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Description archivistique
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Blumen und tote Fische / Prod. Charles Zbinden ; Drehbuch Charles Zbinden und Max Frei ; Regie Roland Bertschinger

  • Bern : Delegierte für wirtschaftliche Kriegsvorsorge Bundesamt für Zivilschutz, [ca 1970]
  • Hergestellt im Auftrag des Delegierten für wirtschaftliche Kriegsvorsorge und des Bundesamtes für Zivilschutz
  • Court métrage 16 mm transféré sur DVD-R par Transferts Vidéo & Film, Carouge GE et la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg
  • Kamera Hans Christen ; Musik Pierre Cavalli

Delegierte für wirtschaftliche Kriegsvorsorge Bundesamt für Zivilschutz

Fonds Ernst et Marie Felder

  • [Düdingen] : [éditeur non identifié], [ca 1960]
  • Courts métrages16 mm transférés sur DVD-R par Transferts Vidéo & Film, Carouge GE et la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg

Felder, Ernst

[District de la Singine]

Enregistrements dans différents endroits singinois :

  • Vue de la Singine à vol d'oiseau ainsi que de son cours d'eau
  • Tavel, vaches dans les pâturages, musée de Tavel, hôpital de district (Bezirksspital St. Josef), fermes fleuries, maison de maître
  • Vue aérienne de Guin et de ses alentours
  • Vue de Fribourg et de sa cathédrale, Lorette, vieille ville
  • Château de Vogelshaus, Bösingen
  • Maisons fleuries, jardins potager, vergers en été
  • Petit Vivy (château) commune de Barberêche avec la passerelle Bonnbrücke
  • Ermitage de la Madeleine, Schiffenen
  • Construction du barrage de Schiffenen 1960/64

[District de la Singine - montagne]

Enregistrements dans divers endroits singinois :

  • Paysages d'été
  • Zur Grotte: autel de la Vierge Marie
  • Maisons, fermes singinoises, chalets d'alpage
  • Ouvriers travaillant à la carrière
  • Descente des vaches de l'alpage, arrivée au Lac noir
  • Paysans faisant les foins
  • Sur les bords de la Singine
  • Armaillis singinois et familles au marché de Planfayon (Plafaienmärit)

Fonds sonore Radio Fribourg

  • Ce fonds contient des émissions en français et en allemand sur des événements culturels de la région, des sons originaux de personnalités importantes des domaines de la culture, du sport et de la politique, ainsi que des reportages. Ces émissions sont les témoins d’événements qui touchent non seulement la population fribourgeoise, mais aussi les cantons voisins et parfois la Suisse entière.

  • Les archives de RadioFr. représentent la valeur mémorielle interne et collective de l’institution au travers de l’histoire régionale. Ce média fait partie de la vie fribourgeoise, aussi bien francophone qu’alémanique. Ce fonds permet de valoriser le travail de RadioFr. et propose à un auditoire très attaché à sa radio régionale de revivre des événements clefs de l’histoire régionale et nationale. Il est représentatif du travail d’une radio privée locale et reflète aussi bien les méthodes de travail que le style/habillage d’une radio, et leur évolution au cours de deux décennies.
    Les documents numériques conservés et traités lors de la phase 2 (actuellement en cours de traitement) reflètent l’ensemble de la grille des programmes de RadioFr. On y retrouve donc essentiellement des émissions à thématiques fribourgeoises, mais aussi des émissions d’approfondissement de thématiques sociales ou de divertissement, des débats ou encore des chroniques. Le fonds contient aussi des retransmissions en direct d’événements sportifs ou culturels et de journées de votations ou d’élections.

  • Note sur le traitement: une solution pour différencier les dates de production et de diffusion des émissions a du être mise en place. Ainsi, les dates "accumulation" correspondent en réalité à la date de diffusion des émissions.

Radio Fribourg

Interview d'Hinterland

Interview du groupe de rock Hinterland par Thierry Savary, traduit en simultané par Anne Baecher.

Gerry Leonard, du groupe Hinterland, guitariste.
Ils viennent de Dublin, et jouent ensemble depuis 3 ans. Ont sorti un album, et commencent à faire une tournée. Leur musique a des influences pas très modernes, Lez Zepplin, STC. Ont de bonnes relations avec leur maison de disques, ont leur liberté de créer. Ont un contrat de 6 albums.
Vous préférez le studio ou la scène? Les deux.
Ils ont leur propre studio pour créer leur musique, ont un petit enregistreur, ils travaillent parfois seuls avant de présenter leurs idées aux autres membres du groupe.
Ils aiment voyager, mais en bus c'est difficile. Sont en tournée européenne avant d'aller à NY.
Qu'est-ce qui vous intéresse dans la vie? S'amuser, se faire du bien-. C'est très important de pouvoir se réaliser dans la musique.
Est-ce qu'il y a des problèmes qui vous touchent particulièrement? Pas vraiment maintenant, mais je pense que ça va se développer.
Est-ce que ça a été dur avant de pouvoir signer? Oui, pendant 15 ans. Quand on s'est rencontrés on savait qu'il allait se passer qqch.
En fait si vous soulez nous connaître, écoutez notre disque et vous saurez qui on est.

Savary, Thierry

Interview de Jungle Brothers

Interview du groupe de rap Jungle Brothers par Thierry Savary, traduit en simultané par Anne Baecher.

Enregistrée lors de leur passage au Montreux Jazz festival en 1990.

Que pensez vous du concert de ce soir?
Très sympa!
ils aiment jouer dans ce genre de festival jazz car ce sont leurs influences.
Le reggae et le rap ont une base commune avec le hip hop.
Le rap c'est de la poésie, de la musique des sensations qui viennent de la rue.
C'est aussi une façon de vivre, comme une religion.
On trouve du rap partout, c'est la culture, la religion.
Quel est le message de votre musique?
Notre but c'est de laisser le hip hop se développer. Le message c'est la paix l'amour et l'unité.
Qu'est-ce que vous pensez par exemple de Public Ennemy?
Ils ne détestent personne, c'est complétement faux.

Est-ce que votre musique s'adresse aux noirs?
elle est pour tous, mais elle a commencé pour les noirs. Pas de problème que d'autres jouent mais il doivent savoir d'où ça vient.
En France il y a des gens qui font du rap, c'est cool mais il faut être conscient que d'où ca vient.
Les jurons c'est pas grave, c'est la traduction du langage de la rue.

00:04:00 - 00:05:15 : font une impro de rap

Savary, Thierry

Interview de Hanafree

Interview du groupe fribourgeois Hanafree par Thierry Savary.

Enregistré à l'occasion de la sortie d'un 45 tours.

Interview avec le chanteur Simon Ilofo du Zaïre et le guitariste Doris Zaïco du Congo. Le groupse s'est créé de la scission d'un groupe de Fribourg car ils voulaient faire de la musique mélangée. Le groupe compte de grands professionnels comme Francis Coletta et Richard Pizzorno, mais aussi Salvatore Lombardo à la batterie et Alexandra Pasina au chant.
Leur rencontre permet d'arranger la musique africaine. Leur musique est métissée, le rythme africain avec une musique un peu plus sophistiqué, le funk. Les sentiments africains et la culture européenne. Le mélange du rythme africain et l'harmonie européenne.
Leur musique sur scène et sur le disque se ressemble. Mais en studio on ne peut pas se permettre de crier par exemple. Coletta, un des responsables du studio aussi a permis de créer un ambiance familiale, même africaine. La différence avec la manière de travailler en Afrique c'est que les morceaux arrivent prêts et sont travaillés en studio. Coletta et Pizzorno ont fait les arrangement.

00:04:30
La signification de Hanafree: Hana signifie enfant: les enfants libres. On va dans un concert pour oublier le stress de la vie et s'éclater un peu.
Ils parlent de la signification de la musique, de la différence avec la Suisse et l'Afrique. Tout ce qu'on fait sur scène vient tout seul, la musique circule, tout le monde sent la musique. En Suisse la musique aussi est importante, mais il y a une différence de ressentir la musique.
Ils parlent du fait qu'ils ont participé u Passeport vacances, et ont expliqué aux enfants que tout est musique dans la vie.

00:06:45
Ils parlent de la signification de la pochette du disque. Elle représente l'importance de la musique dans la vie. signification un peu philosophique.
Ils chantent en lingala, langue d'Afrique centrale qui est parlée au Zaïre, au Congo et en Angola.
Ils parlent de quelques thèmes qu'ils abordent dans leurs chansons. S'inspirent un peu de leur vie.

00:09:10
Ils parlent de leur venu en Suisse.
Ils sont venus pour des raisons économiques et politiques. Ils se réunissent avec des membres de leur communauté.
Il est plus facile de faire de la musique en Afrique. En Suisse c'est plus difficile de percer, il faut de l'argent, par exemple pour produire un disque.
Pour écouler le disque, espèrent le vendre pendant les concerts. Mais ils n'ont pas de producteur, c'est très difficile et ce n'est pas suffisant.

00:11:43
Ils parlent de leur rencontre avec Coletta et Pizzorno. Jean-Doris a rencontré Coletta car c'était son professeur su conservatoire. L'idée de faire un groupe est née de là. Ils y a une bonne cohérence dans le groupe. Ils qualifie le groupe comme une équipe fantastique. Le mélange de cultures, de nationalité apporte beaucoup au groupe. C'est normal aujourd'hui, le monde actuel est pour l'ouverture, tous les pays s'ouvrent.

00:13:50
Ils parlent des influences du groupe.
Il y a une sorte d'admiration de Simon et Doris pour Pizzorno et Coletta. Ils s'inspirent aussi de leurs cultures. Simon aime beaucoup Ray Charles et s'en inspire pour le chant. Pour Jean-Doris les influences sont Ray Lema et Papa Wemba.

00:15:43
Ils parlent des souhaits et envies pour le futur.
Ils aimerait être connu et reconnu à Fribourg, et aussi trouver un producteur. Ils aimeraient pouvoir véhiculer leur culture par la musique. Commencer à Fribourg, au canton de Fribourg et s'étendre ensuite. Ils aimerait être connus comme un groupe du canton de Fribourg.
Le message qu'ils aimeraient faire passer aux auditeurs c'est qu'ils soutienne Hanafree, et qu'ils puissent les aider dans leur problèmes financer et trouver un producteur.

Savary, Thierry

Interview de Georges Chelon

Interview du chanteur français Georges Chelon.

Enregistrée le 6 novembre à Lucens.

Georges Chelon voulait être diplomate ou journaliste. Il a participé à un concours à Grenoble en 64 car s'était acheté une guitare. Il a gagné, car c'était l'époque yéyé et il était à contre-courant.

00:00:50 - 00:01:25 : [Musique]

Après le concours il a fait un 33 tours. Et s'est installé durant les années 60, puis les modes ont changées et durant les années 70 il y a eu le déclin. Il a toujours fait de la scène. En ayant de moins en moins de succès sans s'en rendre vraiment compte car il aimait trop la scène

00:02:45 - 00:04:00 : [Musique]

Il pense qu’il a fait une carrière car il chante depuis longtemps, il a toujours vécu de la chanson, même s’il a connu des hauts et des bas, il fait une carrière.
Le monde de la scène a changé car avant c’était très amical, et ce qu’il présente n’est pas très compétitif sur le marché.

00:04:50 - 00:05:35 : [Musique]
Son public vieilli, mais il a aussi un public plus jeune par leurs parents peut-être, mais il aimerait qu'il y en ait plus. Il aimerait une reconnaissance de ces jeunes. Le but de la chanson maintenant ce n’est pas de se mettre à nu mais de faire un produit susceptible de marcher, donc s'il trouve le parolier, le son , le manager à la mode, on va le faire car le but c'est que ça marche. Son but n'est pas d'être idolâtré, même si à un moment les deux choses se sont rencontrées.

00:07:10 - 00:08:10 : [Musique]

Raconte des histoires un peu égoïstement dans ses chansons, mais à contre-courant, parce que ça le touche. Raconte des choses personnelles, et les gens s'y retrouvent. Une chanson ne peut pas être que pour soi, il y aura toujours des gens qui vont s'y retrouver. Une chanson sur l'amour c'est universel, mais qui ne chante pas des chansons d'amour? Hallyday, Cabrel? Lui parle d'amour, le véritable, universel, pas forcément l'amour d'une personne, l'amour en général. La haine c'est lié à l'amour, l'amour c'est ce qui nous fait avancer.

00:10:10 - 00:11:45 : [Musique]

Quand il fait une chanson, il se demande toujours si c'est lui qui les fait, car il se trouve inintéressant, il pense qu’il ne sait pas écrire. Mais il s'impressionne quand il fait une chanson, car les textes sortent...

00:12:30 - 00:13:30 : [Musique]

Il écrit des chansons simples, parfois il retient des choses, parfois non, puis il se lance dans l'écriture. C’est assez aléatoire

00:14:10 - 00:15:30 : [Musique]

Sur scène, il ne pense pas être assez imposant. Il les perd facilement. Il faut qu’il soit dans une bulle, et faire rentrer le public dans son univers. Il parle d’une lutte, d’un rapport de force sur scène avec le public, où il faut que chacun reste à sa place. Il critique le fait de parler sur scène. Il parle du fait qu’il se trompe régulièrement sur scène, et que cela l’humanise.

00:17:40 - 00:18:55 : [Musique]

Il aime les publics qu'on dit froids, car généralement c'est les plus chauds. Au moins il n'applaudit pas pour n'importe quoi. Il préfère un public dur, il y a plus de mérite.

Savary, Thierry

Interview d'Isabelle Aubret

Interview d'Isabelle Aubret, chanteuse.

Enregistrée lors de son passage à l'Echandole d'Yverdon le 02.02.1991, diffusée dans Espace Chanson le 14.02.91.

Début de l'interview: chanson d'Isabelle Aubret "allez la vie".

Parle d'artistes avec lesquels elle a collaboré. Jean Ferrat, Brel. La qualité des texte fait qu'elle a teniu la distance.
A participé à l'eurovision, mais ce n'est pas ce qui l'a mise de coté, c'est un accident de voiture qu'elle a eu à 20 ans. Difficile de revenir après ça, mais elle a réussi.
Romain Didier a écrit pour elle.
Elle est uniquement interprète, même si c'est dur tout est dur dans la vie.
Message à faire passer: aimons-nous, partageons.

Chanson à la fin.

Aubret, Isabelle

Interview d'Aline Chalifoux

Interview d'Aline Chalifoux, chanteuse.

Enregistrée lors de son passage à l'Entracte de Denezy, 09.02.1991.

Interview entrecoupée de musique.
Parle d'Alessandro Nannini, coureur automobile pour lequel elle a écrit une chanson en italien.
Parle de la musique en Suisse, parle de Sarcloret, de Michel Bühler.
Parle de toucher le public avec des chansons dont ils ne comprennent pas les paroles.

Chalifoux, Aline

Interview de Valérie Lou

Interview de Valérie Lou, chanteuse.

Enregistrée lors de son passage "chez Bouillon" à l'Entracte de Denezy, 23.03.1991.

L'interview débute par une chanson de Valérie Lou, "Parfois". et est ponctuée de chansons.
Parle d'un concert à Périgueux, ses débuts de carrière et le fait qu'elle va essayer de faire jouer des contacts pour faire carrière en France.
Parle du jazz chanté, et du fait qu'elle fait de la variété jazz.
Parle de sa manière de composer des chansons.
Parle de ses références du moment, Nougaro, Maurane, Liane Foly,...
Tourne beaucoup en Suisse romande, aimerait recomposer de nouvelles chansons.

Lou, Valérie

Interview de Michel Petrucciani

Interview de Michel Petrucciani, pianiste jazz, par Thierry Savary.

Enregistrée lors de son passage en solo à la salle Jolimont de Fribourg le 10.04.1991.

L'interview débute avec un morceau de jazz de Michel Petrucciani, et est entrecoupée de morceaux jazz de MP ou d'autres.
Parle de son parcours "assez long", il a débuté à 4 ans, puis a fait partie d'un trio familial, le Trio Petrucciani, surtout actif dans le sud de la France. A 16 ans rencontre Aldo Romano avec lequel il fait un disque, puis part à Paris et devient professionnel.
Après part aux USA à 18 ans, en Californie chez un ami. Il rencontre alors Charles Lloyd, il joue un peu avec lui, et Chalres Lloyd cherche à remonter un groupe et cherche un pianiste. Ils vont alors travailler ensemble pendant 5 ans.
Puis monte un trio, enregistre deux albums à NY. Il a fait en tout 25 disques.

00:06:30 - 00:10:45 : [interlude musical: " Mr KJ", de Michel Petrucciani]

Parle des solos, quelque chose qu'il ne fait pas beaucoup car est plus dans l'harmonisation mais c'est un exercice qu'il apprécie et en fait de plus en plus.

00:11:30 - 00:15:20 : [interlude musical: Solo de M. Petrucciani "Amalgame"]

Son premier disque, qui a changé sa vie. Parle de ses influences, des gens qu'il aime, et préfère parler des gens vivants. Meilleur pianiste pour lui Herbie Hancock, car il arrive tout faire, aussi bien du disco, du funk, du rock que du blues. Un peu ce que MP voudrait faire car il aime tout, et pense que mettre des étiquettes c'est un peu dépassé.

00:17:00 - 00:19:00 : [interlude musical: "Rock It", d'Herbie Hancock]

Parle de sa manière de composer. Il a besoin de projets concrets, de travailler sous pression. Il n'est pas un fou du travail. Il aime composer, mais il faut qu'il ait de la pression.
Il a deux enfants, et sa journée normal c'est de passer la journée à la maison avec ses enfants, surtout qu'il et souvent en tournée, il doit rattraper le temps perdu avec ses enfants.

00:20:15 - 00:21:00 : [interlude musical]

Parle de ses influences musicales: la musique classique, musique brésilienne, musique africaine, jazz africain.

00:22:00 - 00:24:40 : [interlude musical: "O Nano Oye", de Michel Petrucciani]

Quand il joue si se laisse aller a l'impiression que qqn d'autre joue pour lui, qu'il est possédé.
Ses rêves: plein de rêves, pour ses enfants, et il a encore plein d'idées de disques. Aimerait faire un album piano voix avec un chanteur.

00:26:00 - 00:30:20 : [interlude musical : "Get away Jordan", Take 6]

Petrucciani, Michel

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