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Savary, Thierry
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Interview de Litfiba - brute

Interview brute de Piero Pelù, chanteur du groupe de rock italien Litfiba par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de la sortie de leur album "Mondi sommersi", en janvier 1997.

Thierry Savary et Piero Pelù parle de l'italien, et du Brésil.

Piero Pelù évoque Fri-Son.
Ils parlent de leur nouvel album. Il explique que le groupe joue ensemble depuis 17 ans.
C'est une histoire très forte. Il explique qu'ils ont passé un an ensemble, qu'il y a des hauts et des bas, mais ils ont trouvé une sorte de symbiose avec Ghigo (Federico "Ghigo" Renzulli, le guitariste). C'est leur huitième album.

00:03:45
Thierry Savary souligne qu'il y a toujours une évolution dans le groupe.
Piero Pelù explique qu'il espère qu'ils trouveront toujours de l'inspiration, il souligne l'importance de vivre et de bouger pour trouver de l'album, de voyager. Avec le temps, c'est toujours plus dur de trouver des choses nouvelles, des nouvelles idées.

00:04:40
Thierry Savary souligne l'importance des mélodies sur l'album
Piero Pelù explique que c'est le premier album qu'ils ont produits. Il a beaucoup aimé travailler avec les autres producteurs, mais là c'était le moment pour eux de pouvoir faire ce qu'ils avaient vraiment envie. Quand l'album est produit par quelqu'un d'autre, il y a toujours l'avis de cette personne. Comme il est produit, c'est son album préféré.
Il parle de la responsabilité de se produire soi-même. Il faut penser à tout. Ils ont de l'expérience avec le temps, donc ils savent ce qui peut ou non passer en radio. Ils ont encore appris beaucoup, il y aurait beaucoup à changer avec le recul. Il parle de l'importance de se remettre en question.

00:08:40
Thierry Savary lui demande s'ils ont des personnes de références, des amis qui les conseillent.
Piero Pelù explique qu'ils ont beaucoup de proches pour les avis, il parle surtout des femmes. Il pense que ce que disent les femmes est le plus important.
Il parle aussi de Tony D'Agostino, un ami de Liège, qui leur envoie souvent des productions, qui les tient au courant des choses.
Il parle de leur ingénieur du son, qui a aussi eu de très bonnes idées.

00:11:20
Thierry Savary lui parle de son expérience de la scène et du studio, et lui demande si cela aide à prendre plus de plaisir.
Piero Pelù explique que cela dépend de l'ambiance du studio, de l'atmosphère. Il faut trouver un juste milieu entre le sérieux et le plaisir.

Thierry Savary lui parle de son énergie sur scène, et demande comment se passent les choses en studio.
Piero Pelù explique que certaines chansons ont été faites avec une seule prise, mais parfois il y a des chansons qui ont pris beaucoup de temps.

Thierry Savary lui parle du succès en Italie.
Piero Pelù explique que les choses se passent très bien en Italie, il espère que cela leur permettra de travailler encore longtemps. Il parle du fait que les gens ont des goûts plus éclectiques désormais.

Savary, Thierry

Interview de Stephan Eicher - brute

Interview de Stephan Eicher et de son équipe à l'occasion de la sortie de son album live "Non ci badar, guarda e passa", par Thierry Savary et une autre personne.

Enregistrée en novembre 1994 à Engelberg.

00:00:18
Quelqu'un pose une question au réalisateur Thierry Rajic au sujet de la gène devant les caméras. Stephane Eicher explique à Thierry Savary qu'ils voulaient faire quelque chose d'interactif, que le film de la tournée influence le disque et vice-versa et de la difficulté de combiner les médiums du son et de l'image.

00:03:50
Stephan présente une partie de son équipe.

00:04:42
Thierry Savary demande si ce qui est sur le film était préparé d'avance ou s'il y avait de l'improvisation. Stephane Eicher et son équipe décrivent les conditions du tournage.

00:10:10
Stephane Eicher parle de la fatigue et du temps qui passe, du métier de musicien.

00:12:43
Stephane Eicher explique pourquoi il a trouvé l'intérêt de faire ce disque live.

00:14:34
Ils expliquent les conditions du tournage du film, ils n'ont pas été assailli par des fans. Le matériel pour filmer et enregistrer était réduit. Stephane Eicher explique qu'il voulait faire un disque dans lequel l'auditeur se sens comme lors du spectacle. Il raconte le tournage de la scène et du morceau d'introduction.

00:26:25
Stephane Eicher dit qu'il essaie de donner de la place à des gens qui n'ont pas forcément envie d'être dans la lumière. Chacun donne son avis. Stephane Eicher dit que les membres de son équipe font parti de sa vie et qu'elle est super. Il montre des photos de la tournée.

00:30:31
Stephane Eicher parle du processus de réalisation de ce projet.

00:35:00
Stephane Eicher dit qu'il retournerait volontiers en studio pour enregistrer mais que le lieu n'a finalement que peut d'importance.

Savary, Thierry

Interview de Randy Newman - brute

Interview de Randy Newman par Thierry Savary et une autre personne.

Enregistrée en 1994.

00:00:10
Thierry Savary demande si c'est spécial pour lui de faire une tournée maintenant. Il aime beaucoup jouer en live. Il faut faire des tournés pour que les gens ne l'oublie pas. Il a fait une tournée de 90 concerts. Il ne sait pas comment il y est arrivé. Il parle de l'esprit de la musique en Angleterre. Il pense qu'il y a de nouvelles personnes qui viennent l'écouter, pas seulement d'anciens fans. Il pense que ce n'est pas facile de saisir l'essence de son travail dans un pays qui ne parle pas l'anglais comme l'Allemagne par exemple. Il était marié à une allemande. Les gens doivent apprendre mais ils viennent aussi juste pour le son. Il essaie de faire des effort quand il parle en concert dans des pays dont la langue n'est pas l'anglais afin d'être mieux compris et il ne parle pas autant que s'il est aux USA.

00:06.50
Thierry Savary demande si c'est important pour lui de composer des chansons pour d'autres interprètes. Il l'a fait que récemment. Il pense que même si quelqu'un interprète sa chanson, c'est toujours la sienne. Il n'écrit pas que pour lui. Il n'a pas le talent pour écrire des chanson populaires mais il a du talent pour écrire des chansons.

00:09:38
Il a beaucoup travailler pour le cinéma ces dernières années. Ce la n'a pas la même valeur pour le monde que quand il compose des chansons, car dans les films on ne se focalise pas sur la musique. Pour lui, e cinéma est quelque chose de familial. Ses oncles travaillaient dans l'industrie cinématographique. ça lui tient à cœur, il est plus scrupuleux quand il compose pour le cinéma que quand il fait un disque. Il parle de l'importance de la musique dans les films. Il pense que la meilleure musique de film est celle que les spectateurs n'entendent pas tellement elle se fond dans le film. Il pense que la musique du film "Basic instinct" est très bien.

00:14:20
En dehors de la musique, il pense qu'il aurait ou être écrivain ou docteur, comme son père s'il avait plus travaillé à l'école. Il parle de ses projets actuels et de son fils. Son prochain album sera à son nom, il a écrit 20 chanson pour cet album et y en aura 15 ou 16 sur l'album. Il joue de nouvelles composition sur scène. Il pense qu'il va faire un album live de cette tournée car il est très bon sur scène.

Savary, Thierry

Interview de Sherman Robertson - brute

Interview de Sherman Robertson par Thierry Savary.

Enregistrée en 1994 à l'occasion de la sortie de son album "I'm the Man" .

00:00:18
Thierry Savary lui demande s'il a voulu faire de la musique dès son enfance. Il a vu le un chanteur de country blanc à la télévision et il a voulu faire comme lui. Personne ne jouait de la guitare dans sa famille. Il faisait de la musique pour se sentir bien. Il a grandit au Texas et a commencé par faire du blues car c'était une musique qui sonnait réelle, c'est une musique concrète. Actuellement, le blues connaît un regain de succès et c'est la raison pour laquelle il est là. Il veut donner un blues un autre niveau et montrer aux spectateurs le blues du Texas. Il est né en Louisiane et a grandit au Texas. Il y a un blues typique de la Louisiane et un du Texas. Il fait la fusion des deux et l'appelle Lutex.

00:04:00
Il a joué avec beaucoup de grands musiciens. Avec eux, il a appris qu'il faut être sérieux dans son travail, l'aimer et vivre sa musique. C'est le blues qu'il veut pratiquer. Le blues du Texas est positif. Il est très fière de jouer cette musique sur laquelle on peut danser. Il ne parle pas des choses négatives de la vie. Il essaie de rendre le monde meilleur. Parfois, il y a des gens qui viennent lui parler d’événements qui se sont dérouler avec sa musique.

00:09:47
Thierry Savary lui demande quels sont ses influences musicales. Il écoute du gospel, du jazz, d'autre sorte de blues, du métal, du rock, tout ce qui lui permet de créer une nouvelle chanson. Il explique qu'il prend un peu de chacune de ses influences pour faire sa musique mais le plus important c'est de faire en sorte que les auditeur entendent sa musique, ses composition. Il est un individu qui appartient à la famille du blues et au gens. ça prend du temps de développer son genre, son style et de trouver sa voix, ça prend des années.

00:13:57
Ses trois vœux sont: d'avoir beaucoup de monde pour l'écouter, de passer un bon moment et d'être aimé.

Savary, Thierry

Interview de Fish - brute

Interview de Fish par Thierry Savary.

Enregistrée en 1994 à l'occasion de la sortie de son album "Suits" et son concert à l'Estival à Estavayer (?) .

00:00:03
Thierry Savary lui demande si c'était un de ses rêves de devenir musicien. Il décrit le processus qui l'a amené à devenir musicien et acteur. Il parle du marketing et de la promotion de film et de musique. Il a toujours voulu écrire des scénarios. Il aime beaucoup être sur scène et décrit ce que ça produit chez lui. Il a eu beaucoup de chance de découvrir son talent pour être chanteur.

00:08:29
En tant qu'artiste, c'est un privilège de pouvoir donner un concert. Il se considère comme très chanceux d'avoir ce talent, de pouvoir donner du sens à pendant qu'il chante. Il est confiant en sa capacité de transmettre du sens et des émotions dans ses chants. Il parle de l'armée et de la manière dont elle prend de la place dans la société, des différents conflits armés du 20e siècle.

00:15:40
Thierry Savary dit qu'il fait un peu le travail d'un journaliste et transcrit le réel dans ses chansons. Fish parle de son expérience d'écrire le scénario et la bande son d'un film. Il parle à nouveau du marketing et de la promotion de film et de musique. Il explique qu'après avoir terminé un album, il a toujours une période un peu à vide et c'est pareil quand il sort de scène pendant quelques minutes. Il dit qu'il a beaucoup de chance de vivre près de la plage pour s'échapper.

00:21:58
Thierry Savary lui demande quels seraient ses trois vœux. Il aimerait marquer le but décisif pour l'équipe d'écosse lors de la coupe du monde, il aimerait faire un album majeur mais il ne saurait pas que faire avec l'argent car il déteste ce que l'argent fait aux gens et il aimerait construire des bâtiments et les donner pour que les gens vivent dedans. Il aimait faire des constructions en lego et duplo quand il était enfant. Il parle d'architectes qu'il aime. Il parle de sécurité financière. Si son album a du succès, il pourra utiliser le bénéfice pour en faire un autre. Il adorerait faire un film et diriger des acteurs. Il parle d'acteurs qu'il admire. Il parle de son expérience de visite d'un zoo avec sa fille. Il aimerait qu'à sa mort, il puisse se dire qu'il a fait beaucoup de choses et des choses cool. Il aimerait que les gens réalisent que la vie ce n'est pas faire un maximum d'argent entre 18 et 50 ans pour avoir une retraite dorée mais que c'est d'apprécier sa vie à chaque moments.

Savary, Thierry

Interview de Jimme O'Neill du groupe The Silencers- brute

Interview de Jimme O'Neill, chanteur du groupe de rock écossais The Silencers par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de leur concert à Paléo en 1995.

00:00:44
Une des chansons de leur album a été utilisée pour faire de la publicité en Angleterre pour le tourisme en Ecosse mais c'est un tube en Ecosse et pas en Angleterre. Les Silencers ont tourné une fois aux USA mais plus depuis le premier album. Il le regrette car ils pense que leur musique est bien pour les USA. Ils ont des influences de blues et de country bien qu'ils soient européens.

00:05:25
Normalement, toutes les chansons qu'ils ont écrites peuvent être interprétées avec une guitare et la voix. Mais parfois, Jimme O'Neill change la tonalité. Il y a beaucoup de créativité et d'invention. Il est toujours en recherche de nouveau son. Il a joué du bouzouki qui est pratiqué par beaucoup de musicien irlandais. Le groupe aime beaucoup les concert avec beaucoup de public. Jimme O'Neill aimerait aussi faire une tournée acoustique, plus intime. Quand il y a beaucoup de monde comme ça, il faut un grand son.

00:11:26
Jimme O'Neill a commencé à écrire de nouvelles chansons. Il y a des concerts acoustiques et électrique qui sont prévu en Ecosse dans les prochaines semaines.

Savary, Thierry

Interview de fans du Cirque Knie - brute

Interview de Benoît Pittet, Pierre-André Chenaux et Bertrand Gothuey, trois fribourgeois collectionneurs et fans du cirque Knie, par Thierry Savary, [A l'ombre du baobab]

Enregistrée probablement au printemps 1995, à l'occasion du exposition des collections des trois invités, à Cottens.

[Il manque le début de l'interview].

On parle de l'organisation du cirque Knie.

Pierre-André Chenaux parle des collections qu'il a chez lui. Il fait de la photographie depuis 1965, c'est sa passion. Il récolte aussi les articles de presse. Il se procure les journaux en suivant le fil de la tournée du cirque Knie. Il a également d'autres objets.
Ils parlent de la musique de cirque.

00:03:20
Thierry Savary leur demande s'ils connaissent ce qui va se passer dans la nouvelle tournée du cirque Knie.
Les invités parlent du programme. Ils vont aller voir le programme lundi. Ils suivent la tournée, environ la moitié de la tournée.

Ils parlent de la venue du cirque Knie à Fribourg.

00:06:30 - 00:08:00 : [Musique de cirque]

Savary, Thierry

Interview de Nicoletta - brute_2

Interview brute de la chanteuse franco-suisse Nicoletta par Thierry Savary.

Nicoletta explique qu'elle a la double nationalité, elle a le passeport suisse. Ils parlent de la Suisse et de la France

00:03:10
Thierry Savary lui parle de son nouvel album, consacré au gospel.
Nicoletta explique que c'est quelque chose qu'elle voulait faire depuis longtemps, mais cela a pris du temps. Elle parle de la soul, la musique de l'âme.
L'album est fait en piano voix, avec une chorale. Elle explique que c'est différent que sur scène avec des musiciens il y a plus de conventions à respecter. Chanter avec une chorale et en live c'est plus instinctif.
C'est son premier album live, elle est reconnaissante que la maison de disque lui ait fourni de bons moyens.
Elle parle du fait de faire confiance aux professionnels avec lesquels elle travaille pour le son, etc.

00:07:45
Nicoletta explique que c'est le propre de l'artiste de devoir travailler avec les autres. C'est un métier d'équipe.

00:08:15
Thierry Savary lui parle du fait de chanter en direct à la télévision.

Nicoletta explique que c'est bien de faire de la résistance, et que la technique permet de faire de belles choses. Elle explique que cela rend aussi heureux les gens de la technique.

Nicoletta parle de la chorale gospel avec lequel elle a travaillé. Elle les a rencontrés sur un plateau télé. C'est une vrai chorale gospel, ils sont réellement croyants. La chorale s'appelle les Gospel Voices, ils sont devenus très connus depuis qu'ils ont travaillé avec Nicoletta.
Nicoletta explique qu'elle n'est pas pratiquante, mais pour chanter ce genre de musiques, et pour avoir la "gospel attitude" et chanter dans des lieux de culte il faut quand même être croyant.

00:12:30
Nicoletta explique que le fait de chanter dans des églises et temples, il y a plus de respect du public. Ils sont plus attentifs.
Elle parle du fait que ce sont des curés qui les invite, donc ce sont forcément des gens ouverts et qui ont beaucoup de plaisir à les accueillir.
Elle parle de l'ouverture de l'église, même si le pape ne l'est pas.

00:14:30
Thierry Savary lui parle de l’ave Maria

Nicoletta explique que c'est une chanson très difficile. Elle n'aime pas la version sur le disque. Depuis, elle a pu la chanter beaucoup et elle s'est beaucoup amélioré. Elle parle du fait de la chanter comme une prière. C'est une chanson très touchante. Il arrive que les gens pleurent.

00:16:15
Pour la suite, elle est en train de préparer un disque de blues avec Patrick Verbeke. Elle est très contente de travailler avec lui car il va amener de l'âme à son travail.
Pour elle s'est une période à la fois de renaissance, mais aussi de retrouvailles avec ce qu'elle voulait faire à ses débuts. Elle pense que c'est important de faire des choses, d'essayer et ne pas avoir peur de se tromper.

Thierry Savary souligne le fait qu'elle a repris de vielles chanson et les a rendues très actuelles.
Nicoletta explique eu c’est le style à l'américaine qui est très à la mode.

Savary, Thierry

Interview de Michael Jones - brute

Interview brute de Michael Jones par Thierry Savary.

Enregistrée en mai 1997 à l'occasion de son nouvel album "À Consommer sans modération"

00:00:46
Il a déjà sorti un album, mais pour lui, c'est son premier vrai album. C'est lui qui a tout produit puis il a signé avec une maison de disques. Il a décidé d'aller à l'encontre de sa maison de disques. Il raconte son enfance, le Pays de Galles, ses origines celtes, son premier groupe de folklore celte. Il y a des consonances blues dans ce disque. C'est quelqu'un d'optimiste. Cet album est un hymne à la vie.

00:09:50
Il a eu la chance d'être au bon moment au bon endroit pour pouvoir faire ce métier. Son disque est sorti depuis 3 semaines, il n'est pas mécontent. La sortie a pris les médias par surprise. Il aime bien faire la promo dans les radios. Il fait une tournée dans les cafés-concerts actuellement, il trouve ça génial et magique. Il a l'impression que ces lieux vont revivre. Il écoute beaucoup de chansons françaises.

00:15:53
Jean-Jacques Goldman n'a pas participé à l'écriture de l'album, mais il a donné son avis pour le mixage. Ils ont développé un langage commun au fils des années à l'exception du fait que Jean-Jacques est très cérébral et Michael est plutôt un fonceur, mais ça se complète très bien.

00:18:37
Michael Jones tenait à faire cet album en français et il a travaillé avec plusieurs autres jeunes artistes pour cet album. Il a appris la guitare seul et il joue spontanément. En concert, il y a toujours un petit peu d'impro. Il n'est pas le même musicien quand il joue dans un piano-bar ou dans une grande scène. Ça faisait longtemps qu'il voulait chanter en français, il trouve que c'est mieux que les chanteurs français chantent dans leur langue plutôt qu'en anglais, car il faut bien parler la langue pour pouvoir la chanter et pour la plupart, ce n'est pas le cas.

00:27:45
Il veut se focaliser sur la diffusion du disque dans les pays francophones. Actuellement, cette vie lui convient. Même si le succès s'arrête, il pourrait sans problème changer de métier et continuer à faire de la musique avec les copains. Il ne croit pas en l'amour éternel, mais en l'amitié éternelle, oui. Il va continuer à travailler avec Fredericks Goldman Jones avec qui il travaille pour cette tournée de piano-bar. Il a un projet de partir en tournée avec Jean-Jacques Goldman et Carole Fredericks. On le sollicite aussi pour faire des chansons pour d'autres chanteurs. Il n'a pas la même faculté de faire plusieurs choses à la fois comme Jean-Jacques Goldman.

Savary, Thierry

Interview de Simion Stanciu, alias Syrinx - brute

Interview du joueur de flûte de pan roumain Simion Stanciu, alias Syrinx par Thierry Savary.

Enregistrée à l'occasion de

Thierry Savary lui demande si c'était une vocation d'être musicien, de jouer de la flûte de pan.
Simion Stanciu explique que c'est plutôt une destinée. Il parle de la chance de pouvoir faire ce qu'il fait. Il relève que tout n'a pas été facile. Mais il a eu de la chance d'avoir pu rencontrer certaines personnes, d'avoir un public, de pouvoir s'exprimer. Il y a plus d'avantages que de désavantages de faire ce métier.

00:02:00
Thierry Savary l'interroge sur ses origines.
Simion Stanciu explique qu'il a commencé ses études en 1953 en Roumanie, où les choses étaient difficiles. Il a décidé à 14 ans de se consacrer à la flûte de pan pour essayer de faire vivre sa famille. Il est arrivé en Suisse comme réfugié politique en 1979. Il a alors pu commencer à rêver, et à se consacrer différemment à son instrument. Jusqu'alors, c'était juste pour survivre, au jour le jour.

00:04:30
Thierry Savary lui demande si la flûte de pan s'est imposée à lui.
Simion Stanciu répond que c'est surtout l'instrument qui lui a permis le plus facilement de gagner de l'argent, car il était plus facile de jouer à différents endroits et gagner de l'argent. Il parle de sa jeunesse comme de ses années noires. Il parle d'un pays sans rêve, sans avenir. Aujourd’hui les choses sont différentes.

00:06:30
Thierry Savary parle de l'image qu'ont les gens de la flûte de pan comme un instrument traditionnel, alors que Simion Stanciu a démontré que l'on pouvait tout faire avec.

Simion Stanciu pense que c'est un peu trop dire, mais il essaie de faire ce qu'il peut, de tirer le maximum de ses possibilités. Il essaie toujours de faire de son mieux et de changer la manière de jouer avec cet instrument, et faire comprendre aux gens que cet instrument n'est pas uniquement folklorique, mais qu'il peut gagner en noblesse. Il aimerait que l'on parle de la flûte de pan comme des autres instruments classiques. Il pense être le seul au monde à jouer de la flûte de pan de cette manière. Il pense donc avoir fait avancer l'instrument. Il pense que personne au monde ne peut jouer comme lui, et cela le rend très fier. Il a eu la chance de jouer avec son idole, Jean-Pierre Rampal. Il en parle comme du plus beau cadeau qui puisse arriver.

00:10:30
Thierry Savary lui demande pourquoi il a cette approche de la musique.
Simion Stanciu parle d'envie de découverte, d'envie de ne pas laisser les choses telles qu'elles sont, d'essayer de trouver autre chose et de faire avancer les choses. Il parle de s'étonner lui-même. Il n'aime pas se mêler aux autres, être comme les autres.

00:12:30
Thierry Savary lui demande si sa manière de jouer a pu faire évoluer la flute de pan.
Simion Stanciu explique que même dans la manière de fabriquer l'objet, ils ont facilité la manière de le faire. Il faut toujours savoir jouer mais cela facilite la manière de jouer. Il pense que cela a fait gagner plusieurs années au développement de la flûte de pan.
Il pense que plus on travaille, plus on développe des choses, plus on découvre. Il parle du fait de travailler avec des orchestres internationaux, du fait que cela est très exigent. Il parle des erreurs qu'il peut faire en concert, de conscience professionnelle.

00:16:30
Thierry Savary lui demande si durant les concerts il peut observer les réactions du public.
Simion Stanciu explique qu'il est concentré, et que pendant les concerts il essaie surtout de prendre du plaisir lui-même. A la fin du concert, il voit bien comment le public réagit, et ce que disent les critiques. Il pense que si on est sincère, le plaisir est partagé avec le public.
Sur scène et dans la vie privée il est un peu différent. Il se donne beaucoup plus sur scène, mais cela ne représente que 40 minutes sur scène. Ensuite il est lui-même. C'est juste que sur scène il donne le meilleur. Après les concerts il ne se prend pas au sérieux il aime s'amuser et rigoler. Il n'aime pas les gens qui se prennent au sérieux.

00:20:45
Thierry Savary lui parle de l'album qu'il a sorti avec Bruno Fontaine.
Simion Stanciu explique que cet album un peu de variété est quelque chose de différent. Il l'aime beaucoup, c'est quelque chose qu'on n'a pas l'habitude d'entendre.
Il pense que toute musique a de la valeur. On ne donne pas assez d'importance à la musique, alors que c'est une partie de notre vie. On ne peut pas vivre sans. On devrait faire plus d'efforts pour les artistes et les musiciens, pour qu'ils aient de meilleures conditions.
Il parle de la période où il vivait à Fribourg, et du manque de salle de concert. Il déplore le fait que les gens investissent dans d'autres domaines et que l'artistique arrive toujours en dernier.

Il parle de la musique comme un grand bonheur, qui ne coûte rien. Il incite les élus fribourgeois à investir dans une salle de concert.

Savary, Thierry

La Colonie perdu de l'île de Roanoke

Magazine d'Alain Bougard consacré à la Colonie perdue de l'île de Roanoke.

Alain Bougard explique que chaque année, le mystère de l'île de Roanoke donne lieu à une pièce de théâtre.
En 1937, un promeneur trouve une pierre avec des inscriptions, qui expliquent une histoire.

En 1584, la reine d'Angleterre lance une expédition pour deux îles, notamment celle de Roanoke. Les indiens qu'ils y découvrent sont gentil et leur font bon accueil. Deux indiens vont même repartir avec les Anglais en Angleterre.
La reine accepte alors de faire une deuxième expédition. 100 hommes resteront sur l'île. Mais les relations avec les indiens se détériorent, car les Anglais défrichent les terres, et se les approprient.
Ils quittent alors l'île, croisant une autre expédition. Cette expédition laissera une cinquantaine d'homme pour deux ans.
Les vaisseaux qui viennent les récupéré découvrent l'île vide. Mystère.
On installe alors encore des habitants. Le 18 aout 1587, le premier enfant nait. Le prochain navire ne reviendra que 3 ans plus tard. Le navire voit des fumées, mais ne peut pas débarquer.
En abordant le lendemain, on découvre l'île vide. La fumée est celle d'indiens. Les maisons sont abandonnées.
Il trouve le mot "Croatoan" sur un arbre, le nom d'une île proche.
On pense que les colons sont partis pour Croatoan. La mer est mauvaise, on repart pour l'Angleterre.
Durant 16 ans, plus personne ne s'inquiète de l'île.
On apprendra que les colons auront été massacrés, sauf 7 personnes.

Personne ne sait ce qu’il est advenu de ces 7 personnes.

Savary, Thierry

Les îles par les livres

Magazine d'Alain Bougard consacré à la littérature sur les îles.

Thierry Savary l'interroge sur les genres de littérature qui s'intéressent aux îles.
Alain Bougard explique qu'il y a des livres modernes de tourisme, mais aussi des livres qui s'intéressent aux histoires des îles et des romans dont la base est historique.
Il existe aussi des livres totalement fictifs.
L'île est un endroit dont on peut faire le tour facilement, comme en psychologie.

Thierry Savary parle de livres très anciens dans la bibliothèque d'Alain Bougard.
Il explique que ce qu'il trouve intéressant dans ces livres d'histoire et de voyage c'est qu'ils permettent d'avoir une image de l'époque et des descriptions qui n'ont plus lieu d'être aujourd'hui.

00:04:30
Alain Bougard explique qu'il recherche des livres de Robinson Crusoé.
Ce sont des livres dans lesquels on sent une adaptation des textes au fil des éditions. C'est toujours la même histoire, mais vue d'une manière différente.
Il en a entre 50 et 60 exemplaires mais en recherche encore.

00:06:45
Thierry Savary lui parle d'un livre qui le passionne.
Alain Bougard explique que c'est un recueil d’une soixantaine de pages, qui a été écrit par David Herbert Lawrence, qui a écrit "L'amant de Lady Chatterley". Il a aussi écrit "L'homme qui aimait les îles". Il se compose de trois chapitres, qui s’intéressent à 3 îles.
Alain Bougard résume le livre.

00:12:30
Thierry Savary parle des cartes que possèdent Alain Bougard.
Alain Bougard explique qu'il aime beaucoup les cartes aussi. Il explique qu'il y a différentes manière de faire les cartes, en fonctions des pays qui les produisent. Il trouve que les cartes permettent de faire marcher l'imagination et la curiosité.
Il parle notamment d'une carte de l'île Rodrigue.
Il pense que les cartes et les photos vont ensemble. Quand il est en voyage, il prend des photos en notant sur la carte dans quel angle il a pris les photos.

Savary, Thierry

Canulars téléphoniques et micro-trottoirs

Canulars téléphonique et micro-trottoir par Thierry Savary et Dominique Crausaz.

00:00:02 - 00:01:25 : Micro-trottoir et émission Microtinages par Thierry Savary.

00:01:30 - 00:02:00 : Micro-trottoir [sur les changements au passage de l'an 2000] par Dominique Crausaz

00:02:15 - 00:05:00 : Emission Microtinages, [pour l'anniversaire de Dominique Crausaz] par Thierry Savary.

00:05:05 - 00:08:15 : Micro-trottoirs sur les inventions rêvées.

00:08:25 - 00:14:00 : Emissions Microtinages par Thierry Savary. Rubrique sur le jardinage et rubrique culinaire.]

00:14:15 - 00:33:10 : Micro-trottoirs "si vous gagniez 2 millions", "expliquez-nous la TVA", "Les clôtures électriques pour empêcher le hors piste", "le meilleur cadeau de Noël", "les cors de chauffe sous les routes", "le Père Noël".

00:33:25 - 00:37:40 : Canulars téléphoniques par Thierry Savary.

00:38:00 - 00:40:30 : Micro-trottoirs

00:40:45 - 00:43:10 : Canular téléphonique par Thierry Savary.

00:43:25 - 00:46:15 : Extrait d'interview du cabaret Chaud 7 par Thierry Savary. Michel Sapin, Iannis Kyriakidis et Albert Vial.

00:46:20 - 00:49:00 : Micro-trottoir par Thierry Savary.

00:49:15 - 00:53:40 : Emission Microtinages avec Thierry Savary, consacrée aux animaux du cirque.

00:53:50 - 00:55:55 : Canular téléphonique par Thierry Savary

00:56:05 - 01:02:20 : Micro-trottoir

01:02:30 - 01:05:20 : Canular téléphonique par Thierry Savary

01:05:30 - 01:08:25 : Micro-trottoir

Savary, Thierry

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