philosophique.
Ils chantent en lingala, langue d'Afrique centrale qui est parlée au Zaïre, au Congo et en Angola.
Ils parlent de quelques thèmes qu'ils abordent dans leurs chansons. S'inspirent un peu de leur vie.

00:09:10
Ils parlent de leur venu en Suisse.
Ils sont venus pour des raisons économiques et politiques. Ils se réunissent avec des membres de leur communauté.
Il est plus facile de faire de la musique en Afrique. En Suisse c'est plus difficile de percer, il faut de l'argent, par exemple pour produire un disque.
Pour écouler le disque, espèrent le vendre pendant les concerts. Mais ils n'ont pas de producteur, c'est très difficile et ce n'est pas suffisant.

00:11:43
Ils parlent de leur rencontre avec Coletta et Pizzorno. Jean-Doris a rencontré Coletta car c'était son professeur su conservatoire. L'idée de faire un groupe est née de là. Ils y a une bonne cohérence dans le groupe. Ils qualifie le groupe comme une équipe fantastique. Le mélange de cultures, de nationalité apporte beaucoup au groupe. C'est normal aujourd'hui, le monde actuel est pour l'ouverture, tous les pays s'ouvrent.

00:13:50
Ils parlent des influences du groupe.
Il y a une sorte d'admiration de Simon et Doris pour Pizzorno et Coletta. Ils s'inspirent aussi de leurs cultures. Simon aime beaucoup Ray Charles et s'en inspire pour le chant. Pour Jean-Doris les influences sont Ray Lema et Papa Wemba.

00:15:43
Ils parlent des souhaits et envies pour le futur.
Ils aimerait être connu et reconnu à Fribourg, et aussi trouver un producteur. Ils aimeraient pouvoir véhiculer leur culture par la musique. Commencer à Fribourg, au canton de Fribourg et s'étendre ensuite. Ils aimerait être connus comme un groupe du canton de Fribourg.
Le message qu'ils aimeraient faire passer aux auditeurs c'est qu'ils soutienne Hanafree, et qu'ils puissent les aider dans leur problèmes financer et trouver un producteur.

Savary, Thierry

Interview de Jil Caplan

Interview de Jil Caplan, chanteuse, par Thierry Savary.

Parle de ses débuts, avec Jay Alanski. Ils se sont rencontrés il y a 4 ans. Jil Caplan ne se destinait pas à la chanson, a fait une école de théâtre. A rencontré Jay Alanski qui lui a écrit des chansons et l'a beaucoup aidé. Elle dit qu'il a changé le cours de sa vie. Se sont rencontrés dans un studio d'enregistrement, avec des amis communs. Ont découverts qu'ils avaient beaucoup de goûts en communs au niveau littéraire et musical.
Le nouvel album, "La charmeuse de serpent", a été élaboré durant 3 ans. Son deuxième album, a pris plus de temps pour réfléchir, dire ce qu'elle voulait faire, quels instruments, etc. Elle voulait beaucoup d'instruments acoustiques, comme des violons, des guitares, des cithares.
Elle aime les instruments comme la cithare, le marimba, les sons inattendus, ils rappellent l'eau. Elle aime bien les effets un peu bizarres et changer un peu les sons, les rendre inattendus. Sa musique va être de plus en plus épurée, avec des sons toujours plus inattendus.
Journée type de studio. Jay et les musiciens arrivaient avant et se mettaient en place avant qu'elle arrive. Les enregistrements des voix n'ont pas été faits d'un coup, plusieurs prises chaque jour et cela permet de garder les meilleures prises.
Les odeurs invoquent pour elle des possibilités, l'encens la décontracte. Les odeurs peuvent être rassurantes.
Pour l'album, elle n'a subi aucune pression de la maison de disque. Elle était complétement libre.
Le mixage de l'album ne l'a pas vraiment intéressée, a donné son avis sur les versions finales, mais a quand même donné son avis. A pu choisir selon les impressions d'ensemble.
Elle travaille avec une équipe, elle a le contrôle de tout ce qu'elle fait. On lui propose des choses mais c'est elle qui choisit, son avis qui prime. L'essentiel c'est d'être d'accord, souvent l'enthousiasme aide à la prise de décision. Elle est aussi entourée de managers. Elle se sent très libre, pense que cela ne rime à rien de faire des concessions. Il faut être content de son propre travail.
Le métier de chanteur s'apprend? Elle a appris à se taire, elle a appris ce qu'il faut dire ou non. Elle a appris à se méfier et à attendre.
Elle n'a pas travaillé sa voix, car elle pense, à tort selon elle, qu'elle s'en sortira toujours. C'est un métier ou il faut sentir les choses. Ce qui l'intéresse c'est de chanter, de rencontrer des musiciens et faire de la scène.
La musique la touche plus que les paroles. Elle ressent l'émotion de la voix et de la musique.
Quand elle chante, les textes ne lui invoquent rien, mais quand elle écoute ses chanson oui. Quand elle chante, elle ressent seulement.
Elle est de nature rêveuse.
Il faut être solide pour faire le métier de chanteuse, cela demande de la force et il ne faut pas être trop sensible et avoir une vie équilibrée à côté du métier. Ce qui n'est pas facile car c'est un métier qui appelle au déséquilibre. Mais en même temps accepter d'être faible à certains moments, et accepter cette faiblesse c'est une force.
Ce qui lui plait le plus dans le métier c'est chanter, être dans un studio ou sur une scène. Elle aime aussi construire ses propres clips, les réaliser elle-même. Aime aussi penser et construire la forme de son spectacle.
Elle conseille aux jeunes qui aimeraient se lancer dans la chanson de travailler et d'être honnête.
Son plus grand bonheur dans sa carrière c'est quand elle a entendu la maquette de son deuxième album.
Il y a des gens qu'elle a choisi de ne pas revoir, car ils appartiennent au passé, et d'autres gens qu'elle voit encore depuis qu'elle est devenue chanteuse. Elle a de moins en moins d'amis, comme si elle s'enfermait de plus en plus. Mais cela ne découle pas de son succès.
Elle adore voyager, il y a trop de choses à voir. Son rêve serait de pouvoir habiter dans chaque pays du monde pendant un an.
C'est une personne qui sent beaucoup les choses, mais elle a appris à moins se laisser porter par ses émotions et plus réfléchir.
Il y a des gens qu'elle admire et respecte, mais elle apprécie surtout les histoires des gens. Aime peut-être plus rencontrer un inconnu.
Ne pourrait pas abandonner sa carrière pour un idéal, on peut concilier les deux. Malsain d'abandonner sa carrière pour quelqu'un. Si on est épanoui dans sa vie, on fait forcément attention aux autres. Quelqu'un d'égoïste c'est quelqu'un qui se cherche encore dans sa propre vie.
La musique a toujours fait partie de sa vie. Elle a eu trois grandes étapes: les Beatles, David Bowie et le punk. Elle pense qu'il faut vivre en harmonie avec la musique, en fonction de sa vie et ses émotions.
Trois vœux:
Avoir le don d'ubiquité, être à plusieurs endroits au même moment, pouvoir vivre plein de vies car une seule vie ne suffit pas.
Etre dans la peau d'un homme pendant une semaine, pour décrypter, pour connaître comment un homme ressens les choses.
Pouvoir se mettre dans le cerveau des gens.

Savary, Thierry

Interview de Jungle Brothers

Interview du groupe de rap Jungle Brothers par Thierry Savary, traduit en simultané par Anne Baecher.

Enregistrée lors de leur passage au Montreux Jazz festival en 1990.

Que pensez vous du concert de ce soir?
Très sympa!
ils aiment jouer dans ce genre de festival jazz car ce sont leurs influences.
Le reggae et le rap ont une base commune avec le hip hop.
Le rap c'est de la poésie, de la musique des sensations qui viennent de la rue.
C'est aussi une façon de vivre, comme une religion.
On trouve du rap partout, c'est la culture, la religion.
Quel est le message de votre musique?
Notre but c'est de laisser le hip hop se développer. Le message c'est la paix l'amour et l'unité.
Qu'est-ce que vous pensez par exemple de Public Ennemy?
Ils ne détestent personne, c'est complétement faux.

Est-ce que votre musique s'adresse aux noirs?
elle est pour tous, mais elle a commencé pour les noirs. Pas de problème que d'autres jouent mais il doivent savoir d'où ça vient.
En France il y a des gens qui font du rap, c'est cool mais il faut être conscient que d'où ca vient.
Les jurons c'est pas grave, c'est la traduction du langage de la rue.

00:04:00 - 00:05:15 : font une impro de rap

Savary, Thierry

Interview de Michel Petrucciani

Interview de Michel Petrucciani, pianiste jazz, par Thierry Savary.

Enregistrée lors de son passage en solo à la salle Jolimont de Fribourg le 10.04.1991.

L'interview débute avec un morceau de jazz de Michel Petrucciani, et est entrecoupée de morceaux jazz de MP ou d'autres.
Parle de son parcours "assez long", il a débuté à 4 ans, puis a fait partie d'un trio familial, le Trio Petrucciani, surtout actif dans le sud de la France. A 16 ans rencontre Aldo Romano avec lequel il fait un disque, puis part à Paris et devient professionnel.
Après part aux USA à 18 ans, en Californie chez un ami. Il rencontre alors Charles Lloyd, il joue un peu avec lui, et Chalres Lloyd cherche à remonter un groupe et cherche un pianiste. Ils vont alors travailler ensemble pendant 5 ans.
Puis monte un trio, enregistre deux albums à NY. Il a fait en tout 25 disques.

00:06:30 - 00:10:45 : [interlude musical: " Mr KJ", de Michel Petrucciani]

Parle des solos, quelque chose qu'il ne fait pas beaucoup car est plus dans l'harmonisation mais c'est un exercice qu'il apprécie et en fait de plus en plus.

00:11:30 - 00:15:20 : [interlude musical: Solo de M. Petrucciani "Amalgame"]

Son premier disque, qui a changé sa vie. Parle de ses influences, des gens qu'il aime, et préfère parler des gens vivants. Meilleur pianiste pour lui Herbie Hancock, car il arrive tout faire, aussi bien du disco, du funk, du rock que du blues. Un peu ce que MP voudrait faire car il aime tout, et pense que mettre des étiquettes c'est un peu dépassé.

00:17:00 - 00:19:00 : [interlude musical: "Rock It", d'Herbie Hancock]

Parle de sa manière de composer. Il a besoin de projets concrets, de travailler sous pression. Il n'est pas un fou du travail. Il aime composer, mais il faut qu'il ait de la pression.
Il a deux enfants, et sa journée normal c'est de passer la journée à la maison avec ses enfants, surtout qu'il et souvent en tournée, il doit rattraper le temps perdu avec ses enfants.

00:20:15 - 00:21:00 : [interlude musical]

Parle de ses influences musicales: la musique classique, musique brésilienne, musique africaine, jazz africain.

00:22:00 - 00:24:40 : [interlude musical: "O Nano Oye", de Michel Petrucciani]

Quand il joue si se laisse aller a l'impiression que qqn d'autre joue pour lui, qu'il est possédé.
Ses rêves: plein de rêves, pour ses enfants, et il a encore plein d'idées de disques. Aimerait faire un album piano voix avec un chanteur.

00:26:00 - 00:30:20 : [interlude musical : "Get away Jordan", Take 6]

Petrucciani, Michel

Interview de Patrick Juvet

Interview de Patrick Juvet, chanteur, par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie d'un nouvel album.

Patrick Juvet revient avec un album après 10 ans difficiles au niveau personnel et de santé. P:J. parle de l'importance de la musique pour lui, une drogue, après ses problèmes avec l'alcool.
Le fait d'être suisse à Paris est plutôt un frein dans une carrière, mais à partir du moment où on arrive à être connu on peut s'imposer.
Il y a eu plusieurs étapes dans sa carrière, des hauts et des bas. Quels seraient les conseils que PJ donnerait à un nouvel artiste: il faut passer des auditions, il faut tout faire, et imaginer qu'il faut être créateur pour faire ce métier. Il faut être original au niveau de la voix ou être auteur compositeur.
Quelles sont les choses qui ont évolué au niveau de la chanson française en 10 ans? Avant on imitait, on reprenait les chansons anglo-saxonnes, aujourd'hui on ne peut plus, il faut être créateur.
A collaboré avec Françoise Hardy, Marc Lavoine, Luc Plamondon pour ce nouvel album et a eu beaucoup de chance.
Aucune certitude avec la sortie de ce nouvel album, PJ espère faire de la scène si possible.
Il y a un morceau qui est un hommage à Gainsbourg.
PJ est content de son album. Pour la suite, espère réenregistrer des chansons en anglais pour pouvoir le diffuser plus.
3 vœux: trouver des solutions pour les maladies et les causes.

Savary, Thierry

Interview de Steel Pulse

Interview de Steel Pulse par Thierry Savary.

Enregistrée probablement lors du concert de Steel Pulse à Fri-Son le 9 novembre 1991. Uniquement les réponses.

Parle de la recette du succès du groupe. Steel Pulse explique sa vision de la musique, ce qu'elle représente pour lui et en général, ce que la musique apporte aux gens. On parle aussi de blues et de reggae, de leurs différences et similitudes et du succès grandissant du reggae, que Steel Pulse attribue à la situation mondiale actuelle. Car le reggae dénonce des choses. Il parle du pouvoir de la musique, qu'elle permet de faire passer des messages, et que selon lui le message le plus important est qu'il est possible de changer le système. Les voyages ont montré à Steel Pulse l'importance de comprendre les gens, car cela permet d'avoir un monde plus calme et en paix. Il aborde sa relation avec la Jamaïque, un pays qui a un long historique de combattre l'oppression. Il parle ensuite du marché de la musique, de la différence entre grands et petits labels. Il aborde ensuite le futur album du groupe, qui sortira en 1992. Il est plus engagé politiquement, retour aux racines musicales. Il parle ensuite de la collaboration sur cet album avec des gens plus expérimentés, comme Steven Bray et Stevie Wonder. Il répond ensuite à Thierry Savary concernant une chanson sur le racisme. Il pense que le racisme est trop présent et qu'il est nécessaire de faire ce genre de chanson.

Savary, Thierry

Interview d'Elmer Food Beat

Interview du groupe Elmer Food Beat.

Enregistrée lors de leur passage à la patinoire Saint-Léonard de Fribourg le 25.05.1991.

Interview entrecoupée d'extraits musicaux du groupe.

La vulgarité
On aime pas les mots crus. On chante de la gaudriole et des choses pas très sérieux mais il n'y a pas de mots vulgaires dedans. Provocation des machos, deuxième degrés.
Tradition française suivie mais sans s'en rendre compte, Rabelais, Pierre Perret. (extrait musical du ZIZI de Pierre Perret)
Beaucoup de gens en France ont écrit sur l'amour ou le sexe, mais ce n'était pas délibéré de suivre cette tradition française. Mais se distancie car ne se considère pas dans la gaudriole, un peu plus suggéré.
Les membres du groupe ne sont pas tous d'accord.

Les chanson "le plastique" et "Daniela"
Parle de leur titre "le plastique c'est fantastique". Un chanson délire, mais pas pour promouvoir quoi que ce soit. On eu une proposition d'une grosse boite de publicité pour faire un chanson de prévention contre l'alcool au volant. Ce n'est pas du tout ce qu'ils veulent faire, montre bine le décalage entre ce qu'ils veulent et ce que les gens perçoivent.
Parlent de leur titre "Daniela". Daniela n'existe pas réellement, mais existe pour beaucoup de gens, fantasme masculin. Il faut que ce soit sain.

Le groupe
Pas de chef dans le groupe, il y a des échanges. Se connaissent bien, communiquent. Se fait très naturellement.
Ont peu de vie privée, mais en ont une entre les membres du groupe car arrivent à s'isoler durant les tournées, mais c'est assez compliqué. Peu de vie privée avec leur famille.
Se voient même en dehors des tournées, sont pratiquement toujours ensemble.
Ont pu prendre des amis en tant que techniciens, donc ont encore élargi le groupe, sont pas 5 membres du groupe musiciens mais 12.
Permet d'atténuer les tensions car pas obligé de se croiser, évite les problèmes

Les femmes
Sont bien perçus par les femmes, ont de bons rapports avec les femmes. La plupart comprennent ce qu'ils veulent dire, que leur textes sont pour rire. L'attirance physique fait que se sent plus proche.
Leur réaction lorsque des femmes sont venues seins nus après l'un de leur concert pour se faire signer des autographes.
Pas assez de femme en politique, comme dans les autres domaines. Les femmes sont leur moteur. Aucun problème avec leur mères noi leurs copines.

Savary, Thierry

Interview d'Hinterland

Interview du groupe de rock Hinterland par Thierry Savary, traduit en simultané par Anne Baecher.

Gerry Leonard, du groupe Hinterland, guitariste.
Ils viennent de Dublin, et jouent ensemble depuis 3 ans. Ont sorti un album, et commencent à faire une tournée. Leur musique a des influences pas très modernes, Lez Zepplin, STC. Ont de bonnes relations avec leur maison de disques, ont leur liberté de créer. Ont un contrat de 6 albums.
Vous préférez le studio ou la scène? Les deux.
Ils ont leur propre studio pour créer leur musique, ont un petit enregistreur, ils travaillent parfois seuls avant de présenter leurs idées aux autres membres du groupe.
Ils aiment voyager, mais en bus c'est difficile. Sont en tournée européenne avant d'aller à NY.
Qu'est-ce qui vous intéresse dans la vie? S'amuser, se faire du bien-. C'est très important de pouvoir se réaliser dans la musique.
Est-ce qu'il y a des problèmes qui vous touchent particulièrement? Pas vraiment maintenant, mais je pense que ça va se développer.
Est-ce que ça a été dur avant de pouvoir signer? Oui, pendant 15 ans. Quand on s'est rencontrés on savait qu'il allait se passer qqch.
En fait si vous soulez nous connaître, écoutez notre disque et vous saurez qui on est.

Savary, Thierry

NY Rap Thierry Savary, partie 2

8 chansons de rap par Thierry Savary. Probablement pour une série sur plusieurs jours.

Savary, Thierry